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Le Parti de la France - Page 419

  • Picasso, cette autre icône de la gauche qui s’effondre. Enfin !

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mai 2023

    Faites entrer le (nouvel) accusé : Pablo Picasso. Il est d’usage, à droite, de porter un regard critique sur le mouvement MeToo. Ce nouveau puritanisme est pourtant intéressant, car comme tout retour de balancier, il est « réactionnaire » : une réaction à la grande fête du slip de Mai 68, ce coup de maître du patriarcat qui a fait croire aux femmes - ces naïves oies blanches - qu’il ferait tomber leurs chaînes, quand il les a, in fine, roulées bien serrées dans une ficelle à rôti, offerte à ses appétits comme une dinde de Noël. Patrick Buisson l’explique très bien dans son dernier livre Décadanse.

    Picasso, c’est l’idole du XXe siècle par excellence, le génie, l’idole intouchable dans sa niche devant laquelle on dépose des cierges. Admirer Picasso ne relève pas du goût mais de la foi : en son for intérieur on a de sérieux doutes, mais dire sur France Culture que ses peintures cubistes sont moches revient à peu près à mettre en cause le dogme de l’Immaculée Conception sur Radio Notre-Dame. Et encore... Radio Notre-Dame a plus d’ouverture d’esprit. Si vous ne vous extasiez pas, c’est que vous êtes un plouc doublé d’une face de carême, un péquenaud n’aimant que le style pompier, un bouseux, un philistin, un béotien ; bref : vous n’y connaissez rien, shame on you.

    Au-delà de l’art, il n’était pas même permis de toucher à sa personne. Communiste, engagé contre Franco, il avait tous les sacrements et toutes les onctions pour être porté aux nues par la gauche réunie. Sublime, forcément sublime, comme dirait Marguerite Duras. Sauf que force est de constater, à l’occasion du cinquantenaire de sa mort (il s’est éteint le 8 avril 1973), que Picasso était sans doute le « Harvey Weinstein de son époque », selon l'expression de l’artiste contemporain islando-danois Olafur Eliasson. 

    « Peut-on aimer l’œuvre de Picasso quand on connaît son comportement violent ? », s’interroge Slate, en ce mois anniversaire. « Picasso viole d’abord la femme, puis on travaille », racontait, en 1974, sur France Culture l’une de ses anciennes maîtresses Maire-Thérèse Walter (impossible de dire, donc, qu’on vient de le découvrir !). Pour la « podcasteuse » féministe Julie Beuzac, qui s’est fait une spécialité d'analyser la vision féministe de l’histoire de l’art occidental, et qui a même pour cela reçu un prix Radio France, « le viol est omniprésent dans l’œuvre de Picasso, notamment à travers la figure du Minotaure qu’il présente sur ses toiles comme un alter ego ». La jeune femme le qualifie carrément de « grosse ordure » et s’étonne candidement : « J’ai fait six ans d’études d’histoire de l’art. Pendant ces six années, on m’a parlé de Picasso un nombre incalculable de fois mais on ne m’a jamais parlé de tout cela. » 

    La parole se libère : la brutalité qu’il exerçait sur ses compagnes nourrit ses tableaux. Le cubisme déstructure les femmes, les lacère, les disloque, les démembre par la peinture… « À chaque fois qu’il quitte une femme, il revient à une période plus cubiste, même beaucoup plus tard dans son histoire, pour la casser sur la toile », explique Sophie Chaveau, auteur, en 2020, de Picasso le Minotaure. 

    Picasso a collectionné les conquêtes, toujours plus jeunes. Compte tenu de l’âge de Marie-Thérèse Walter (17 ans, quand Picasso en avait 45), Julie Beuzac parle même de « pédocriminalité ». Et Picasso les persécute. De mille façons. Nombre d’entre elles en ont témoigné, certaines se sont suicidées. 

