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  • Bordeaux : « Je me suis dit que c’était la fin », témoigne l’employé du magasin attaqué par derrière, étranglé avec une corde et menacé avec un couteau par Ahmed Z., déjà connu de la justice

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    « C’est une agression d’une violence inouïe », pose Me Éva Barouk, l’avocate de la principale partie civile : un jeune homme de 26 ans, « bosseur, sans histoires », employé depuis près de trois ans dans une supérette Carrefour Express située rue de l’École normale, dans le quartier Caudéran, à Bordeaux. Le 19 avril, son client a été braqué alors qu’il se trouvait seul dans le magasin et s’apprêtait à fermer, peu avant 21 heures. Son agresseur était un voisin et habitué du commerce : Ahmed Zenatri, 45 ans, renvoyé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Bordeaux ce 21 avril pour vol aggravé, le parquet ayant décidé de correctionnaliser cette affaire.

    Attaqué par-derrière, étranglé avec une corde et menacé avec un couteau, l’employé s’est vu mourir. « Je me suis dit que c’était la fin, témoigne-t-il à la barre. Il serrait la corde très fort autour de mon cou, au point de me couper le souffle. Il a menacé à deux reprises de me tuer. Aujourd’hui encore, je suis en état de choc. » À ses côtés, la directrice du magasin, partie civile elle aussi, essuie des larmes.

    (…) « J’étais défoncé, je n’étais pas dans mon état normal. Je suis sincèrement désolé, jamais je n’ai voulu faire de mal à ce jeune homme », assure le prévenu.

    Déjà connu de la justice, il n’avait pourtant plus fait parler de lui depuis plus de dix ans. Intérimaire, il s’apprêtait même à signer un CDI d’électricien. Mais ce soir du 19 avril, « il était prêt à tout », pense la procureure qui, « au vu de l’extrême gravité des faits, de leurs répercussions sur la victime qui a vécu une expérience de mort imminente », requiert de 6 à 7 ans de prison ferme.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Bordeaux : « Il vient d’Algérie et c’est très compliqué de repartir dans l’autre sens. » ; sous OQTF et ayant “souvent varié noms, prénoms, dates et villes de naissance”, il écope de 6 mois de prison pour vol

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    Il a d’abord nié en bloc. Avant de reconnaître l’évidence. « Oui, c’est moi sur la vidéo, c’est moi qui ai pris le téléphone », murmure un jeune de 26 ans, dans le box des prévenus de l’audience des comparutions immédiates du tribunal correctionnel de Bordeaux.

    Il est jugé sous une identité, mais, depuis son arrivée sur le territoire français il y a neuf ans, a souvent varié noms, prénoms, dates et villes de naissance au fil des alias présentés. Le 11 avril vers 20 h 45, cours Victor-Hugo à Bordeaux, une jeune femme s’est rendu compte que son téléphone avait disparu de son sac. Elle a pu géolocaliser son appareil et le voir se déplacer cours de l’Argonne et s’arrêter à Talence.

    La vidéosurveillance d’un bar a filmé la scène du vol. Le prévenu est clairement identifiable. Le lendemain, la victime s’est rendue à l’endroit où elle a perdu la trace de son smartphone. Là, elle a reconnu le voleur et appelé la police municipale.

    « Et les autres téléphones », s’interroge le président. « Je les ai achetés en magasin », rétorque le prévenu qui fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. « Je sais que je dois partir mais je n’ai pas d’argent, je n’ai pas de passeport et j’ai une fille, née en France, que je ne veux pas laisser derrière moi. »

    (…) « Il vient d’Algérie et c’est très compliqué de repartir dans l’autre sens. » Le tribunal a opté pour une peine de six mois et une incarcération immédiate.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Bordeaux : l’église du Sacré-Cœur taguée, un feu allumé sur le parvis

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Une dizaine de tags ont été inscrits dimanche soir sur l’église du Sacré-Cœur à Bordeaux. Un feu a même été allumé sur son parvis. L’un des tags affirme explicitement que l’église dérange dans le quartier bordelais de la gare Saint-Jean. En plus de ces tags, un feu de détritus avait été allumé devant la porte de l’église du Sacré-Cœur de Bordeaux, dimanche soir.

