Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2022
afrique - Page 3
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Cette France qui souhaite devenir l’Afrique…
Source : ndf -
L’Union européenne mobilise 150 milliards d’euros pour l’Afrique
Publié par Guy Jovelin le 14 février 2022
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Le président Macron exhorte les pays du G7 à vendre leurs réserves d’or pour financer l’aide à l’Afrique
Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2021
(…) “La singularité de l’Afrique c’est qu’elle n’a pas les moyens financiers aujourd’hui de protéger et de relancer son économie, comme l’ont fait tous les autres continents”, a souligné en mai sur RFI le ministre français des Finances, Bruno Le Maire.
En avril, les chefs des finances mondiales ont accepté d’augmenter les réserves (DTS) du Fonds monétaire international de 650 milliards $ et de prolonger le gel du service de la dette pour aider les pays en développement à faire face à la pandémie. Seulement 34 milliards $ ont été alloués à l’Afrique.
“La France veut aller beaucoup plus loin en réaffectant les DTS destinés aux pays développés au profit des pays africains”, a indiqué un officiel français aux journalistes.
D’après Emmanuel Macron, un “new deal” est nécessaire pour l’Afrique afin d’apporter au continent une bouffée d’air frais.
Aujourd’hui, le président français a appelé les membres du G7 à trouver un accord dans le cadre des efforts visant à redistribuer 100 milliards $ de DTS du FMI aux pays africains.
Alors, comment financer le plan de sauvetage ?
En conférence de presse, M. Macron s’est dit prêt à vendre des réserves d’or pour financer le sauvetage des économies africaines.
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Macron à propos des « millions de jeunes gens » qui, en France, « ont une histoire avec l’Afrique » : « On va arrêter de leur dire : Vous devez vous intégrer. On va enfin leur dire : Vous êtes une chance pour la France »
Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2021
Pretoria, le 29 mai. Depuis l’ambassade de France en Afrique du Sud, Emmanuel Macron s’est adressé à la jeunesse française.
Emmanuel Macron a conclu sa visite de deux jours, au Rwanda puis en Afrique du Sud, sur une note très politique. Louant, dans un discours à la communauté française à Pretoria (Afrique du Sud), le « partenariat » qu’il veut nouer avec les pays du continent, le président ambitionne de « changer les regards et les esprits » sur la relation de la France et de l’Afrique. Y compris entre les frontières de l’Hexagone, où il envoie aussi très clairement un message.
Car disant cela, le voilà qui s’adresse aux « millions de jeunes gens » qui, en France, « ont une histoire avec l’Afrique par leur famille, par des générations ». « On va enfin leur dire que l’on va pouvoir bâtir en commun. On va arrêter de leur dire : C’est un problème et vous devez vous intégrer. On va enfin leur dire : Vous êtes une chance pour la France et vous allez nous aider à développer cette histoire commune », avance-t-il.
Voilà aussi le sens qu’il entend donner à cette relation qu’il tente de renouveler depuis quatre ans. Au plan mémoriel, comme lorsqu’il reconnaît à Kigali « l’ampleur des responsabilités de la France » dans le génocide des Tutsis – sans présenter formellement d’excuses, point sur lequel la presse sud-africaine lui a demandé de s’expliquer une nouvelle fois.
[…]Le Parisien via fdesouche
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Stop ! Repentance! JFT.
Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2021
L'action mitterrandienne en Afrique ne fut certes pas un modèle de géopolitique opérationnel. Mais... Comment dire? Le "génocide" des Tutsi en 1994, les Français n'en ont pas plus à cirer que celui des Cananéens à la fin de l'âge de bronze.Le rapport Duclert sur les responsabilités de la France dans les massacres commis au Rwanda, sera, en revanche, l'occasion pour Macron de s'aplatir bientôt devant Paul Kagame à Kigali comme le rapport Stora conduit à le faire devant Abdelmadjid Tebboune à Alger.Stop ! Repentance!JFT.