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chrétiens - Page 3

  • Tortures, exécutions, destructions : halte à la barbarie anti-arménienne

    Publié par Guy Jovelin le 28 février 202

    Tortures, exécutions, destructions : halte à la barbarie anti-arménienne

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    Solidarité Arménie lance une pétition à l’adresse des acteurs politiques français :

    Endeuillée, amputée, appauvrie, seule pour panser ses plaies. Après un bref intérêt médiatique, la nation arménienne est retombée dans l’oubli total.

    Plus de 3 mois après le cessez-le-feu, au moins 200 prisonniers de guerre n’ont pas été rendus par l’Azerbaïdjan, et de nombreuses vidéos qui circulent font craindre le pire aux familles des disparus. Tortures, dépeçages de corps humains, exécutions sommaires ; les images sont insoutenables.

    Certains civils ayant préféré rester sur leurs terres du Haut-Karabakh ont été eux aussi malmenés ou torturés ; comment ne pas repenser avec effroi à ce vieil homme auquel des soldats azéris ont coupé les oreilles en se filmant avec des rires sadiques ?

    Loin d’ignorer ou de condamner cette situation, les autorités turques et azerbaïdjanaises favorisent l’anéantissement du patrimoine arménien et l’installation de jihadistes syriens. Cimetières, khatchkars, églises ; les détériorations ou destructions se multiplient dans le silence de la communauté internationale.

    Enfin, en dépit des accords du traité de cessez-le-feu, le territoire arménien est régulièrement victime d’incursions ou de tirs de l’armée azérie.

    Alors qu’environ 600 000 arméniens vivent France, dont 400 000 sont nés dans l’hexagone, et que la France et l’Arménie chrétiennes possèdent des relations multiséculaires, nous refusons de laisser cette situation se perpétrer dans l’indifférence.

    Nous demandons à nos élus et au chef de l’Etat d’agir enfin contre l’expansionnisme d’Erdogan qui ne cache pas sa volonté de rayer l’Arménie de la carte. La dignité humaine n’a pas de couleur politique. Elle n’est pas négociable !

    Halte aux massacres, halte à la barbarie !

     

    Source : lesalonbeige

  • Guerre dans le Haut-Karabakh arménien : Israël du côté des musulmans contre les chrétiens

    Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2020

    Dans la guerre qui a été imposée par l’Azerbaïdjan à l’Arménie pour la conquête du Haut Karabakh, Israël a choisi son camp : celui de l’islam conquérant, soutenu par le Turc Erdogan qui se rêve en nouveau sultan, contre les chrétiens arméniens.

    Mais le Haut-Karabakh a toujours été une terre arméniene, même si Staline l’a donné à l’Azerbaïdjan en 1923 : la population, l’histoire, la langue, la culture, l’architecture, l’art, tout est arménien et donc chrétien (3 000 monuments dont 500 églises sont arméniens). Après la chute de l’URSS, la population totalement chrétienne-arménienne a voté pour l’indépendance. L’Azerbaïdjan, courroie de transmission des volontés hégémoniques turques, n’a jamais accepté l’indépendance de la région arménienne après le « cadeau » de Staline, ce qui a conduit à la guerre de 1992-1994, qu’il a perdue. Et pour lequel il a méconnu quatre résolutions de l’ONU sur la cessation du conflit après l’armistice de 1994, continuant à provoquer le long de la frontière jusqu’à ce jour.

    Les Arméniens ont toujours été un grand obstacle au rêve turc. Le seul facteur qui a jusqu’à présent arrêté les Turcs est la Russie. Ce que craignaient les Arméniens depuis le début de la guerre en Syrie est ainsi devenu réalité. Les chrétiens arméniens et alliés des Russes ne pouvaient pas rester indemnes longtemps compte tenu de l’attitude que la Turquie avait dans cette guerre et ses nouveaux mouvements géopolitiques. Ces derniers jours, la responsabilité de la Turquie dans le déclenchement par l’Azerbaïdjan du conflit qui a débuté fin septembre est devenue de plus en plus claire.

    La rhétorique antiterroriste azerbaïdjanaise et turque a bien fonctionné pour présenter les Arméniens comme des sécessionnistes, des agresseurs, des occupants et des terroristes. Pour mettre le plus de pays possible contre l’Arménie, l’Azerbaïdjan a déclenché en juillet le conflit à proximité des oléoducs qui acheminent les hydrocarbures vers l’Europe.

    Les combats se poursuivent et les bombardements ont impliqué des cibles civiles dans la capitale du Haut-Karabakh et dans de nombreux villages. La Turquie a envoyé des mercenaires arabes utilisés dans la guerre en Syrie, comme elle l’a fait avec les Kurdes pour perpétrer le génocide arménien en 1915, a abattu un avion arménien, et beaucoup pensent que les drones utilisés dans le conflit sont exploités par des officiers turcs. Avec la syrification du conflit, la Turquie veut étendre son influence dans le sud du Caucase et a adressé un message clair à la Russie et à l’Europe, en particulier à la Grèce et à la France avec lesquelles elle s’est récemment affrontée, sur sa détermination. Avec la progression de la guerre, les images des têtes coupées de civils et de soldats arméniens ont également commencé à circuler, comme à l’époque du génocide.

