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économie

  • La fiabilité économique de la France en chute

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2025

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    Nous verrons bien ce qu’en disent les marchés, mais le fait est que les quinquennats de Macron ont été ruineux pour la France. Comment les policiens vont-ils s’en sortir, à terme : saisie sur les comptes d’épargne? Encore plus d’impôts ? Braderie du patrimoine nationale ?
    Macron s’était fait pourtant une réputation, en tant que financier.
    N’a-t-il pas « en dix-huit mois, de 2011 au premier semestre 2012, avant sa nomination comme secrétaire général adjoint de l’Elysée, gagné 2,4 millions d’euros chez Rothschild » ?
    Mais peut-être n’attache-t-il pas la même importance à la santé de la nation qu’à son enrichissement ?

     

    Source : contre-info

  • "Social" : comment ce Système néfaste/malfaisant s'occupe de vous, de nous... 

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mars 2024

    Le projet de la Politique Nationale de la Santé sera présenté demain à ...

    "Social" : comment ce Système néfaste/malfaisant s'occupe de vous, de nous... Alors que sévit l'AME, qu'on n'a toujours pas trouvé le moyen de désactiver les deux millions de Carte vitale en "surnombre" (exquise courtoisie de langage pour dire : arnaque à la Sécu !) et qu'on ne touche pas aux visas de long séjour pour soins médicaux (pour ne parler que de trois des scandales les plus flagrants) on sait que le gouvernement a décidé de faire des économies sur la santé des Français : après avoir doublé la franchise médicale, il est envisagé de s'attaquer aux ALD et de limiter l'accès au transport médical. On parle même d'un remboursement des médicaments indexé sur les revenus. Pour rappel, les cotisations sont déjà proportionnelles au revenu, il s'agirait donc d'une double peine... Merci Macron !

    Source : lafautearousseau

  • Krach et cygnes noirs en 2023, selon Deutsche Bank, Saxo Bank et Nouriel Roubini

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2022

    Le clignotant le plus connu est celui de l’inversion de la courbe des taux d’intérêt aux États-Unis lorsque les taux à long terme deviennent moins élevés que les taux à court terme. Cette situation exceptionnelle et illogique se produit le plus souvent quelques mois avant une récession économique. C’est le cas actuellement aux États-Unis ; suite aux augmentations nombreuses du taux d’intérêt à court terme par la Fed, ce dernier est supérieur au rendement actuel des obligations à 10 ans du Trésor américain, soit 3,58 %.

    cygnes noirs en 2023,économie,krachEn Europe l’euro est au bord du précipice, suite à la divergence entre la politique monétaire de la Fed et celle de la Fed, ce qui contribue à la fuite des capitaux vers les États-Unis ; mais le phénomène le plus dramatique est l’effondrement de la balance commerciale européenne, en raison de l’augmentation en valeur des importations d’énergie et suite à l’effondrement des exportations industrielles, plus particulièrement allemandes. Ces dernières s’effondrent, suite à l’arrêt de très nombreuses usines qui ne sont plus compétitives, les prix de l’énergie s’envolant. La balance commerciale de la zone euro est passée brusquement en un an d’un excédent mensuel de 20 milliards d’euros à un déficit mensuel de 50 milliards d’euros ; le seul déficit commercial annuel français en 2022 devrait atteindre le chiffre monstrueux de 150 milliards d’euros !

    La France, voit la perspective de sa dette, selon la notation par Standard & Poor’s, passer de stable à négative, suite aux 600 milliards d’euros supplémentaires de dettes Covid, au ralentissement de l’économie, et à la dégradation des finances publiques qui correspond à des aides versées aux entreprises, aux ménages pour compenser l’inflation et la hausse dramatique des prix de l’énergie. La croissance de la France en 2023 serait de seulement 0,2 %. La dette publique représenterait 112 % du PIB en 2025.

    En Chine, en novembre, les importations et les exportations se sont effondrées respectivement de 10,6 % et 8,7 %, non seulement à cause de la politique sanitaire excessive contre le Covid, mais aussi suite à la baisse de la demande en produits chinois par les Occidentaux, en raison de la menace de récession.
    La Deutsche Bank qui fait partie du Système bien-pensant pour rassurer les foules a cependant annoncé une récession aux États-Unis pour 2023 et un krach boursier de 25 % en 2023, le S&P 500 passant de 4200, début 2022, à 3250 au troisième trimestre.

