Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 46

  • 5 décembre : anniversaire de la naissance du franc

    Publié par Guy de Laferrière le 05 décembre 2022

    N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique. Pas de nation libre sans sa monnaie propre, évidemment.

    L’espoir de la retrouver prochainement n’a rien de naïf, même si aucun gros parti ne le défend désormais.

    Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).
    Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.
    Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec l’inscription circulaire « Iohannes Dei gratia Francorum Rex » (« Jean, par la grâce de Dieu, Roi des Francs »).

    Au dos, on lit sur le pourtour « XPC VINCIT • XPC REGNAT • XPC INPERAT », vieille acclamation carolingienne signifiant « le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande ».
    Ça a plus de gueule que les monnaies républicaines, non ?

    Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de la première inscription.
    Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :
    « Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».

    On est loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…

    Source : L’Héritage

  • “J’en ai les larmes aux yeux” : les kiosquiers de la tour d’Eiffel expulsés par la mairie de Paris d’ici la fin de l’année 2022, les vendeurs à la sauvette “grands gagnants” (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

    03/12/22

    « Je sais que je vais pleurer quand ils vont enlever le kiosque », prévient Sylvie, employée du Kiosque des fontaines, face à la tour Eiffel. La douzaine de kiosques des abords de la Dame de fer est sommée de partir d’ici la fin de l’année 2022 par la Ville de Paris, en vue des travaux de rénovation de la tour Eiffel prévus pour accueillir les Jeux olympiques 2024.


    02/12/22

    Sous couvert de travaux en vue des Jeux olympiques, la Ville de Paris a décidé d’expulser avant la fin de l’année la douzaine de kiosquiers officiels qui proposent des souvenirs et des denrées alimentaires près de la tour Eiffel et du Trocadéro. Un manque à gagner estimé à plus de 10 millions d’euros qui pourrait profiter au marché noir.

    Durant toute l’année 2023, au pied de la tour Eiffel, si les vacanciers ont soif, veulent déguster des churros ou s’acheter un porte-clé de la Dame de fer, ils n’auront pas le choix. Il leur faudra se tourner vers les draps tendus sur le macadam par les vendeurs à la sauvette qui se répartiront un « gâteau » estimé à plus de dix millions d’euros par an. Car la Ville de Paris a décidé d’expulser tous les kiosquiers autour du Trocadéro et de la tour Eiffel, le monument emblématique de la capitale.

    Cette douzaine de petits commerçants officiels — payant un loyer dépassant souvent 100 000 euros annuels et employant chacun une dizaine de vendeurs, afin d’écouler nourriture ou souvenirs — refuse de quitter ces sites touristiques. Mais la mairie multiplie les procédures pour les obliger à partir.

    (…)

    « Les kiosques ne dérangent absolument pas, ils ne sont même pas situés sur les coins de pelouse qui doivent être créés, plaide Me Charles-Édouard Forgar qui défend plusieurs commerçants. En plus, si besoin, les kiosques peuvent être déplacés avec un simple transpalette pour être posés où la mairie le souhaitera, au moins jusqu’à fin 2023. Mais la Ville n’a jamais répondu. La vérité, c’est que ce chantier, c’est un enfumage pour se débarrasser des kiosquiers. Pour certains, leur concession court pourtant jusqu’à 2025, et aucune indemnité n’a été proposée… »

    (…)

    Pendant l’été, la mairie de Paris a lancé un appel d’offres pour toutes ces concessions qui ne seront pourvues qu’à l’issue des travaux, donc début 2024 — laissant le champ libre au marché noir pendant les chantiers

    (…)

    Sa fille Juliette renchérit : « C’est mon métier aussi, je n’ai même jamais réfléchi à ce que je pourrais faire d’autre. Et même pour l’image de Paris, durant un an, ça va donner quoi ? Tous les gens qui veulent grignoter quelque chose iront acheter à des gens dans la rue qui ne respectent aucune règle d’hygiène ? »

    « Notre kiosque, c’est notre bébé »

    Déjà, les vendeurs à la sauvette tiennent le pavé. Le soir surtout, certains écoulent par exemple des châtaignes grillées sur un barbecue de fortune. « Ils font fonctionner ça avec des bouteilles de gaz, c’est hyper dangereux », lâche Baptiste qui tient un kiosque alimentaire sur les quais, face à la tour Eiffel avec son associée Tatiana. Proche de la trentaine, ce duo a pris un crédit pour près de 300 000 euros afin d’investir dans ce commerce qui a ouvert fin 2019.

