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  • IL FAUT SORTIR DE LA CEDH !

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2020

    POSTÉ LE MAI 26, 2020, 11:20

    La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) coexiste avec la Cour de Justice européenne à Strasbourg.

    Si l’existence de la seconde se justifie dans une instance internationale structurée avec des règles communes précises, il n’en est pas de même de la première.

    La CEDH n’est pas une émanation de l’UE en tant que telle.

    Elle se réfère à la Déclaration universelle des droits de l’homme, proclamée par l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948.

    Le pouvoir de ses juges est immense car son action prend la forme vague de défense des droits de l’homme, des libertés, de la lutte contre le réchauffement climatique, des lois de bioéthique, etc.

    Dans les faits, elle défend la mondialisation, l’abolition des frontières, l’immigration, l’euthanasie, l’avortement, les LGBT, la légalisation de la drogue, la notion de blasphème, etc.

    Elle se compose de 47 États membres.

    On y retrouve tous les pays de l’UE, mais aussi 20 autres pays dont certains à la légitimité douteuse, soit en raison de leur implantation géographique extra-européenne (Azerbaïdjan, Turquie, Géorgie, Ukraine), soit en raison de leur taille lilliputienne (San Marin, Liechtenstein, Andorre), soit en raison de leur appréciation approximative de la démocratie (Monténégro, Moldavie, Turquie, Azerbaïdjan), soit un cocktail de tout cela.

    Il y a un juge par État, quelle que soit sa taille ou sa population.

    La CEDH est efficacement noy­autée par des associations liées financièrement ou idéologiquement à l’« Open Society Foundation » (OSF) du milliardaire mondialiste Soros qui manipule directement ou indirectement nombre de ses juges issus de diverses ONG, dont 7 ou 8 majeures lui sont inféodées.

    La cour peut être saisie par presque n’importe qui, n’importe quel organisme ou association, n’importe quel État ou groupe de pression – dont les ONG, qui ne s’en font pas faute, très souvent avec succès.

    Et ce n’est pas qu’une réunion de philosophes et d’idéalistes discourant sur les moyens de parvenir à un monde paradisiaque.

    Elle prend des décisions, en se référant donc à des textes imprécis, sujets à interprétation.

    C’est presque une cour suprême. En près d’un demi-siècle, la juridiction a rendu plus de 10 000 arrêts.

    Ses décisions, qui font souvent jurisprudence, sont obligatoires et les États concernés sont conduits à modifier leur législation ou leur pratique administrative pour s’y conformer.

    La France y obéit. Donc, parfois, nous obéissons à des décisions influencées par la Turquie ou l’Azerbaïdjan.

    La CEDH n’est pas représentative, mais a un pouvoir quasi discrétionnaire sur les pays constituant l’UE.

    C’est un obstacle considérable à la mise sur pied d’une politique identitaire et migratoire efficace.

    L’Europe doit s’en débarrasser ou nous devons la quitter.

    C’est impératif.

    Qu’on ne dise pas que ce retrait est impossible. La France n’a signé son adhésion qu’en 1974 et n’a autorisé ses résidents à y faire appel qu’en 1981.

    Un retour en arrière est donc possible.

     

    Source : les4verites

  • Comment les « juges Soros » ont influencé la Cour européenne des droits de l’’homme

    Publié par Guy Jovelin le 05 mars 2020

    Trouvé sur Valeurs Actuelles : « Un rapport accablant démontre la mainmise du réseau d’ONG du milliardaire sur la CEDH, qui impose à l’Europe son idéologie de la “société ouverte”. Révélations exclusives.

    L’Autriche, la Grèce et l’Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l’avortement ; la France est obligée d’autoriser le changement de sexe “sur le papier” ; la Hongrie est contrainte d’abolir la prison à vie ; la Russie est santionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l’Autriche doit légaliser l’adoption par les couples homosexuels ; l’application de la charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c’est la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui dicte sa loi à un pays européen. Chaque fois, une ONG liée au réseau de l’Open Society Foundations (OSF) est impliquée dans l’affaire. Chaque fois, l’un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l’OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de George Soros.

    Chapitre 1 – Aux sources d’une enquête, dans les arcanes du Palais des droits de l’homme

    Il est “celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom”. En mai 2018, Valeurs actuelles consacrait un dossier au milliardaire américain d’origine hongroise qui, écrivions-nous, « est passé maître dans l’art de désordonner le monde sous couvert d’altruisme ». En dévoilant « la machination Soros », notre journal recevait, comme tous ceux qui voient en lui autre chose qu’un philanthrope désintéressé, l’infamant label “complotiste”.

    Critiquer ses desseins, son idéologie et ses méthodes, c’est la certitude d’être rangé dans la case “fachosphère”, populiste ou antisémite ce qui prête à sourire quand on sait que Benyamin Nétanyahou, le Premier ministre israélien, est un virulent anti-Soros. Si le front d’opposition au milliardaire est aussi large, de Viktor Orbán à Donald Trump en passant par Vladimir Poutine, c’est que l’idéologie qu’il diffuse à travers son Open Society Foundations et sa myriade d’ONG a pour but de mettre fin aux nations et d’imposer à l’Occident son idéal de “société ouverte” et sans frontières, chère au philosophe Karl Popper dont il fut le disciple. Deux ans après la publication de cette enquête, un rapport accablant, que Valeurs actuelles révèle en exclusivité, vient éclairer la manière dont George Soros a infiltré la Cour européenne des droits de l’homme.

    Lire la suite de l’enquête sur Valeurs Actuelles…»

  • Illustration de l’activisme gauchiste de la CEDH

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2020

    Illustration de l’activisme gauchiste de la CEDH

    Alors que le scandale sur l’infiltration des hommes de Soros au sein de la Cour européenne des droits de l’homme commence à se diffuser dans la classe politique française, nous découvrons cette magnifique illustration: la CEDH a imposé à la Belgique de payer 10 000 euros à un criminel tunisien qu’elle avait expulsé (et qui avait reconnu un enfant en Belgique, ce qui fait que, selon la Cour, la Belgique n’avait pas respecté son droit à la vie privée et familiale). Dans son immense bonté, la CEDH a toutefois ajouté que la Belgique n’était pas tenu de redonner un titre de séjour au criminel. Alors stop ou encore?

    Via fdesouche.via lesalonbeige