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bordeaux - Page 5

  • Bordeaux : l’église du Sacré-Cœur taguée, un feu allumé sur le parvis

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Une dizaine de tags ont été inscrits dimanche soir sur l’église du Sacré-Cœur à Bordeaux. Un feu a même été allumé sur son parvis. L’un des tags affirme explicitement que l’église dérange dans le quartier bordelais de la gare Saint-Jean. En plus de ces tags, un feu de détritus avait été allumé devant la porte de l’église du Sacré-Cœur de Bordeaux, dimanche soir.

    «Lucifer à raison», «Diable, emmène-moi avec toi», «Thank you Satan». Les tags se détachent en lettres rouges sur les murs de l’église du Sacré-Cœur à Bordeaux, dégradés avec un marqueur ou peut-être même un rouge à lèvres. Au-dessus de la référence à la chanson de Léo Ferré surmontée d’un A cerclé, signe de reconnaissance des anarchistes, on peut encore lire : «Brûle tout gratos». Une déclaration suivie d’une intention : les auteurs de ces dégradations ont également allumé un feu de détritus sous le porche de l’édifice religieux. Les flammes, rapidement éteintes par les pompiers, n’ont pas eu le temps de l’endommager.

    Les auteurs de ces détériorations ont également profané son intérieur. «Tout s’effrite, mais on doit ébruiter» et «n*** ta mère» ont été rédigés d’une écriture ronde sur une porte en bois, tandis que la façade présente une autre dégradation visant directement le quartier de la gare Saint-Jean. «Les voisins détestent l’Église», avance ainsi une inscription sur cette paroisse située à 92 mètres du centre Jean-Paul II. Le diocèse de Bordeaux, qui a porté plainte contre X, «partage l’émotion des fidèles catholiques et des habitants choqués par ses actes».

    Une enquête a été ouverte par la Direction départementale de la sécurité publique qui soupçonne des débordements liés à la consommation d’alcool. Les caméras de surveillance doivent être exploitées et des voisins interrogés.

    La municipalité de Bordeaux a réagi à ces profanations indiquant dans un communiqué que «Pierre Hurmic s’émeut des actes de vandalisme et de dégradation perpétrés cette nuit sur l’église du Sacré-Cœur». Le maire de Bordeaux a dépêché Laurent Guillemin, son adjoint aux cultes, «auprès du père Benoît Davos afin de lui apporter le soutien de la Ville». Quelques heures plus tôt, le préfet de la Gironde, Étienne Guyot dénonçait sur Twitter «des tags haineux et des actes intolérables».

    Le Figaro via fdesouche

  • Bordeaux : Mohamed Islam Benmrdja et Abdel Hamid, deux Algériens qui s’étaient initialement présentés comme mineurs sous une fausse identité, condamnés pour avoir agressé sexuellement une étudiante

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Deux jeunes Algériens qui contestent formellement les faits ont été jugés coupables d’agression sexuelle en réunion. Ils ont été maintenus en détention

    « Les policiers, ils ont collé cette affaire sur nous et on n’a rien fait. » Ce mercredi 1er mars 2023, Mohamed Islam Benmrdja et Abdel Hamid, deux jeunes Algériens qui avaient initialement donné de fausses identités qui faisaient d’eux des mineurs, nient catégoriquement les faits d’agression sexuelle en réunion qui leur sont reprochés par le tribunal correctionnel de Bordeaux.

    Le 15 août 2020, une étudiante de 20 ans rentre seule et à pied d’une soirée entre amis. Elle longe le Jardin public à Bordeaux. À l’intersection du cours de Verdun et de la rue d’Aviau, elle est abordée par des jeunes au look décontracté, bloquée contre un mur, caressée sur les parties intimes à travers son short. Tétanisée, elle sent le sol se dérober sous ses pieds et s’accroupit de peur. Ses agresseurs frottent alors leur sexe sur son visage. Au milieu de la nuit, l’arrivée d’une voiture met fin à son calvaire.

