Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 43

  • L’hyperviolence à Mayotte : « Ils ont voulu le démembrer avant de le tuer. Ils ont mis le supplicié sur des tréteaux et le tenaient à plusieurs pour procéder à la découpe »

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

    La pression migratoire et la délinquance juvénile assombrissent l’avenir de l’archipel français.

    « Ils ont voulu le démembrer avant de le tuer. Ils ont mis le supplicié sur des tréteaux et le tenaient à plusieurs pour procéder à la découpe. » Le directeur territorial de la police nationale (DTPN) de Mayotte, Laurent Simonin, décrit un crime commis dans la folie de novembre à Mamoudzou, la capitale. Cet ancien de la préfecture de police de Paris, au physique de parachutiste et rompu à l’ordre public, poursuit son constat clinique : « Il y a une spécificité criminelle ici ; la mort est mise en scène pour semer l’effroi. » Avant, le corps d’une autre victime avait été exposé sur un pont, un autre à l’entrée d’un bourg, roulé dans une macabre chrysalide de feuilles de palmier tressées.

    Sous les fenêtres du DTPN, la maternité de Mamoudzou subit de plein fouet la pression migratoire : pas loin de 12 000 naissances à prévoir en 2022, contre 10 000 d’ordinaire. C’est plus de 30 bébés par jour ! La construction d’un deuxième hôpital au sud de Grande-Terre est programmée. « Projet structurant » , se félicite-t-on à la préfecture. Au risque d’entretenir « l’appel d’air » , redoutent certains observateurs. Deux cents mètres plus bas, le bureau des « cartes de séjour » est pris d’assaut tous les matins par une marée humaine. Surtout des femmes en salouva , cette robe enveloppante aux couleurs vives qui cache les rondeurs. Elles arborent fièrement le m’zindzano , ce masque de poudre de bois de santal qui illumine le visage au premier sourire.

    Tout pourrait être si paisible dans ces contrées baignées d’un islam modéré, mâtiné d’animisme. […]

    « Si on ne fait rien, en 2050, il y aura 750 000 habitants à Mayotte » , reconnaît le préfet du département […]

    un cadre de banque lâche : « Les Mahorais des familles les plus aisées n’étaient pas si mécontents de voir arriver des Comoriens pour accepter mille petits boulots dans cet archipel où l’argent liquide est roi. Et puis les nouveaux Français deviendront, pour les élus, une manne de nouveaux électeurs » . […]

    Le Figaro via fdesouche

  • SOYEZ ROYALISTES OU NE VOUS PLAIGNEZ PAS !

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

     

    Circule sur tweeter en ce moment... Facile, mais pas mal non plus...

    1A.jpg

    Moralité ?

    Virez donc cette République (idéologique) pourrie !

    Ou, alors, ne vous plaignez pas !

    C'est çà :

    SOYEZ ROYALISTES OU NE VOUS PLAIGNEZ PAS !

     

    Source : lafautearousseau

  • [VIDÉO] Poutine a roulé sur le pont de Crimée, partiellement détruit en octobre par une énorme explosion

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

     
    Le prédident russe a ce lundi effectué sa première visite dans la péninsule annexée depuis le début de l’offensive contre l’Ukraine.

    Le président Vladimir Poutine s’est rendu sur le pont de Crimée qui avait été partiellement détruit en octobre, sa première visite dans la péninsule annexée depuis le début de l’offensive contre l’Ukraine, ont rapporté lundi les médias russes dont Ria Novosti.

     

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Eglise « catholique » en Allemagne : les registres de baptême s’adaptent aux LGBT

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Ainsi va l’Eglise en Allemagne, et Rome se tait

    L’archevêché de Fribourg-en-Brisgau a publié un décret pour « l’inscription du baptême dans le registre du baptême dans des cas particuliers », qui entrera en vigueur le 1er janvier 2023. Il a établi des règles pour que « les diversités familiales et de genre existantes (sic) » soient représentées dans les registres paroissiaux.

    Le père Thorsten Weil, official de l’archidiocèse, a expliqué au site katholisch.de les raisons de ce décret. « Le droit suit la vie (sic) », il était nécessaire de prendre des dispositions juridiques qui réagissent à cette évolution de la société, dit-il.