    «Lucifer à raison», «Diable, emmène-moi avec toi», «Thank you Satan». Les tags se détachent en lettres rouges sur les murs de l’église du Sacré-Cœur à Bordeaux, dégradés avec un marqueur ou peut-être même un rouge à lèvres. Au-dessus de la référence à la chanson de Léo Ferré surmontée d’un A cerclé, signe de reconnaissance des anarchistes, on peut encore lire : «Brûle tout gratos». Une déclaration suivie d’une intention : les auteurs de ces dégradations ont également allumé un feu de détritus sous le porche de l’édifice religieux. Les flammes, rapidement éteintes par les pompiers, n’ont pas eu le temps de l’endommager.

    Les auteurs de ces détériorations ont également profané son intérieur. «Tout s’effrite, mais on doit ébruiter» et «n*** ta mère» ont été rédigés d’une écriture ronde sur une porte en bois, tandis que la façade présente une autre dégradation visant directement le quartier de la gare Saint-Jean. «Les voisins détestent l’Église», avance ainsi une inscription sur cette paroisse située à 92 mètres du centre Jean-Paul II. Le diocèse de Bordeaux, qui a porté plainte contre X, «partage l’émotion des fidèles catholiques et des habitants choqués par ses actes».

    Une enquête a été ouverte par la Direction départementale de la sécurité publique qui soupçonne des débordements liés à la consommation d’alcool. Les caméras de surveillance doivent être exploitées et des voisins interrogés.

    La municipalité de Bordeaux a réagi à ces profanations indiquant dans un communiqué que «Pierre Hurmic s’émeut des actes de vandalisme et de dégradation perpétrés cette nuit sur l’église du Sacré-Cœur». Le maire de Bordeaux a dépêché Laurent Guillemin, son adjoint aux cultes, «auprès du père Benoît Davos afin de lui apporter le soutien de la Ville». Quelques heures plus tôt, le préfet de la Gironde, Étienne Guyot dénonçait sur Twitter «des tags haineux et des actes intolérables».

    Le Figaro via fdesouche

  • Bordeaux : Mohamed Islam Benmrdja et Abdel Hamid, deux Algériens qui s’étaient initialement présentés comme mineurs sous une fausse identité, condamnés pour avoir agressé sexuellement une étudiante

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Deux jeunes Algériens qui contestent formellement les faits ont été jugés coupables d’agression sexuelle en réunion. Ils ont été maintenus en détention

    « Les policiers, ils ont collé cette affaire sur nous et on n’a rien fait. » Ce mercredi 1er mars 2023, Mohamed Islam Benmrdja et Abdel Hamid, deux jeunes Algériens qui avaient initialement donné de fausses identités qui faisaient d’eux des mineurs, nient catégoriquement les faits d’agression sexuelle en réunion qui leur sont reprochés par le tribunal correctionnel de Bordeaux.

    Le 15 août 2020, une étudiante de 20 ans rentre seule et à pied d’une soirée entre amis. Elle longe le Jardin public à Bordeaux. À l’intersection du cours de Verdun et de la rue d’Aviau, elle est abordée par des jeunes au look décontracté, bloquée contre un mur, caressée sur les parties intimes à travers son short. Tétanisée, elle sent le sol se dérober sous ses pieds et s’accroupit de peur. Ses agresseurs frottent alors leur sexe sur son visage. Au milieu de la nuit, l’arrivée d’une voiture met fin à son calvaire.

    (…) « Aujourd’hui je vais bien », dit la victime en larmes à l’audience, ne pouvant cacher le retentissement psychologique des faits sur elle. Elle a quitté Bordeaux, son école de commerce, son appartement, son petit ami. « C’était une jeune fille sans histoire », résume MMarilou Séval, pour la partie civile. « Elle avait ses écouteurs, juste pour paraître moins disponible dans sa bulle. Elle ne s’est pas mise en danger et elle ne l’a pas vu venir. »

    (…) Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné les deux jeunes à cinq ans de prison ferme. Ils seront interdits du territoire français pendant dix ans après leur sortie de prison.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Bordeaux : Une brigade de police a été créée spécialement pour lutter contre la délinquance des “mineurs isolés” immigrés

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Leonard 02/03/2023 à 14h15
     

    Source : fdesouche