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  • Pugnac (33) : un gendarme grièvement blessé après avoir été percuté et traîné sur plusieurs dizaines de mètres par un chauffard refusant d’obtempérer

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

    Un gendarme a été grièvement blessé mercredi en fin d’après-midi à Pugnac (Gironde) après avoir été percuté par un automobiliste à la suite d’un refus d’obtempérer. Le plan Epervier a été déclenché pour retrouver le suspect.

    Une nouvelle affaire de refus d’obtempérer. Un gendarme a été grièvement blessé mercredi à Pugnac en Gironde après avoir été percuté puis traîné par un automobiliste qui a refusé de s’arrêter. 

    «Il a été traîné sur plusieurs dizaines de mètres, souffre de fractures à la jambe et de dermabrasions sur le corps, ont précisé les gendarmes. Il a été hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger, son pronostic vital n’est pas engagé».

    Le ministre de l’Intérieur a témoigné sur Twitter de son «plein soutien» à la victime. «Les refus d’obtempérer tuent : il faut sans cesse le redire. Le suspect est activement recherché et le plan épervier est déclenché», a-t-il également indiqué. 

    CNews via fdesouche

  • Auterive (31) : Une famille à bout de nerfs vit sous le caillassage nocturne de sa maison par une bande de jeunes. “Ces jeunes nuisent au vivre-ensemble de notre commune”, déplore le maire

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

    Depuis de longues semaines, une bande de jeunes, pour le moment impossibles à appréhender, font vivre un véritable enfer à une famille des beaux quartiers d’Auterive.

    La première fois, c’était à la fin de l’hiver, lors des vacances de février. Depuis, à chaque période de congés scolaires, ça recommence. « Ils arrivent un peu avant minuit et là c’est l’enfer, ça caillasse pendant près de 2 heures », raconte Muriel, une quadragénaire installée ici avec son mari et sa fille, dans l’un des nouveaux quartiers plutôt huppés d’Auterive.

    Difficile d’imaginer sur ce balcon résidentiel à l’atmosphère benoîte qu’un déferlement de violence et de bêtise vienne soudain s’abattre la nuit venue. Une violence qui fait froid dans le dos quand on fait le tour extérieur du propriétaire et que l’on relève les profonds éclats dans les murs, les volets, les parois…

    (…) « On connaît ces jeunes qui nuisent au vivre-ensemble sur notre commune. On les attrape parfois », confie René Azéma, le maire d’Auterive. « Attraper », c’est justement ce qu’auraient suggéré à Muriel et Ludovic les gendarmes, en une sorte de self-défense. « Oui, on m’a dit de mettre des caméras et d’attraper moi-même ces jeunes », affirme Ludovic, qui se dit prêt à s’armer d’objets pour passer à l’action.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Entre 2017 et 2019, 22394 personnes ont fait une demande de titre de séjour en France pour trouble psychiatrique

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

     

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    Haut Conseil de la santé publique (PDF)

  • Quand une journaliste évoque les frappes ukrainiennes sur les hôpitaux, censure en direct sur BFM TV

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

    Quand une journaliste évoque les frappes ukrainiennes sur les hôpitaux, censure en direct sur BFM TV.

    Quand Anne-Laure Banse, la reporter de BFM à Kherson, explique que les Ukrainiens bombardent Kherson, les hôpitaux et la ville, 3 secondes plus tard, antenne coupée: « Ah, on a perdu Anne-Laure ! ».

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1582650582350721028

     

  • Dans les Yvelines, 5 600  primo-arrivants apprennent le français pour une « intégration réussie »

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2022

    Le principal frein à une intégration réussie : l’absence de maîtrise de la langue française.  Pour lutter contre cet obstacle, la ville et l’État encouragent son apprentissage grâce à des cours du soir. Dans les Yvelines, 5 600 primo-arrivants suivent des cours de français.

    En arrivant en France pour retrouver son épouse, Souleiman s’est heurté à plusieurs difficultés. Il a par exemple loupé son examen du Code de la route. Puis s’est retrouvé incapable de corriger les devoirs de sa fille. Pour se défaire de ce handicap quotidien, ce diplômé en comptabilité a étudié le Français dans une association de Mantes-la-Jolie. « Au début c’était difficile : dans mon pays, la deuxième langue c’est l’Anglais, pas le Français ! » précise-t-il.

    Ce jeune Pakistanais de 29 ans est désormais intégré à un dispositif reconnu par l’État : le projet d’accueil et d’intégration. Le premier de ces contrats en Île-de-France vient d’être signé à Mantes-la-Jolie. Ces contrats, c’est un peu « l’école de la France ».

    Pour faire simple, il s’agit d’accompagner des personnes étrangères afin de favoriser leur intégration. Plusieurs vecteurs sont utilisés comme l’accès au logement, au travail… Dans cette commune de presque 43 000 habitants où 26 % de la population est de nationalité étrangère, c’est l’apprentissage du Français qui a été retenu comme facteur principal d’intégration.

    Cinq associations ont été retenues pour enseigner la langue aux « primo-arrivants » via des cours du soir. La municipalité est chargée de mailler le territoire et de faciliter le travail des associations. L’État, lui, contribue financièrement et met à disposition ses services. « Dans une ville comme Mantes-la-Jolie, on peut s’appuyer sur un très riche tissu associatif. Nous avons les moyens d’épauler beaucoup de monde », assure Pascal Courtade, préfet délégué pour l’égalité des chances. Dans les Yvelines, 5 600 primo-arrivants suivent des cours de français, mais à travers plusieurs dispositifs. « L’idée, c’est créer un guichet unique pour faciliter son accès », résume Pascal Courtade.

    Et ensuite ? Ensuite, direction l’emploi. Depuis une vingtaine d’années, élus et pouvoirs publics assument plus facilement leur volonté d’optimiser l’intégration des migrants à des fins économiques. C’est encore plus vrai avec les tensions durables sur le marché de l’emploi. […]

    Le Parisien via fdesouche