    Les demandes de ce type sont encore très rares. Il n’y a qu’un ou deux cas par an pour une population de 1,7 million de catholiques, a précisé le père Weil. – Mais la loi doit néanmoins s’adapter à l’évolution des mœurs…

    Jusqu’à présent, la pratique suivait la réglementation de 1995 de la Conférence épiscopale allemande pour l’inscription du baptême des enfants adoptés. La ligne générale qui s’applique à chaque enfant inscrit au baptême reste valable, indique l’official.

    Elle est inscrite dans le droit canonique : « Il doit exister un espoir fondé que l’enfant » – par ses parents, au moins l’un d’entre eux ou leur représentant légitime – « sera élevé dans la religion catholique ». Si le prêtre compétent estime que cet espoir fait défaut le baptême doit être reporté.

    Dans ce cadre, les parents de même sexe qui demandent le baptême de leur enfant ne sont pas traités différemment.

    Ainsi, lors du baptême de l’enfant d’un « couple homosexuel civilement marié », si l’un de ses parents est son parent biologique, il sera inscrit comme tel dans les registres paroissiaux. L’autre (ou, le cas échéant, les deux) sera noté comme « personne ayant la garde », à l’instar des parents adoptifs dans un couple hétérosexuel. Dans les cas de maternité de substitution (GPA), il faudra se référer à l’Officialité diocésaine de Fribourg pour une décision individuelle.

    Les personnes transgenres baptisées qui changeront de sexe à l’état civil, qu’elles se fassent opérer ou non, verront leur sexe officiel indiqué en marge de l’acte de baptême, sans que leur sexe de naissance ne soit biffé.

    Quant aux personnes intersexes, c’est-à-dire dont les caractères sexuels ne correspondent pas aux définitions des corps masculin et féminin, elles pourront être inscrites dans les registres de baptême sans mention de sexe ou avec l’indication « divers », en attendant éventuellement une clarification reconnue par l’Etat.

    Ainsi va l’Eglise en Allemagne, et Rome se tait.

    Sources : cath.ch/ katholisch.de/DICI n°426 – FSSPX.Actualités

  • Nouvelle-Zélande : des parents refusent du «sang de vacciné» pour l’opération de leur bébé malade

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

    Auteur : 

    N’importe quel sang contaminé peut être refusé pour une

    transfusion, sauf le sang contaminé par le « vaccin » covid19 ?

    L’affaire fait grand bruit en Nouvelle-Zélande. L’opération cardiaque d’un bébé a été repoussée, faute d’autorisation accordée par les parents, rapporte le journal néo-zélandais NZHérald. 

    « Nous ne voulons pas de sang contaminé par la vaccination, a déclaré le père. Nous sommes d’accord avec tout ce que veulent faire les médecins, sauf ça. »

    Les autorités néo-zélandaises ont demandé mardi 6 décembre à la justice de leur confier la garde d’un bébé dont les parents, craignant qu’il ne reçoive du sang provenant de donneurs vaccinés contre le Covid-19, s’opposent à une opération chirurgicale destinée à lui sauver la vie. Les autorités sanitaires ont indiqué avoir déposé cette demande ce mardi en urgence devant la Haute-Cour d’Auckland, principale ville de Nouvelle-Zélande.

    Le nourrisson de quatre mois, dont l’identité est tenue secrète sur ordre de la Cour, souffre selon sa mère de sténose valvulaire pulmonaire, un problème cardiaque nécessitant une intervention chirurgicale. Mais cette intervention a été retardée car les parents exigent que le sang qui pourrait être transfusé à l’enfant au bloc opératoire provienne de donneurs n’ayant reçu aucun vaccin à ARN messager contre le Covid-19.

    Leur demande a été rejetée, les hôpitaux de Nouvelle-Zélande ne séparant pas le sang donné par des personnes vaccinées de celui des non-vaccinés : or, pourquoi le font-elles pour les autres sangs contaminés : sida, etc., etc. ?

    Les services de santé ont affirmé qu’ils ont saisi la justice «en tenant compte du meilleur intérêt de l’enfant» et après de «longues conversations» avec la famille.

    Environ 150 manifestants anti-vaccination se sont rassemblés devant le tribunal d’Auckland mardi, pour exprimer leur soutien aux parents.

    La dictature sanitaire continue afin que le great reset aille à son terme.

    Sources : NZHérald / AFP / Ousest-France