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  • Coquerel dans le "gros temps" du "mitou"

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2022

    Coquerel dans le "gros temps" du "mitou", qui enfle et qui devient tempête... Même les alliés (!) Nupes s'y mettent : "Éric Coquerel ne peut pas présider la Commission des finances pendant le temps de l’enquête", estime Sandrine Rousseau. Si ce n'est pas un coup de poignard dans le dos, il faut qu'on nous dise ce que c'est !

    D'abord simplement accusé, puis objet d'un dépôt de plainte en bonne et dûe forme (on sait que d'autres suivront...), Coquerel est maintenant expréssement visé par la Justice, qui a ouvert une enquête "pour harcèlement et agression sexuels"

    Toujours selon Sandrine Rousseau, Président de la Commisssion des Finances de l'Assemblée est un poste qu' "il ne lui revient pas de garder, pour l’instant... Je pense qu’il ne faut pas qu’il préside les séances de la commission des Finances, le temps de l’enquête. Je lui ai dit...", a déclaré la députée écologiste/membre de la Nupes sur France 2. 

    Il semblait que NUPES était l'acronyme de "nouvelle UNION etc...." : chapeau pour l'union, la solidarité, l'esprit de groupe etc... Tous ces mots creux n'auront pas résisté bien longtemps à la dure cruauté des réamités...

    "Mitou" quand tu nous tiens !

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    La Fouquier-Tinville au féminin vient-elle de décréter la "mort politique" de son pourtant tout récent allié Nupes ?

     

    Source : lafautearousseau

  • Des conséquences de faire profil bas – Citation d’Alain Escada

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2022

    Auteur : 

    « Quand on fait profil bas, on devient insignifiant. Quand on devient insignifiant, on ne fait plus peur à personne.
    Quand on ne fait plus peur à personne, la république abat son bras vengeur et elle détruit tout »

    – Alain Escada, Président de Civitas –

     

    Source : medias-presse.info

  • Montech (82) : excédé par l’insécurité dans sa commune, le maire légifère pour interdire le regroupement de plus de 3 mineurs entre 22h et 06h. “Beaucoup de gens se plaignent des incivilités”

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2022

    A Montech (Tarn-et-Garonne), le maire légifère pour interdire le regroupent de plus de 3 mineurs pour tenter de limiter les incivilités. Quelques jours plus tôt, la ville d’Aussillon (Tarn) avait reconduit son arrêté municipal instaurant un couvre-feu pour les mineurs de moins de 16 ans.

    Jacques Moignard est un maire socialiste excédé. L’édile de Montech voit sa commune touchée régulièrement par des actes d’incivilités.

    Des incivilités trop nombreuses

    Des méfaits dont les auteurs seraient des mineurs des alentours. “C’est une accumulation de phénomènes qui sont récurrents et provoquent le courroux des administrés et des élus car il y a des dégradations de biens publics et privés. Les domaines sont très divers : végétaux, voitures, vitrines, murs, mobilier urbains, invectives à l’égard des passants. Des incivilités, des comportements qui ne sont pas normaux pour la société. Nous ne pouvons pas en rester là.”

    Dans cette ville d’un peu plus de 6 500 habitants, sur un canton qui vient d’être gagné par le Rassemblement National, commerçants et population commencent à en avoir assez. Emilie Nibas la boulangère : “C’est beaucoup de tapages nocturnes, de dégradations de voitures. Nous n’avons pas été victimes directement de ces faits mais les clients nous en parlent. Sur les réseaux sociaux ça tourne pas mal. Beaucoup de gens se plaignent. Avant d’en arriver là, les parents auraient dû faire quelque chose mais ce n’est pas le cas. A un moment donné, il fallait faire quelque chose. “

    Certes Montech n’a pas encore les mêmes soucis de délinquance que des villes plus importantes. Elle reste une ville plutôt tranquille mais ce phénomène inquiète. “Je comprend la décision du maire, estime cet habitant. C’est une ville assez calme, on se connaît tous. Il y a eu des vols, des dégradations sur les voitures. Tout ceci est préoccupant. Je ne laisse pas sortir mon enfant mineur le soir.”

    Un arrêté anti-regroupement pour 3 mois

    Face à ces actes de délinquance, le maire Jacques Moignard se sent démuni. “Nous n’avons aucun moyen d’intervenir si ce n’est d’aller soi-même le soir vers 22h leur demander ce qu’ils font là et qu’ils rentrent chez eux. Les gendarmes peuvent rarement les interpeler sur le fait et ensuite ils n’ont aucun moyen de les contrôler en temps normal. La législation française ne prévoit pas grand chose ou alors les procédures sont longues. Ce sont les gendarmes qui m’ont conseillé d’agir de la sorte en prenant cet arrêté.”

    (…) L’arrêté interdit tout regroupement de plus de 3 mineurs entre 22h et 6h, sur une quinzaine de lieux répertoriés car il n’est pas possible de l’étendre sur toute la commune.

    (…) France 3 via fdesouche

  • La guerre en Ukraine est une aubaine !

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2022

    Auteur

     

    La guerre en Ukraine est une aubaine !

    Une aubaine pour justifier auprès du bon peuple la très forte augmentation du prix des carburants.

    Une aubaine pour en accuser Poutine.

    Une aubaine pour occulter l’écrasante responsabilité de la Banque centrale européenne.

    La politique de la BCE est la principale cause de la situation actuelle, la guerre en Ukraine n’en étant que le révélateur.

    Lors de la crise des subprimes de 2008, le prix du baril de pétrole brut est monté à 150 dollars, mais le prix du carburant à la pompe n’a pas dépassé 1,50 euro par litre.

