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  • Des chercheurs israéliens dévoilent un plan épouvantable pour créer des embryons pour le prélèvement d’organes

    Publié par Guy Jovelin le 24août 2022

    Auteur : 

    Renewal Bio, société de biotechnologie basée en Israël, entre sur le territoire de Frankenstein avec une nouvelle proposition de récolte d’embryons humains « synthétiques ».

    En 2005, Hollywood a sorti un film intitulé The Island, une histoire dystopique sur un groupe de personnes qui vivent leur vie strictement enrégimentée. L’histoire se concentre sur un travailleur nommé Lincoln Six Echo qui, à travers une série de coïncidences, découvre l’horrible vérité sur l’établissement dans lequel il vit et sur le sort auquel lui et ses concitoyens sont confrontés : ce sont des clones créés dans le but de prélever des organes si ceux qui ont payé leur création en ont besoin. Ce sont des êtres humains, oui, mais le seul but de leur existence est de fournir des organes et des parties du corps de rechange.

    Il y a quelques années, un leader pro-vie a noté dans une interview que le film contenait des messages intrinsèquement anti-avortement. En fin de compte, L’île pourrait également s’avérer prophétique. La société de biotechnologie basée en Israël Renewal Bio espère créer des embryons humains «synthétiques» dans le but explicite de prélever leurs organes à la fois pour la transplantation et pour le traitement de l’infertilité, du vieillissement et des maladies génétiques. Selon le New York Post, Renewal Bio a « affirmé avoir utilisé avec succès la technologie avancée des cellules souches et des utérus artificiels pour créer des embryons de souris qui ont continué à se développer pendant plusieurs jours« .

    Maintenant que le processus a fonctionné avec des embryons de souris, qui, selon le MIT Technology Review, sont restés en vie « jusqu’à ce qu’ils développent des cœurs battants« , un flux sanguin et les débuts d’un cerveau, les chercheurs veulent utiliser le même processus pour créer des embryons humains. Jacob Hanna de l’Institut Weizmann des sciences en Israël et fondateur de Renewal Bio a publié les résultats dans la revue Cell. Il est enthousiasmé par le potentiel. « L’embryon est la meilleure machine à fabriquer des organes et la meilleure bio-imprimante 3D – nous avons essayé d’imiter ce qu’il fait. Remarquablement, nous avons montré que les cellules souches embryonnaires génèrent des embryons synthétiques entiers, ce qui signifie que cela inclut le placenta et le sac vitellin entourant les embryons« .

    Ce que Jacob Hanna propose ressemble beaucoup à une version à petite échelle de ce que les méchants ont fait dans The Island – faire exister de nouveaux êtres humains dans le but explicite de les piller de certaines de leurs parties afin d’aider d’autres êtres humains plus âgés et surtout plus fortunés. Jacob Hanna a déclaré au Guardian  « Nous sommes vraiment enthousiasmés par ce travail et ses implications. » Les embryons humains, estime Jacob Hanna, seront essentiellement une ressource renouvelable qui pourra être utilisée pour « traiter des affections médicales » et inverser « la baisse des taux de natalité et le vieillissement rapide des populations« .

    Le site Web de Renewal Bio affirme : « Pour résoudre ces problèmes complexes, Renewal Bio vise à rendre l’humanité plus jeune et en meilleure santé en tirant parti de la puissance de la nouvelle technologie des cellules souches« . En fait, Jacob Hanna insiste sur le fait que ces nouveaux embryons « synthétiques » – qui sont créés sans ovules fécondés – sont « une alternative éthique et technique à l’utilisation d’embryons [naturels]« . Selon Jacob Hanna : « En Israël et dans de nombreux autres pays, comme les États-Unis et le Royaume-Uni, c’est légal et nous avons l’approbation éthique pour le faire avec des cellules souches pluripotentes induites par l’homme. »

