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Le Parti de la France - Page 1014

  • Toulouse : l’école primaire Falcucci, quartier Bagatelle, saccagée une deuxième fois en dix jours

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    Dix jours après une première intrusion et des dégâts importants, une école de Toulouse a dû fermer à nouveau ses portes ce mardi 24 mai. Les enfants ont été renvoyés chez eux.

    C’est la deuxième fois en dix jours… L’école primaire Clément Falcucci de Bagatelle a dû fermer ses portes suite à une intrusion, dans la nuit de ce lundi au mardi 24 mai. Les enfants qui se sont rendus à l’école ce matin ont dû rebrousser chemin. L’école est fermée.

    C’est la deuxième fois en dix jours, réagit une mère d’élève. A priori, les fenêtres ne ferment pas au premier étage, il n’y a pas dû y avoir de sécurisation suffisante. Et ça a permis une deuxième intrusion. C’est un gros problème de sécurité pour nos enfants. La dernière fois, durant le week-end il y a 10 jours, du mobilier a été cassé et de la peinture a été projetée dans 5 classes sans parler des affaires des enfants toutes retournées”.

    France 3


    L’école élémentaire Clément Falcucci, située quartier Bagatelle à Toulouse (Haute-Garonne), a été vandalisée le week-end des 14-15 mai dernier. Les dégâts sont importants dit la mairie qui a porté plainte.

    Les élèves de l’école élémentaire publique Clément Falcucci, située quartier Bagatelle à Toulouse, sont privés de leur établissement. Six classes de l’école ont été vandalisées durant le week-end des 14 et 15 mai derniers. Les dégâts sont importants précise le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc, invité de France Bleu Occitanie ce mardi matin. “Un saccage pour du saccage, aucune trace de revendication. Du matériel scolaire a été détruit donc j’ai du mal à comprendre pourquoi”, réagit le maire en colère.

    France Bleu

  • Une « start-up de l’asile » proche de la Macronie accumule les subventions malgré ses défaillances

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    L’association Aeré pour les réfugiés, dirigée par une responsable du Conseil pour l’Afrique d’Emmanuel Macron, se vante de « résultats extraordinaires » en termes d’intégration. Mais les alertes sur sa gestion se multiplient, alors qu’elle a déjà encaissé 1,7 million d’euros de fonds publics

    D’un côté, il y a la vitrine. Diane Binder se targue d’avoir fondé, avec Action emploi réfugiés (Aeré), l’association « leader en matière d’intégration professionnelle des réfugiés en France ». En quelques années, cette ancienne directrice adjointe du développement international du groupe Suez a décroché de grosses subventions publiques, plusieurs soutiens dont celui de la fondation Total. Mais il y a l’envers du décor : une mauvaise gestion financière et des résultats discutables, d’après notre enquête et des documents confidentiels.

    (…) .

    Une telle transition vers le secteur marchand ne serait pas un cas isolé chez les associations nées à Paris dans la foulée de la médiatisation de ladite «crise migratoire» de 2015. Aeré, Singa, eachOne, Kodiko: toutes «sont liées au monde marchand de plusieurs manières, et portent le nom, revendiqué par la plupart de leurs dirigeant·es, de “start-up de l’asile”,décrypte Fred Salin, doctorant en sociologie à l’Iris et l’EHESS Elles ont ainsi pour la plupart été fondées ou dirigées par des personnes qui ont travaillé dans le secteur marchand».Toutes sont spécialisées dans l’insertion par le travail, prisme privilégié par La République en marche. Toutes, enfin, ont été financées par le PIC. Certaines d’entre elles, comme eachOne, ont basculé vers un modèle lucratif. D’autres, comme Aeré, n’ont pas encore franchi le pas

    Médiapart via fdesouche

  • Grand remplacement

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    Le "grand remplacement" en une seule photo, trouvée dans La Charente libre. Mais ceux qui ne veulent ni voir ni entendre continueront à le nier, et à crier au "complotisme... :

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    Source : lafautearousseau

     

  • Et les hôpitaux français font appel à des soignants venus de Roumanie, de Turquie... 