    (…) « Aujourd’hui je vais bien », dit la victime en larmes à l’audience, ne pouvant cacher le retentissement psychologique des faits sur elle. Elle a quitté Bordeaux, son école de commerce, son appartement, son petit ami. « C’était une jeune fille sans histoire », résume MMarilou Séval, pour la partie civile. « Elle avait ses écouteurs, juste pour paraître moins disponible dans sa bulle. Elle ne s’est pas mise en danger et elle ne l’a pas vu venir. »

    (…) Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné les deux jeunes à cinq ans de prison ferme. Ils seront interdits du territoire français pendant dix ans après leur sortie de prison.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Bordeaux : Une brigade de police a été créée spécialement pour lutter contre la délinquance des “mineurs isolés” immigrés

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Leonard 02/03/2023 à 14h15
     

    Source : fdesouche

  • Bordeaux : ouverture d’AMAL, une « Maison des livreurs » pour les coursiers dont beaucoup sont des demandeurs d’asile ou ne possèdent pas de titre de séjour ou de papiers d’identité

    Publié par Guy de Laferrière le 19 février 2023

    Une « Maison des livreurs », dénommée AMAL (espoir en arabe), vient de voir le jour dans la cité girondine. Ce local offre à ces travailleurs précaires un espace de repos et d’échanges ainsi que l’accès à une assistance juridique et médicale. Beaucoup sont des demandeurs d’asile, ou n’ont pas de titre de séjour ou de papiers d’identité.

    Rue du Fort-Louis, à Bordeaux, dans les locaux historiques des Restos du cœur, vient d’ouvrir une maison d’un nouveau genre : un accueil de jour pour les coursiers des plates-formes de livraison de repas à domicile. Dans ce local prêté par la ville de Bordeaux, dirigée par le maire écologiste Pierre Hurmic, ils sont une cinquantaine à avoir adhéré à l’Association de mobilisation et d’accompagnement des livreurs (AMAL), qui gère le lieu.

    Ce nom a été choisi par ses trois fondateurs, Khalifa Kota, 27 ans, Mamadou Balde, 27 ans, et Mafoud (qui n’a pas souhaité donner son nom de famille), 26 ans, livreurs des plates-formes Uber Eats et Deliveroo. Un mot qui signifie aussi « espoir », en arabe, ajoute Khalifa Kota. Si cette « maison des livreurs » a vu le jour il y a à peine deux semaines en plein centre-ville, le projet, porté par le syndicat des coursiers de Gironde, remonte à 2020. La campagne des municipales bat alors son plein et l’objectif du syndicat est d’attirer l’attention des candidats sur la précarité des livreurs de repas dans la métropole.

    En parallèle, Khalifa Kota s’interroge. Il assiste, en plein travail, à deux reprises, à des accidents mettant en cause un livreur et une voiture. A chaque fois, ses collègues sont blessés, sans qu’une voiture ne s’arrête, mais lui intervient. L’un des livreurs lui dit qu’il doit se relever et reprendre sa course : il n’a pas le choix, il doit travailler.

    De son côté, dans le cadre de sa mission menée dans les squats et les bidonvilles, Médecins du monde découvre que beaucoup de livreurs à vélos vivent dans ces habitats précaires, 80 % gagnant moins que le smic. Difficile de connaître leur nombre exact. L’ONG estime que, sur 6 000 statuts d’autoentrepreneurs enregistrés en entreprises de livraison dans la métropole, plus de 30 % sont domiciliés au centre communal d’action sociale, au centre d’accueil de demandeurs d’asile ou dans des résidences de grands précaires. Sans compter ceux, sans titre de séjour ou sans papiers d’identité, qui sous-louent le compte de travailleurs enregistrés sur la plate-forme. […]

    Le Monde via fdesouche

  • Bordeaux : une femme octogénaire traînée sur plusieurs mètres par un migrant clandestin syrien qui voulait lui voler son sac à main. Connu sous plusieurs identités, il a été interpellé

    Publié par Guy de Laferrière le 07 janvier 2023

    Les policiers de l’unité d’atteinte aux personnes de la division Est ont été chargés de l’enquête sur ce vol avec violence sur personne vulnérable

    Il s’est enfui sans butin et sans se soucier de sa victime. Mercredi 4 janvier en début de soirée, un homme a tenté d’arracher le sac à main d’une octogénaire qui marchait sur l’avenue Thiers, à Bordeaux. La ciblant au regard de son grand âge, il n’avait pas prévu qu’elle résisterait.

    Tombée par terre, traînée sur plusieurs mètres, la dame n’a pas lâché son sac à main. Le voleur est donc reparti bredouille, sa compagne dans ses pas. Mais des témoins ont assisté à la scène. Certains ont prévenu les secours. D’autres ont poursuivi le couple jusque dans une résidence où il a été interpellé.

    L’homme, un Syrien de 24 ans en situation irrégulière sur le territoire français et connu sous plusieurs identités dans l’agglomération bordelaise depuis deux ans, a été placé en garde à vue à Cenon. Il aurait reconnu les faits. Il a été présenté vendredi au parquet et écroué en attendant sa comparution pour vol avec violence sur personne vulnérable.

    […]

     

    Sud-Ouest via fdesouche