    Certains spécialistes de l’éthique, bien que libéraux, sont néanmoins préoccupés par ces expériences et ont appelé à une surveillance gouvernementale « pour s’assurer que les progrès technologiques qui permettent de répliquer des embryons humains ne sont pas abusés« . Quel euphémisme. Le généticien Paul Tesar de la Case Western Reserve University a admis qu’il y a toujours des risques. « Il y aura toujours une zone grise« , a-t-il déclaré à StatNews . « Mais en tant que scientifiques et en tant que société, nous devons nous réunir pour décider où est la ligne et définir ce qui est éthiquement acceptable.« 

    Il faut être clair : une entreprise de biotechnologie prévoit de créer des êtres humains aux premiers stades de développement dans le but de les utiliser comme des pièces de rechange. Ce n’est pas un motif éthique. C’est le territoire de Frankenstein.

     

    Source : medias-presse.info

  • Un manequin transgenre de 10 ans, la genderofolie dans toute son abomination

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2022

    Auteur : 

    La gaystapo a encore frappé.

    Faire travailler un enfant pour qu’il ait de l’argent de poche en tondant le gazon du voisin relève de l’esclavage. L’instruire à la maison est une abomination sociale. Le punir corporellement par une fessée relève de la maltraitance. Mais permettre à un enfant de 4 ans de « commencer sa transition sociale », c’est-à-dire de s’identifier le sexe opposé à celui de sa naissance, et de défiler à 10 ans sur un podium de mannequin est considéré une avancée sociale qu’il faut applaudir des deux mains. Le monde arc-en-ciel et progressiste rend les gens fous à lier !

    Ainsi un mannequin ‘transgenre’ de 10 ans devient le plus jeune mannequin à défiler sur le podium de la Fashion Week de New York, sous les regards admiratifs de ses « parents », Dee McMaher, 35 ans, et Ray, 32 ans, eux-mêmes transsexuels. Dee Beth McMaher est une femme dans la trentaine qui s’identifie comme un transsexuel masculin, utilise les pronoms eux/eux et prend de la testostérone depuis un certain temps comme en témoigne sa moustache. Elle a récemment subi une mastectomie ‘esthétique’. Son partenaire, Roy, est également une femme trans qui se croit un homme.

    Selon le site Web de la Point Foundation, McMaher, née Kalick, est une « défenseuse et éducatrice » pour les enfants transgenres depuis 10 ans, à peu près depuis la naissance de Noël. McMaher a eu deux enfants avec un homme qui a perdu leur garde et risque même une peine de prison pour maltraitance d’enfants. Le père, Timothy McCord, s’était en effet opposé à l’identité transgenre de Noël, 4 ans.

    En 2019, McMaher a ‘épousé’ Ray, une femme biologique qui s’identifie également comme transgenre et travaille dans la « justice sanitaire LGBTQ ». Le duo d’invertis semble avoir un autre jeune enfant qu’ils élèvent comme non binaire, se référant à l’enfant comme un « theybie » qui est souvent photographié dans un pull qui dit « sans sexe, c’est mieux ».

    Selon la mère Dee Beth McMaher, son garçon aurait commencé « sa transition » pour devenir une fille à l’âge de 4 ans. Dès ce moment, McMaher emmène son fils en thérapie à la clinique de développement du genre de l’hôpital pour enfants Ann & Robert H. Lurie de Chicago. En 2019, la mère trans déclare au Chicago Parent que Noël subira des « chirurgies de genre » à 16 ans, mais qu’en attendant l’enfant prend des bloqueurs de puberté et de l’hormonothérapie.

    S’adressant à Reduxx sur l’affaire, Sinead Watson, une transgenre repentie, a exprimé son incrédulité face aux détails troublants.

    « Je ne peux pas croire que cet enfant se soit identifié ainsi à un si jeune âge. Je ne peux pas croire que cet enfant – ce bébé – se soit affirmé du mauvais sexe dès l’âge de 2 ans. Et qu’il ait demandé un changement juridique à 6 ans. Toute cette affaire est odieuse. »

    « Que les parents de cet enfant soient tous les deux « trans » ou « queer » ne me surprend pas. Ils imposent leurs propres idées idéologiques à leur bébé innocent. »

    Ayant fréquenté le milieu transgenre pendant 3 ans, Sinead Watson considère que le phénomène n’est pas nouveau : elle a vu des histoires de parents imposant une transition sexuelle à leur enfant dès 2015.

