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  • Audiences TV : Énorme flop pour « L’évènement », la nouvelle émission politique de France 2, avec Jean-Luc Mélenchon comme invité, battue par W9

    Publié par Guy de Laferrière le 13 janvier 2023

    Après un bon démarrage grâce à Emmanuel Macron fin 2022, la nouvelle émission politique de la Deux n’a pas su confirmer l’essai.

    Difficile de dire que la nouvelle émission politique de France 2 a fait « L’événement ». Avec Jean-Luc Mélenchon, le patron de la France insoumise, le rendez-vous de Caroline Roux n’a pas réitéré le succès des deux premiers numéros autour du président de la République Emmanuel Macron – qui avait toutefois démarré trente minutes plus tôt. Ainsi, 1,03 million de téléspectateurs ont suivi cette soirée, soit seulement 5,3 % du public. La Deux finit ainsi au cinquième rang du classement.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Thomas Legrand (Libé) s’inquiète du succès du modèle danois : “Un mouvement idéologique, hybride inquiétant entre la préservation de l’Etat social et une politique migratoire conservatrice, progresse en Europe, au point de passer pour une solution raisonn

    Publié par Guy de Laferrière le 13 janvier 2023

    Un mouvement idéologique, hybride inquiétant entre la préservation de l’Etat social et une politique migratoire conservatrice, progresse en Europe, au point de passer pour une solution raisonnable.

    (…)

    L’universalisme, dont on tire, à juste titre, argument pour justifier d’une nécessaire intégration des étrangers qui s’installent en France, ne pourrait pas se combiner avec une politique de préférence nationale qui serait un élément différentialiste. La bataille politique et culturelle autour de la nature du modèle social français à préserver, puisque officiellement plus personne ne le remet en cause, va devoir être désormais menée sur deux fronts : contre le libéralisme et contre le nationalisme.

    (…) Libé via fdesouche

  • « Mais où sont donc passés les enfants qui allaient chercher le pain à la boulangerie d’en face ? », « La tendance globale dans les villes européennes est celle d’un retrait des enfants de l’espace public »

    Publié par Guy de Laferrière le 13 janvier 2023

    Mais où sont donc passés les enfants qui allaient chercher le pain à la boulangerie d’en face, jouaient à la marelle, se promenaient, en bandes ou par fratries, dans les rues de nos villes et villages ? Mais où sont passés ces enfants en culotte courte photographiés par Robert Doisneau ou Willy Ronis ? Ils sont devenus des adultes, aux cheveux blancs et aux idées bien arrêtées. Leurs enfants à eux, en revanche, sont assis sur le canapé du salon devant Netflix ou une console de jeux.

    Sans aboutir à ce constat (un poil caricatural) et accablant, plusieurs sociologues de la ville, urbanistes et philosophes ont publié des livres récents où ils observent, enquêtes à l’appui, que les enfants ont disparu ces dernières années de l’espace public, n’y sortant plus qu’accompagnés par des adultes. Méfiants et précautionneux, les parents préfèrent garder leurs chères têtes blondes bien au chaud à la maison, loin des agresseurs potentiels et des dangers de la circulation routière.

    « Sur les trois ou quatre dernières décennies, il y a eu une diminution du rayon d’action des enfants autour de leur domicile et du temps passé en dehors sans la présence d’un adulte accompagnateur. La tendance globale dans les villes européennes est donc celle d’un retrait des enfants de l’espace public », assure Clément Rivière, maître de conférences en sociologie urbaine à Lille (Nord) et auteur de « Leurs Enfants dans la ville »

    […]

    Les études de santé publique sont rares mais le prouvent aussi. Selon un rapport de l’Institut national de veille sanitaire de 2015, 4 enfants sur 10 (de 3 à 10 ans) ne jouent jamais dehors pendant la semaine et ne respectent pas en cela les recommandations de santé publique concernant l’activité physique.

    […]

    Deux facteurs entrent en compte : l’essor du trafic automobile qui, par ricochet, a fait disparaître les aires de jeux pour enfants pour les transformer en places de stationnement. Mais aussi l’apparition depuis les années 1990, de la figure du pédophile […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Affaire Le Graët : un exemple de lapidation médiatique

    Publié par Guy de Laferrière le 13 janvier 2023

    Affaire Le Graët : un exemple de lapidation médiatique

    Par Pierre Boisguilbert ♦ C’est sans doute la plus grosse polémique médiatique de ce début de semaine. L’affrontement autour des propos de Noël Le Graët à l’encontre de Zinédine Zidane n’en finit pas. On apprend même aujourd’hui que Noël Le Graët se met en retrait de la FFF. Sur cette polémique, voici un texte de Pierre Boisguilbert.
    Polémia