    Aujourd’hui, le prix du baril de pétrole brut est redescendu à 100 dollars, mais le prix du carburant reste à des sommets. Cherchez l’erreur !

    L’erreur, c’est la politique monétaire de la BCE.

    Depuis des années et des années, par leur politique forcenée de Quantitative Easing, Mario Draghi et Christine Lagarde rachètent des dettes d’État et inondent les marchés de liquidités en construisant une pyramide de Ponzi auprès de laquelle Madoff n’est qu’un un vulgaire joueur de bonneteau du coin de la rue !

    L’économie européenne étant atone, ces liquidités ne peuvent s’investir dans des activités productrices de richesses et alimentent l’inflation, qui se traduit par la baisse de la valeur de l’euro.

    La preuve : lors de la crise des subprimes, un euro valait 1,6 dollar.

    Aujourd’hui, un euro ne vaut plus que 1 dollar ! (soit une dépréciation de 37,5 %).

    Le prix du carburant de 2008 (1,50 euro/litre) est aujourd’hui l’équivalent de :

    1, 50*1,6 = 2,40 euros/litre.

    Or c’est le prix actuel du carburant, si on rajoute le rabais de 0,18 euro/litre accordé par le gouvernement.

    CQFD.

    La cause première de l’inflation est la politique de la BCE.

    En mai 2016, Patrick Artus et Marie-Paule Virard ont publié un ouvrage prémonitoire intitulé : « la folie des banques centrales » où ils dénoncent l’incroyable légèreté de la politique monétaire.

     

    Source : les4verites

  • Une guerre rendue inévitable

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2022

    Certains en arrivent même à tenir des propos d’une haine particulièrement outrancière, reprenant les bobards habituels de la propagande de guerre.

    Faisant partie de « ceux qui trouvent des excuses à l’invasion russe de l’Ukraine », mon indignation se manifeste – mais envers ceux qui ont rendu cette intervention militaire inévitable comme le jugeait Montesquieu : « Les responsables des guerres ne sont pas ceux qui les déclenchent mais ceux qui les rendent inévitables. »

    Or, chez ces commentateurs, on serait bien en peine de trouver la moindre allusion aux provocations bien réelles du gouvernement ukrainien depuis le coup d’État de 2014 et, à travers lui, les provocations de l’OTAN – provocations qui ont rendu l’intervention russe inévitable.

    Depuis 2014, le Donbass russophone est bombardé par l’artillerie ukrainienne avec une nette accélération à la veille de l’intervention russe et, aujourd’hui encore, avec les beaux canons livrés par le gouvernement français qui visent préférentiellement les zones résidentielles.

    Par ailleurs, peu avant l’intervention russe, la concentration de l’armée ukrainienne près du front du Donbass et à la frontière de la Crimée et les livraisons massives d’armements par les gros porteurs US, ont conduit le gouvernement russe à répondre par des manœuvres proches de la frontière ukrainienne pour essayer de dissuader le gouvernement de Kiev d’envahir le Donbass et la Crimée, comme il devenait évident que c’était son intention. Peine perdue !

    Pour quelles raisons le Pentagone a-t-il financé l’installation d’une trentaine de laboratoires de guerre bactériologique sur le territoire ukrainien, laboratoires abritant 23 agents pathogènes comme la peste, le choléra, l’anthrax ou la peste porcine africaine ? La sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques des États-Unis, Victoria Nuland (Mrs Fuck the EU !) l’a confirmé le 8 mars devant une commission du Sénat US. Il faut ajouter la demande d’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN, la présence de nombreux officiers de l’OTAN et de membres des services secrets.

    Quand un pays comme l’Ukraine a pour voisin un pays militairement très puissant comme la Russie, le bon sens voudrait qu’il s’abstienne de faire dans la provocation et qu’il soit attentif aux mises en garde du pays voisin s’il veut rester en paix. Sinon, c’est que ses dirigeants recherchent la guerre en en faisant porter la responsabilité sur celui qui la déclenche préventivement pour assurer sa sécurité. Non, Poutine n’a pas fait d’erreur, on ne lui a tout simplement pas laissé d’autre choix.

    On a connu de nombreuses fois cette stratégie du pompier pyromane dans le passé, même récent.

    Non, il ne s’agit pas d’une « simple guerre régionale pour des frontières entre deux pays ». Jusqu’au coup d’État de 2014 et l’imposition de la seule langue ukrainienne, la population du Donbass ne cherchait nullement à faire sécession. Ce sont les répressions sauvages des manifestations pacifiques des russophones et les violentes menaces de Porochenko en mai 2014 qui ont conduit au soulèvement de cette population et à la guerre civile à laquelle la Russie ne pouvait rester indifférente. Si le gouvernement de Kiev avait eu une attitude plus conciliante, la Crimée serait encore ukrainienne et cette guerre n’aurait pas eu lieu.

    Alors pourquoi cette recherche d’un conflit avec la Russie au prix du sang des Ukrainiens ? La réponse se trouve sans doute dans les propos de certains politiciens va-t-en-guerre, comme ceux de Condoleezza Rice : « La Russie occupe 15 % des terres émergées, représente environ 2 % de la population mondiale et a 30 % des richesses mondiales en matières premières, il va falloir régler ce problème. »

    Tous les faits montrent qu’il s’agit, sans guère de doute, d’une guerre par procuration de l’OTAN contre la Russie en utilisant le sang ukrainien. L’hystérie politico-médiatique anti-russe primaire cherche avant tout à nous le cacher. Ayons une pensée pour toutes les victimes de ces monstres froids qui ont rendu la guerre inévitable et font tout pour la faire durer sous le prétexte fallacieux d’« aider l’Ukraine à se défendre ».

    Jean-Claude Despignes

     

    Source : les4verites