    La banque danoise Saxo Bank annonce, elle, 10 catastrophes financières potentielles pour 2023. L’époque où les taux d’intérêt bas alimentaient les rêves d’un monde idéal « à la Macron » fondé sur les énergies renouvelables, le libre-échange mondialiste et des banques centrales indépendantes, est révolue. En 2023, les économies du monde passeront en économie de guerre, les pays cherchant à regagner leur souveraineté et l’autosuffisance face à la mondialisation, avec des barrières douanières et protectionnistes plutôt que des gains à courte vue, mais destructeurs à terme de leur industrie. Saxo Bank prédit l’arrivée possible de dix cygnes noirs, ce qui dénote la perturbation des esprits. Nous n’en retiendrons que les sept plus importants :

    1) Une coalition de pays riches lancera un plan énergétique « projet Manhattan » de R&D de grande ampleur de plusieurs milliards dollars. Nous ne croyons pas à cette idée car le monde, au contraire, se régionalise, chacun défendant son pré-carré géographique.

    2) Le Président français Emmanuel Macron démissionnera car il se trouvera dans une impasse politique. Puisse Saxo Bank dire vrai, mais Macron, le contraire de De Gaulle, est trop manipulateur, intéressé, carriériste, imbu de lui-même, sans le moindre sens de l’honneur et de sa nullité technocratique pour quitter volontairement le pouvoir. Seuls des mouvements de foules en colère pourront amener Macron, cette catastrophe énarchique pour la France, le Mozart des déficits, le Mozart de la décadence française tous azimuts, le Mozart de la délocalisation énergétique de nos dernières industries et donc du chômage à venir. Macron et von der Leyen mènent une guerre stupide en Ukraine pour le compte de la seule Amérique !
    Comme le remarque Geoffroy Roux de Bézieux, Président du Medef, « le prix de l’électricité ne monte qu’en Europe », mais pas aux États-Unis et en Asie ! La fermeture des usines William Saurin, signe annonciateur gravissime très préoccupant, conduira de nombreuses autres usines à fermer en 2023 et amènera enfin dans la rue ces mêmes Français mal nourris ou privés d’emplois qui n’ont pas eu le courage de manifester à plus d’un million sur les Champs-Elysées, après l’attentat du Bataclan (alors que trois terroristes islamistes avaient assassiné 90 de leurs enfants et petit-enfants, blessé plusieurs centaines) ! Macron ou son successeur devra aller en 2023 à Canossa pour demander à Poutine de bien vouloir rouvrir de nouveau le robinet à gaz !

    3) L’or s’envolera à 3000 $ l’once après l’échec des banques centrales à maîtriser l’inflation. Nous croyons à l’envolée inéluctable de l’or dans les années qui viennent, étant entendu que l’or, actuellement à environ 1750 $ l’once, peut facilement doubler en 2023 si l’explosion a effectivement lieu.

    4) L’Union européenne se dotera de ses propres forces armées. Nécessaire, mais impossible tant que la Russie n’aura pas gagné la guerre en Ukraine pour provoquer l’écroulement de l’OTAN et la fin du protectorat impérialiste américain sur l’Europe, déjà longuement dénoncé par De Gaulle !

    5) L’OPEP et « Chindia » quitteront le FMI et négocieront de nouveaux avoirs de réserve. La dédollarisation et la fin de l’euro comme monnaie de réserve sont en cours et ce n’est plus qu’une question de temps. Les méthodes de gangsters des Occidentaux pour saisir les avoirs de la Banque centrale russe ont pour corollaire le rétablissement de l’or comme seul actif de réserve à terme. La Chine finira par créer un jour le Yuan convertible en or comme autre monnaie de réserve dans le monde.

    6) Le taux de change du yen passera à 200 yens (dévaluation) pour un dollar, afin de restructurer le système financier nippon en faillite, suite à sa dette publique démentielle. Une hypothèse parfaitement possible.

    7) Les paradis fiscaux seront démantelés et interdits, suite à la mise en place d’une économie de guerre. Il est possible que suite à l’écroulement des économies, les paradis fiscaux soient un jour interdits, de la même façon que le secret bancaire suisse a disparu pour les non-résidents.

    Mais le plus alarmant est la dernière prévision de krach financier, la mère de toutes les crises, par Nouriel Roubini, économiste de renom qui vient de publier dans « Project Syndacate» un article retentissant « L’inévitable krach financier ». Nouriel Roubini prédit un effondrement inévitable d’ici quelques mois avec un krach à la clé impossible à contrer par les banques centrales.