    Mais il est encore d’autres icônes à déboulonner. La cancel culture est finalement un exercice assez plaisant. Sur le terrain de la littérature, cette fois : Jean Genet. Le bad boy adulé, présent encore cette année au programme de l’ENS : un médecin expert auprès du tribunal l’avait diagnostiqué « atteint de cécité morale ». Jean Genet veut réhabiliter les criminels. Et dans Miracle de la Rose, Jean Genet décrit avec délice et allégresse un vol avec effraction, qui est en fait un viol, en le magnifiant comme si c’était un acte héroïque. Jean-Paul Sartre, dans Saint Genet, comédien et martyr, écrit que « chez Genet, la souffrance est le complément nécessaire du plaisir de l’autre ». Sartre savait. Comme Beauvoir. Eux aussi ne perdent rien pour attendre. Le voile se déchire doucement et MeToo n’y est pas, reconnaissons-le, complètement étranger.

     

    Source : bvoltaire

  • 22 pays bloquent une motion de l’ONU en faveur de l’éducation sexuelle pro-LGBT des enfants

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mai 2023

    22 pays bloquent le projet d'éducation sexuelle et de propagande LGBT destiné aux enfants
    22 pays bloquent le projet d’éducation sexuelle et de propagande LGBT destiné aux enfants

    22 pays d’Asie, d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Europe de l’Est se sont opposés à une résolution poussée par l’administration Biden, l’Union européenne et d’autres pays occidentaux pour fournir une éducation sexuelle “complète” aux enfants.

    L’éducation sexuelle “complète” proposée par la résolution encourage les enfants à s’adonner au plaisir sexuel, à la masturbation et à s’intéresser à l’idéologie transgenre.

    Les 22 pays qui s’opposent à cette éducation sexuelle des enfants sont l’Algérie, la Biélorussie, le Brunéi Darussalam, le Cameroun, la République démocratique du Congo, l’Égypte, l’Érythrée, l’Éthiopie, la Gambie, l’Irak, l’Iran, la Libye, le Mali, la Mauritanie, le Nigeria, la Syrie, la Fédération de Russie, l’Arabie saoudite, le Sénégal, le Yémen, l’Ouganda et le  Zimbabwe.

    La veille de la conférence, le président moldave, Georghe Leucă, a présenté un projet final prônant l’éducation sexuelle des enfants malgré les objections des 22 pays au début de la semaine. Le projet comprenait un nouveau paragraphe préconisant l’accès des enfants à l’avortement, à la contraception et à d’autres services de santé reproductive sans le consentement des parents.

    Cependant, ces 22 pays ont repoussé la résolution proposée et exprimer “de graves inquiétudes”. Après des heures de débat, l’ambassadeur de Moldavie auprès des Nations unies a été contraint de révoquer cette résolution.

    Le délégué du Pakistan a condamné les pays occidentaux pour avoir refusé d’offrir une aide éducative aux pays s’ils refusaient d’offrir une éducation sexuelle et pour avoir poussé leur programme sur d’autres pays, en disant : “Les priorités d’un pays ne peuvent pas être les priorités de tous”.

    De même, le délégué égyptien a condamné les pays occidentaux pour avoir refusé de reconnaître le « droit prioritaire » des parents sur l’éducation de leurs enfants, alors que ce droit est tiré de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

    “Le langage de la Déclaration universelle des droits de l’homme n’était pas acceptable pour les mêmes délégations qui nous sermonnaient sur le fait d’avoir une attitude constructive”, a-t-il ajouté.

    Au cours des dernières années, les Nations Unies ont continué à faire avancer leur programme sur les petits pays non occidentaux. Cette année, l’ONU a annoncé un rapport à venir proposant un nouveau cadre de réflexion sur les tensions entre la liberté religieuse et les intérêts des LGBT, qui, selon les experts de la liberté religieuse, donneront aux défenseurs des LGBT un nouvel outil pour réduire les droits des groupes religieux.

    Cependant, des pays résistent. Le président ougandais Yoweri Museveni, qui a été critiqué à plusieurs reprises par des dirigeants occidentaux pour son refus ferme de l’agenda LGBT, s’est exprimé ce week-end lors de la première Conférence interparlementaire sur les valeurs familiales et la souveraineté. Le thème de l’événement était “Protéger la culture africaine et les valeurs familiales” et a réuni des dirigeants de plus d’une vingtaine de pays africains et du Royaume-Uni.