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    lafautearousseau

    Alors que l'Hôpital craque, par manque de personnel entre autres difficultés, que deviennent ces milliers de soignants français suspendus depuis septembre ? Ils étaient 15.000, et l'on ne dispose pas, pour l'instant, de chiffres mis à jour. Certains s'en vont : en Suisse, par exemple... 

    https://actu.fr/societe/coronavirus/temoignages-covid-19-les-soignants-non-vaccines-reintegres-le-metier-d-infirmiere-c-est-fini_51074762.html

    3795001252.609.jpg

     

    En clair, ce Système de folie et en folie exporte les talents français (on avance le chiffre de 200.000 départs de jeunes chaque année...) et importe massivement des populations de cette "françafrique" qu'il dit ne plus "vouloir"...

    Et les hôpitaux français font appel à des soignants venus de Roumanie, de Turquie... 

     

  • Le directeur général adjoint de LCI fait des aveux sur les soi-disant experts de plateau télé

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    Fabien Namias, directeur général adjoint de LCI, était invité sur France Inter dans l’émission « L’Instant M » le lundi 9 mai 2022, pendant laquelle il a fait fait un bilan sur l’émission « Mission Convaincre » diffusée en période pré-électorale.

    ◆ Du contenu éclairé à venir ?

    Selon Fabien Namias, « il faut savoir tirer les leçons de ce qui a été fait. Et notamment les leçons, par exemple, de la crise du Covid. Ce que je dis vaut pour LCI – et je parle ici, moi je représente LCI, mais je pense que d’autres pourraient penser la même chose – où on a beaucoup donné la parole à des experts, des journalistes ou des éditorialistes extrêmement talentueux, mais qui n’avaient pas plus de compétences médicales que vous et moi, à part savoir choisir une boîte quand on a mal à la tête, voire des médecins : on a vu combien d’urologues, de néphrologues, ou autres, commenter la situation infectieuse et la situation virale... »

    Tirer des leçons, « c’est ce qu’on essaye de faire sans toujours atteindre la perfection. C’est une des leçons à tirer du Covid. Sonia Devillers, vous m’avez posé la question, je sais que je suis un peu long, mais c’est super important, parce que je pense que c’est ce qui, aussi, fonde notre crédibilité. Seuls doivent parler d’un sujet ceux qui savent de quoi ils parlent. Et s’il y a encore quelques progrès à faire, ils seront faits. »

    ◆ Du pluralisme tempéré à venir ?

    Fabien Namias a également évoqué le thème de la pluralité du contenu médiatique et le ton à favoriser : « Tout le monde a absolument le droit de faire des émissions politiques. […] C’est le principe du pluralisme, c’est le principe de la démocratie, y compris de la démocratie audiovisuelle. Après, il faut, pour une rédaction comme la nôtre, comme celle de l’information de LCI, comme celle de TF1, savoir se différencier, savoir apporter des contenus différents. […] Que tout le monde ne fasse pas la même chose. Le risque, c’est que tout le monde s’empare des formats, que tout le monde fasse l’émission avec la prime à celui qui va faire l’émission où l’on parle le plus fort, où l’on débat le plus fort, ou on clashe le plus fort. C’est précisément ce que nous n’avons pas voulu faire. […] C’est difficile d’échapper aux clashes quand on couvre l’actualité politique. […] Cela concerne tous les médias, y compris Inter. […] Les responsables politiques ont une petite tendance de temps en temps à cette forme de recourir à la friction médiatique. Moi, je suis convaincu que ce n’est pas ce qu’attendent les téléspectateurs. C’est pas ce qui fonctionne le mieux. »

    Reste à savoir si cette prise de conscience aura des répercussions concrètes dans les mois à venir, que ce soit pour la Covid ou en cas de propagation de la variole du singe…