    Selon Roubini, « après des années de politiques budgétaires, monétaires et de crédit laxistes ainsi que des problèmes d’offre, les pressions de la stagflation pèsent désormais sur une montagne de dettes accumulées, publiques et privées », ce qui correspond à un endettement démentiel de la plupart des pays. Roubini écrit que « l’apparition de la mère de de toutes les crises est imminente, que les responsables politiques ne pourront pas faire grand-chose pour l’empêcher ».

    Roubini met en avant les chiffres de la dette qu’il qualifie de « stupéfiants, pour ne pas dire plus ». Il écrit qu’au niveau mondial la dette totale des secteurs public et privé, exprimée en pourcentage du PIB est passée de 200 % en 1999 à 350 % en 2021. Ce ratio est désormais de 420 % dans les économies avancées et de 330 % en Chine. Aux États-Unis, il est de aussi de 420 %, soit un ratio encore plus élevé que pendant la grande Dépression de 1929 et la Seconde Guerre mondiale.

    Ce surendettement démentiel a été provoqué par les taux bas. Il a permis de sauver et de maintenir à flot des « zombies insolvables » aussi bien « parmi les ménages, les entreprises, les banques, les établissement financiers, que les gouvernements et des pays entiers » tels que la France et l’Italie pendant la crise de 2008 et les deux années de Covid.
    Mais aujourd’hui, écrit encore Roubini, l’inflation, alimentée par les mêmes politiques budgétaires, monétaires et de crédits laxistes a mis fin à « l’aube des morts-vivants financiers ». Les banques centrales étant contraintes de relever les taux d’intérêt, « les zombies connaissent une forte augmentation des coûts du service de la dette ».

    La France va donc tout droit vers l’explosion économique et politique en 2023, suite à l’inacceptable, criminelle et honteuse invasion migratoire qui n’a que trop duré en prenant les Français pour des imbéciles, sans jamais les avoir consultés par référendum, mais aussi suite à l’effondrement de la production industrielle et à l’envolée tout aussi inacceptable des prix de l’énergie provoquée par la folie suicidaire de la politique des sanctions contre la Russie. Un déferlement patriotique salvateur en 2023 avec une révolution conservatrice à la clé pourrait bien nous débarrasser de Macron, de la bien-pensance ainsi que du progressisme décadent et sans fin qui nous conduit tout droit vers le précipice !

     

    Source : lafautearousseau

  • La peur du lendemain

    Publié par Guy de Laferrière le 01 novembre 2022

    Les prix augmentent déraisonnablement. La contenance d’une bouteille de Rivesaltes passe du litre à 75 cl, la recharge de café lyophilisé ne fait plus de 200 g mais 180 g. On confond poids net égoutté et poids net, le liquide quitte le portefeuille pour remplir la boîte de conserve en eau, vinaigrette ou autre sauce excédentaire.

    On se moque des Français ; ils vont en causer sur le zinc et l’on sait bien, quand on dirige un pays, qu’il est dangereux de voir les gens se mettre à réfléchir. C’est pourquoi on les inonde de publicité et de vérités toutes faites diffusées en boucle.

    La guerre en Ukraine et le changement climatique ne peuvent être responsables de tout. Il fait encore chaud et les vendanges tardives devraient être exceptionnelles. On trouve encore du raisin italien à 1,50 €/kg en promotion. On en a mangé tout l’été, alors que son prix était de l’ordre de 2,20 €/kg. On comprend que le café qui est torréfié soit plus cher, mais le raisin mûrit au soleil.

    Le manque de confiance est général, qu’il s’agisse de l’homme vis-à-vis de ses semblables (le mensonge domine la vérité qu’il finit par remplacer). Dito concernant la relation de l’homme à Dieu (peur de l’incertitude du lendemain en matière de natalité et de vieillesse), l’homme se veut le maître en tout. La méfiance est générale vis-à-vis des institutions et de leurs représentants, vis-à-vis des scientifiques, des historiens, des gardiens de la paix, des juges, etc. Le soupçon plane sur tout et amène la peur du lendemain.

    Or, la peur est mauvaise conseillère. Décider d’arrêter l’usage d’automobiles à moteur thermiques dans 13 ans, c’est arrêter les chaînes de production de voiture dès maintenant et lancer AirBnB sur le marché de la voiture d’occasion. On risque encore une fois de perdre le marché intérieur et notre capital recherche pour trouver une locomotion plus conforme au souhait écologique.