    « Comme pour la contagion sociale chez les enfants vulnérables, on voit de plus en plus de parents atteints du syndrome de Münchausen par procuration. Ce ne sont pas les enfants qui sont trans, ce sont les parents qui veulent qu’ils soient trans. »

    Sinead Watson n’hésite pas à considérer comme de « la maltraitance d’enfants » le projet de la famille de faire subir à Noël des « chirurgies sexuelles » à 16 ans.

    « Tant d’enfants seront blessés par cela à l’avenir. Tant. Je ne peux rien dire d’autre sauf que je suis absolument dégoûtée par ce que ces gens font à ce pauvre enfant. Impardonnable. »

    La transition de genre dès l’enfance est devenue une préoccupation croissante ces dernières années, car beaucoup ont été témoins d’une explosion dans les cliniques de genre d’ « enfants trans ». Selon Gender Mapper, l’Amérique du Nord a vu le nombre de cliniques pédiatriques d’identité de genre passer d’une poignée à « plus de 200 » en seulement 10 ans.

    Le 25 février, l’Académie nationale de médecine de France a publié un communiqué à l’intention de ses membres professionnels notant qu’elle avait pris conscience d’une « forte augmentation de la demande » de jeunes et d’adolescents cherchant des services d’identité de genre. L’Académie l’a qualifié de « phénomène de type épidémique » et a averti les cliniciens de faire preuve de prudence lorsqu’ils traitent avec des jeunes présentant des problèmes d’identité de genre.

    Mais les professionnels de la santé français ne sont pas les seuls à être inquiets par ce phénomène forgé par les lobbies lgbtqi+ et dérivant de la mode. À l’échelle mondiale, plusieurs pays et autorités sanitaires ont pris des mesures pour essayer d’arrêter ou de restreindre la transition sexuelle de l’enfance, citant des conséquences négatives à long terme pour l’enfant.

    Cette affaire illustre à ‘merveille’ la folie de l’idéologie du genre et le ses adeptes fous : c’est toute une jeunesse qu’on assassine !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

      

  • Implanter des puces chez les enfants : une idée du Forum Economique Mondial

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2022

    Auteur : 

    L’excellent blog du journaliste italien Maurizio Blondet dévoile une nouvelle idée du Forum Economique Mondial de Davos. Les hypothèses de ceux que la nomenklatura médiatique et politique nomme dédaigneusement « les complotistes » deviennent réalité.

    « Il est désormais impossible d’être des théoriciens du complot : les hypothèses complotistes les plus risquées sont même anticipées par le Forum Economique Mondial », commente Blondet, à la lecture d’un article de blog sur le site Web de l’élite de Davos qui discute de l’avenir de la réalité augmentée et d’une « société augmentée ».

    « Même si les implants à puce peuvent faire peur, peut-on lire dans cet article, ils font partie d’une évolution naturelle des mœurs que les appareils portables ont autrefois subie. Les appareils auditifs ou les lunettes ne sont plus stigmatisés » oubliant de préciser que les lunettes et les appareils auditifs ne sont pas intégrés dans le corps et ne peuvent pas non plus être contrôlés par des forces extérieures.

    « Ce sont des accessoires et sont même considérés comme un article de mode. De même, les implants deviendront une marchandise », écrit la scientifique Kathleen Philips, laissant entendre que la culture dominante et les influenceurs seront mis à profit pour promouvoir les puces implantables en tant que symbole de statut à la mode.