    On notera que c’est Mbappé qui lui aura jeté la première pierre. La meute a suivi. Noël Le Graët, lors d’un long entretien, a traité, sans l’insulter mais par-dessus la jambe, le cas de Zidane et la volonté de ce dernier de devenir entraîneur de l’équipe de France à la suite de Deschamps. Pour Mbappé, il y a eu immédiatement crime de lèse-footballeur. Comme une sorte de blasphème vis-à-vis d’un dieu avéré de la nouvelle religion révélée. « Zidane, c’est la France, on ne manque pas de respect à la légende comme ça… »

    Pourquoi Mbappé ? Parce qu’il s’attribue un rôle moral et politique, en se servant du sport certes, mais surtout il règle un vieux compte. Kylian qui avait raté un penalty avait été l’objet d’insultes racistes stupides. Il ne l’avait pas accepté et aurait voulu voir le président de la fédération lui apporter tout son soutien. Le Graët, très vieux mâle blanc, est resté sur la réserve, il le paye aujourd’hui.

    Tout de suite est tombé le communiqué Mbappé ; puis cela a été un déchaînement. Il n’y avait plus que ce sujet dans les médias, comme si on avait caricaturé un prophète. Certes les propos de Le Graët étaient inappropriés, mais la réaction l’était encore plus. On lui a tout sorti. Un ivrogne, vulgaire, raciste, homophobe, et accusé de comportements sexistes voire harceleurs. Et comme par hasard, le lendemain sur BFMTV, agente de joueurs, Sonia Souid dénonce, à la suite d’un long entretien à L’Équipe, le comportement déplacé du président de la Fédération française de football, Noël Le Graët, de 2013 à 2017, à son encontre. Il n’a rien fait qui soit susceptible de poursuites, mais tant pis pour lui, il y pensait très fort et a tendu des perches. Le sort de Le Graët est donc entendu.

    La ministre des Sports a cru bon d’enfoncer le clou au pupitre de son ministère. Amélie Oudéa-Castéra n’était pas uniquement venue présenter ses vœux à la presse, lundi 9 janvier. Au lendemain des déclarations polémiques du président de la Fédération française de football (FFF), Noël Le Graët, sur Zinedine Zidane, la ministre des Sports a appelé la quinzaine de membres du comité exécutif (comex) de la FFF à « prendre [leurs] responsabilités » au sujet du dirigeant breton, dont les innombrables « sorties de route successives » sont venues à bout de sa patience. On a eu droit à un réquisitoire lourd comme une mauvaise drague et qui laissait mal à l’aise. Trop, c’est trop, d’autant plus que la ministre ne pouvait pas en faire plus. Elle a tiré, maladroitement mais avec délectation, un tir sans doute commandité par l’Élysée, sur une ambulance.

    Reste les dégâts collatéraux possibles. Car, certes Le Graët est cuit. Mais comment oublier qui a redressé l’équipe de France ruinée et discréditée après le naufrage en Afrique du Sud, gagné une Coupe du monde ? Et qui vient de conforter pour quatre ans Deschamps, l’idole des Français, qui lui donne du « mon président » long comme le bras ?

    Le malaise vient du traitement médiatique ; la mise au bûcher avec des politiques qui jettent du bois pour attiser le brasier contre l’hérétique est gênante. On ne peut plus rien dire contre une idole du foot, pas plus que sur les femmes ou les handicapés. Il est ainsi obligatoire de s’extasier sur l’entretien du président Macron dans le cadre des « rencontres du Papotin ». L’interview du président de la République par des personnes atteintes de troubles autistiques, diffusée samedi 7 janvier sur France 2, a été unanimement célébrée dans tous les médias en extase. Ceux qui ont été finalement plus gênés par cette communication que par autre chose n’osent même pas le dire. La sincérité des journalistes pas comme les autres n’est certes pas en cause. La diffusion en dehors du média concerné est un tout autre problème de communication manipulée, comme l’apparition, à la veille de la réforme des retraites, de Mme Macron sur TF1. Elle encense son mari mais évoque aussi les retraites. Brigitte Macron a tenu à adresser un message aux jeunes. « Ce que me disent les plus jeunes, c’est : “De toute façon, on n’aura pas de retraite.” Moi, ce que j’ai envie de dire aux jeunes, c’est que tout est fait pour que vous en ayez une. » De toute évidence, sur TF1 il manquait un journaliste de Papotin.

    Pierre Boisguilbert
    11/01/2023

     

    Source : polemia

  • Regardez comment les Marocains en ont marre de l’immigration (VIDÉO)

    Publié par Guy de Laferrière le 13 janvier 2023

    Posté par Eric Martin 

    immigration,marocains

     

    Source : ndf