    (…)

    Le Parisien via fdesouche

  • Avec 70% de migrants clandestins renvoyés, Chypre détient le record européen des expulsions

    Publié par Guy de Laferrière le 04 octobre 2022

    L’île européenne de Chypre a expulsé 70 % des migrants entrés illégalement dans le pays en 2022, soit 7 000 personnes. Un nombre record d’expulsions facilité par des accords avec les pays d’origine, comme l’Inde, le Bangladesh, le Pakistan et le Vietnam.

    Chypre est de plus en plus prisée par les exilés, notamment africains, comme porte d’entrée en Europe. Mais l’île européenne est aussi le pays membre de l’Union européenne (UE) qui expulse le plus de migrants, en proportion avec sa population.

    Près de 7 000 personnes ont été renvoyées depuis ce territoire vers leur pays d’origine depuis le début de l’année 2022, ce qui représente 70 % des personnes entrées illégalement dans le pays, a indiqué, jeudi 1er décembre, le ministre de l’intérieur Nicos Nouris. Un chiffre qui a bondit en une année. En 2021, Chypre avait rapatrié seulement 17 % des migrants arrivés sans autorisation.

    Ce nombre record d’expulsions a été permis grâce à la signature d’accords entre Nicosie et des pays comme l’Inde, le Bangladesh, le Pakistan et le Vietnam. Toutefois le ministère chypriote n’a pas précisé la nationalité des 7 000 expulsés.

    Les retours de migrants sont aussi facilités par un bureau nouvellement créé, en charge de la coordination des activités de différents ministères et agences de l’État, notamment le service d’asile, la police et l’agence européenne des frontières Frontex.

    Une zone tampon perméable aux passages clandestins

    Sur l’île, les demandes d’asile ont atteint le nombre de 18 345 entre janvier et octobre de cette année. Le nombre de personnes dont la demande d’asile est en attente ou qui se sont déjà vu accorder un statut de protection plus limité équivaut à plus de 6 % de la population de Chypre, d’après le ministère de l’Intérieur.

    La grande majorité des demandeurs d’asile arrivent à Chypre par la Turquie. Après avoir obtenu un visa étudiant, ils prennent un vol pour Ercan, une ville située dans la partie nord de l’île, sous occupation turque. Puis ils traversent ensuite la zone tampon.

    (…) Info-Migrants via fdesouche

  • France : le cirque justice sévère avec un dompteur de tigres, indulgente avec les migrants criminels

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

    Article publié le 02.12.2022

    Pauvre France ! Alors que de faibles peines de prison (avec sursis dans certains cas) condamnent les migrants ayant commis des actes délictueux ou criminels, le tribunal de Beauvais vient de condamner très lourdement un patron de cirque Mario Masson. Son crime ? Elever et présenter un spectacle avec dx tigres.

    Le dresseur de tigres Mario Masson est notamment condamné à 5 000 euros d'mande pénale, à la suppression de ses droits civiques pendant deux ans, à la saisie de ses 10 tigres. Il doit verser 246 000 euros aux diverses parties prenantes du dossier, à savoir des associations écologistes.

     

    Source : lesobservateurs

  • Mauges-sur-Loire (49) : Une femme handicapée, en fauteuil roulant, violée dans un parc par un migrant africain se disant mineur et hébergé dans un centre de la commune (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 04 octobre 2022

    02/12/22


    01/12/22

    Les faits dénoncés auraient été commis le 12 novembre 2022 dans un parc de La Pommeraye (Mauges-sur-Loire) dans l’ouest du département. Le suspect, un jeune migrant hébergé dans un centre de la commune, a été rapidement interpellé. Il a été mis en examen pour viol sur personne vulnérable et placé en détention provisoire.

    (…)

    L’enquête ouverte a rapidement permis d’identifier les deux personnes qui se trouvaient dans le parc avec la plaignante. Il s’agit de deux hommes hébergés au CPAR (Centre de préparation au retour volontaire) de La Pommeraye.

    (…)

    Selon nos informations, ils y ont été accueillis après avoir été expulsés de camps de migrants situés dans le Nord et en région parisienne. Ils n’étaient pas dans la démarche initiale du centre, à savoir le retour volontaire vers leur pays d’origine.

    (…)

    Au-delà de la procédure judiciaire engagée, le mis en examen ne peut donc pas faire, en l’état, l’objet d’une procédure d’expulsion. Une telle procédure pourrait être engagée si le tribunal de Paris apporte la preuve de sa majorité et si une éventuelle demande d’asile est rejetée.

     

    www.ouest-france.fr via fdesouche