    De même, la ministre hongroise de la Justice, Judit Varga, a récemment déclaré que la Hongrie ne ferait aucun compromis sur ses lois favorables à la famille et qu’elle était déterminée à se doter du régime de protection de l’enfance le plus strict d’Europe.

     

    Source : medias-presse.info

  • Ostwald (67) : un père de famille intervient lorsqu’il voit un jeune insulter sa compagne ; il est tabassé jusqu’à la perte de conscience devant ses enfants qui “hurlaient et pleuraient” ; Yassim Lamri, déjà connu pour violences, condamné

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023

    Jeudi dernier aux alentours de 16 heures, un quadragénaire se rend avec ses deux enfants dans un parc d’Ostwald au niveau d’une aire de jeux. Il aperçoit un jeune homme qui insulte sa petite amie. Il décide d’intervenir pour mettre fin au différend en lui demandant de se calmer.

    Inconscient à côté de ses enfants qui « hurlaient et pleuraient »

    En représailles, il subit un véritable déluge de violences de la part du majeur, accompagné d’un mineur : coups de pied, coups de poing au visage. Il est retrouvé inconscient, le visage en sang dans l’herbe à côté de ses enfants qui « hurlaient et pleuraient », relève le président du tribunal, Bertrand Gautier. (…)

    Pour sa défense, le prévenu explique que la victime l’a tiré puis lui a asséné le premier coup. « Il a fait le warrior avec moi. Il m’a mis une patate. Je me suis défendu », se justifie-t-il.

    Déjà connu pour des faits de violence, le tribunal a condamné Yassim Lamri à quatre ans de prison ferme avec maintien en détention. (…)

    L’Alsace via fdesouche

  • Brive (19) : une fille de 11 ans et deux ados de 14 ans affirment avoir vu un homme se masturber devant eux sur son balcon, ce dernier voit dans ces accusations du “racisme”. Par le passé, il a été condamné à 4 reprises pour des faits similaires

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023

    Un homme de 46 ans a été jugé, ce mercredi 3 mai, devant le tribunal correctionnel de Brive, dans le cadre d’une comparution immédiate. Il devait répondre d’exhibition sexuelle commise durant le week-end à Brive, devant trois enfants.

    Le 29 avril, alors qu’elle jouait sur la place des arcades, dans le quartier de Rivet, à Brive, une fille de 11 ans portait son regard vers le troisième étage d’un immeuble. Au balcon, un homme, torse nu, la braguette déboutonnée, était en train de se masturber. « C’est la première fois qu’elle voyait un pénis. Depuis, elle vit dans la crainte de sortir, elle pose beaucoup de questions », a expliqué sa maman, ce mercredi 5 mai, lors de l’audience de comparution immédiate, devant le tribunal correctionnel de Brive.

    Cet homme de 46 ans devait y répondre d’exhibition sexuelle commise sur des mineurs. Deux autres jeunes, de 14 ans, figuraient au rang des victimes. Une adolescente qui expliquait ne pas avoir bien vu si le sexe était sur ou sous le caleçon, mais qui a clairement vu l’homme en train de se masturber. Un garçon qui a, lui aussi, affirmé devant les policiers avoir vu le pénis du mis en cause.

    « C’est faux. Ce sont des mensonges. J’étais torse nu à la fenêtre et je regardais les enfants. Ils disent cela, car ils veulent prendre mon appartement, c’est du racisme ! », s’est défendu le prévenu à l’audience. Ce dernier, s’était fait interpeller par la police le jour même. Sa braguette était encore ouverte.

    (…) Entre 2014 et 2015, il avait été condamné à quatre reprises pour des exhibitions sexuelles.

    La Montagne via fdesouche

  • « 10 à 15 nouveaux par jour » : accompagnées par quatre associations, 400 migrants « mineurs isolés » occupent une école désaffectée du 16e arrondissement de Paris, ils étaient 169 en avril

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023