    « L’article, analyse le journaliste italien, émet l’idée que les humains augmentés sont inévitables et que les élites mondiales doivent établir un monopole de pouvoir sur la technologie pour la réguler « éthiquement ». La technologie a besoin du « bon soutien, de la vision et de l’audace », qui bien sûr seront fournis par les dirigeants technocratiques, les mêmes personnes qui envisagent de censurer Internet afin qu’ils ne puissent pas être critiqués. »

    « La technologie augmentée aidera à toutes les étapes de la vie : les enfants dans un environnement d’apprentissage, les professionnels au travail et les personnes âgées ambitieuses. Il existe de nombreuses possibilités », écrit encore Kathleen Philips. « Pourquoi ne pas implanter une puce de suivi à votre enfant ? » se demande-t-elle en ajoutant : « Il y a des raisons solides et rationnelles à cela, comme la sécurité ». Et tant pis pour les libertés fondamentales sacrifiées sur cet autel de la sacro-sainte sécurité qui permet ainsi de tracer, surveiller, diriger les populations.

    Comme de nombreux articles de MPI l’ont démontré ainsi que la dernière UDT de Civitas, cette idée de l’implantation de micro-puces est une des moyens de contrôle des peuples théorisé par le chef du Forum économique mondial, Klaus Schwab. Dans son livre The Great Reset, il affirme sans équivoque que la quatrième révolution industrielle « conduira à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique », ce qui indique clairement qu’il s’agit d’une micropuce implantable capable – aussi – de lire vos pensées.

    Lors de la réunion d’élite mondiale de Davos de cette année, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a expliqué à Schwab qu’il y aurait bientôt des « pilules ingérables », une pilule avec une minuscule puce électronique qui enverrait un signal sans fil aux autorités compétentes lorsque le médicament est consommé.

    « Il n’y a pas si longtemps, ceux qui spéculaient sur un avenir proche où cela se produisait étaient rejetés comme des théoriciens du complot, mais maintenant, le bloc le plus franc des élites mondiales prédit que les implants à puce finiront par devenir simplement une marchandise en tant qu’une « autre » », écrit Didi Rankovic.

    Bien informé, Blondet souligne qu’ « une école primaire australienne, a prédit « des micropuces dans le cerveau des élèves » dans les 10 ans à venir avant de supprimer par la suite le bulletin d’information contenant la terrible prophétie. L’Australie, comme le Canada et la Nouvelle-Zélande, prouve qu’elle est une avant-garde dans la mise en œuvre de la Grande Réinitialisation. »

    Une Grande Réinitialisation, promue par des apprentis sorciers qui ont en haine la Création divine et se prennent pour Dieu,  en marche...

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’équipe de « France » de football féminin

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2022

    Au-delà de l’incongruité de la diffusion de ce genre de match (le foot féminin n’a aucun intérêt, pour être aimable), on notera que cette affiche totalement africaine ne semble choquer personne, parmi les médias, les associations antiracistes, les politiciens cosmopolites, tous ceux qui réclament perpétuellement de la « diversité ».
    Or, le moins qu’on puisse dire, c’est que cette équipe de « France » n’est pas diversifiée.
    Mais l’indifférence de tous ces acteurs immigrationnistes n’a rien d’étonnant en réalité : la promotion de la « diversité » n’est que le masque du racisme antifrançais, celui du Grand Remplacement.

  • À Grenoble, la spirale du règlement de comptes permanent

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2022

    En moins de deux mois, neuf épisodes de violences par arme à feu ont été enregistrés dans la capitale des Alpes sur fond d’économie parallèle. Derniers faits en date : deux blessés graves boulevard Foch dans la nuit de samedi à dimanche et deux fusillades place Saint-Bruno en pleine journée.

    Grenoble sortira-t-elle un jour de la spirale de l’ultra-violence à laquelle l’omniprésence de l’économie parallèle, trafic de stupéfiants au premier chef, semble l’avoir condamnée ? Malgré les efforts des autorités judiciaires et des services d’enquête pour déstabiliser les groupes criminels, c’est bien un constat pessimiste qui s’impose en cette fin d’été brûlant. Pour la seule commune de Grenoble, neuf épisodes de violence par arme à feu ont été répertoriés depuis la fin du mois de juin, la majorité d’entre eux étant liée à des règlements de comptes. Telle une fatalité, cette loi sauvage du règlement de comptes permanent ne semble plus, en apparence, concerner grand monde, comme si elle n’avait pas pour théâtre les rues de la […]

    Le Dauphiné via fdesouche