    Interdire du jour au lendemain la circulation dans les grandes villes des voitures Crit’Air C ou D est aussi stupide. Le contrôle technique ne s’est jamais penché sur le kilométrage bisannuel des voitures. Il est évident qu’il y a une relation entre l’usage d’un véhicule et la quantité de CO2 ou de particules fines émises.

    La SNCF a déserté certaines villes de province, la voiture reste la seule solution pour y aller. Essayez de trouver une voiture de location pour aller à Brioude, Langres, ou Aurillac sans payer le retour à Paris ! C’est ce à quoi on devrait penser avant d’interdire quoi que ce soit.

    L’isolationnisme des grandes villes va encore accroître les féodalités existantes. Les baronnies d’aujourd’hui ont le pouvoir d’accaparer les projets d’investissement. On l’a constaté dès les années 90, quand Paris et les capitales provinciales ont commencé à profiter de la synergie entrepreneuriale, qui consistait à supprimer les emplois dans les petites villes.

    Le dirigisme bureaucratique devient de plus en plus malsain pour notre économie.

    Les bactéries, qui faisaient le caractère régional des fromages de nos provinces, ont été éradiquées par la pasteurisation générale, comme les individus sont énucléés de leur culture.

    Débloquer la situation, c’est recréer les moyens de circulation et de production, que l’on a détruits au nom du délire écologique dans tous les domaines

    Ce n’est pas en 10 ou 20 ans que la France pourra arriver à retrouver son indépendance énergétique et industrielle. La « Bla-Bla-ture » d’aujourd’hui nous mène à une déconfiture générale. Le pays marche maintenant à l’heure américaine. Qui est le patron des Français ? Washington ou la France, où la loi Toubon exige l’usage du français, déjà requis par avec l’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) ?

    On refuse la ligne floue du rêve américain, qui vise un pouvoir décisionnel économique et global sur le pays et sur l’Europe. On est lassé d’avoir à subir une publicité télévisuelle lourdingue. Dire qu’il va encore falloir passer par l’ineptie culturelle d’Halloween et des noëls anglo-saxons, alors qu’à Strasbourg, la mairie interdit de vendre des croix (en pain d’épice ?) au marché de Noël !

    Au train où va la bêtise, la Toussaint rebaptisée la fête de la sorcellerie, Noël rebaptisée « la fête de l’hiver », on a tout à craindre pour la fête de Pâques. Que deviendront les Saint-Nicolas, les lapins en pain d’épice et autres friandises que l’on donnait aux enfants avant les fêtes ?

    Que l’on se souvienne de Coca-Cola qui a usurpé l’imaginaire de notre St Nicolas (Sancta Klaus) pour en faire n’importe quoi. Ne devrait-on pas protéger le capital culturel de notre pays ?

     
  • Croissance : selon l’INSEE, l’économie française devrait stagner cet automne, de « lourdes menaces » pèsent sur l’Europe en cas de difficultés d’approvisionnement en énergie et d’arrêts de production

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022

    Dans sa note de conjoncture, l’Institut national de la statistique a maintenu sa prévision de croissance de 2,6 % en 2022 pour la France, mais n’exclut pas un repli de l’activité au quatrième trimestre en cas de difficultés d’approvisionnement en énergie et d’arrêts de production. Le produit intérieur brut (PIB) français devrait stagner cet automne, mais les craintes sur l’approvisionnement en énergie et l’inflation élevée font peser de « lourdes menaces » sur la croissance en Europe, a indiqué jeudi l’Insee.

    L’Insee base sa prévision sur une croissance modeste au troisième trimestre (+0,2 %, comme annoncé dans le point de conjoncture de septembre) après un second trimestre dynamique (+0,5 %). L’incertitude plane sur les trois derniers mois de l’année en raison d’un « scenario international qui s’assombrit », a déclaré jeudi Julien Pouget, chef du département de la conjoncture de l’Insee.

     « Ralentissement du commerce international d’ici la fin de l’année, l’inflation qui reste élevée, des inquiétudes spécifiques à l’Europe sur les approvisionnements énergétiques, un resserrement des politiques monétaires en toile de fond avec une volatilité accrue sur les marchés… »

    L’inflation, contenue en septembre (5,6 % sur un an) notamment grâce à la remise à la pompe, devrait diminuer légèrement en octobre puis « repartirait à la hausse » en novembre avec la baisse de la ristourne sur les carburants, pour atteindre 6,4 % sur un an en décembre (contre 6,6 % prévu précédemment). […]

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