    Après la récente escalade, tous les États ont appelé à un cessez-le-feu : le Canada a suspendu les livraisons d’armes à l’Azerbaïdjan, un grand nombre de pays arabes ont dénoncé l’agression de l’Azerbaïdjan, l’OTAN a invité la Turquie à utiliser son influence pour mettre fin au conflit. En revanche, Israël s’est positionné du côté des islamistes Azeris : « L’État hébreu ne fait pas que livrer des armes à sous-munitions et des drones aux Azerbaïdjanais dans leur guerre au Haut-Karabakh » peut-on lire dans un article paru sur Le Figaro d’hier.

    « Human Rights Watch (HRW) a démontré ce qui était un secret de polichinelle: l’Azerbaïdjan a recours à des armes à sous-munitions de fabrication israélienne dans sa guerre au Haut-Karabakh. HRW évoque notamment des roquettes de type LAR-160, dont des débris ont été retrouvés dans des secteurs bombardés de Stepanakert, la capitale de la République arménienne autoproclamée du Haut-Karabakh. Ces armes explosent dans le ciel et se dispersent en des dizaines de minibombes qui peuvent se transformer au sol en mines terrestres dans des zones peuplées de civils. Elles sont proscrites par une convention internationale non ratifiée par l’Azerbaïdjan, Israël mais aussi par l’Arménie. »

    « Rien ne semble en effet pouvoir remettre en question la solidité de l’alliance, en apparence à front renversé, entre Israël et l’Azerbaïdjan, continue d’écrire Thierry Oberlé, l’envoyé spécial du Figaro à Jérusalem.  L’Arménie l’a bien compris. Erevan a rappelé le 1er octobre dernier, dès le début du dégel de ce vieux conflit plus nationaliste que religieux, son ambassadeur installé depuis peu à Tel-Aviv. L’État hébreu a, au nom d’intérêts bien compris, un tropisme pour l’Azerbaïdjan, en dépit du soutien du régime turc de Recep Tayyip Erdogan à la petite République autocratique caucasienne considérée par Ankara comme l’un de ses satellites. Il n’a jamais hésité entre Bakou et Erevan. Israël n’a ainsi jamais reconnu le génocide arménien, le premier du XXe siècle et ne veut surtout pas entendre parler d’un Haut-Karabakh indépendant. «Si les Arméniens étaient autorisés à créer un État dans le Haut-Karabakh, cela pourrait ouvrir la voie aux Palestiniens pour qu’ils puissent faire de même», estime l’analyste politique Rachel Avraham. »

    Mais, indépendamment de cette question palestinienne l’Azerbaïdjan est aussi « le principal fournisseur en pétrole de l’État hébreu. Il couvre environ 40% de ses besoins en hydrocarbures. Et surtout, affirme Thierry Oberlé, sa position géographique lui offre un balcon avec vue sur l’ennemi iranien. Le pays a une longue frontière avec l’Iran, une zone qui intéresse particulièrement les services de renseignements israéliens. Soucieux de « sécuriser son territoire », Téhéran vient d’y déployer des unités des gardiens de la révolution.

    Selon le président israélien, Reuven Rivlin, cité par Oberlé « l’État hébreu entretient des relations de longue date avec l’Azerbaïdjan, et la coopération entre les deux pays n’est dirigée contre aucune partie».

    « Les experts n’en sont pas convaincus, souligne l’envoyé spécial du Figaro. En 2016, le pays a signé un contrat de près de 5 milliards de dollars avec des entreprises israéliennes d’armements. Outre les bombes à fragmentation, les sociétés israéliennes fournissent à Bakou des drones armés, dont des drones kamikazes. Ces engins télécommandés ont contribué à donner une supériorité militaire aérienne à Bakou. Au cours des dernières semaines, plusieurs avions-cargos ont décollé d’une base israélienne pour Bakou. Selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri), entre 2015 et 2019, Israël a livré 60% des armes de l’Azerbaïdjan, contre 31% pour la Russie, qui fournit la quasi-totalité du matériel militaire de l’Arménie. »

    En Arménie, les soldats chrétiens se battent avec courage dans ce qui est une guerre tout autant religieuse que territoriale : « cette guerre est pour la vie ou la mort de l’Arménie » indique Teresa Mkhitaryan, fondatrice de l’association humanitaire Il Germoglio qui vient en aide aux Arméniens.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La tragédie arménienne.

    Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2020

    Paysage du Haut-Karabakh

    © Bouarf / CC by-sa

    Une nouvelle fois le peuple arménien, peuple chrétien, un des premiers, se trouve en grave danger sur le territoire du Haut-Karabakh. Malgré un cessez-le-feu bien aléatoire. On est bien obligé de faire mémoire du passé, car par deux fois, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle il fut l’objet d’horribles massacres.

    chrétiens,haut-karabakh,tragédie arménienneUn ami me rappelle opportunément que Charles Péguy, tout au début de sa carrière d’écrivain militant, avait dénoncé le massacre dont étaient déjà victimes les Arméniens. Ainsi écrivait-il dans Les Cahiers de la quinzaine en mars 1900 : « Le massacre des Arméniens, sur lequel je reviendrai toujours, et qui dure encore, n’est pas seulement le plus grand massacre de ce siècle (il parlait du XIXe), mais il fut et il est sans doute le plus grand massacre des temps modernes et pour nous rappeler une tuerie tellement collective, il nous faut dans la mémoire de l’humanité remonter jusqu’aux massacres asiatiques du Moyen Âge. » Péguy parlait alors de la tragédie qui s’était produite entre 1894 et 1896 et qui s’était déroulée dans l’Empire Ottoman. Le nombre des victimes était alors évalué à 300 000 personnes.

    C’est comme si on avait oublié ce premier massacre, car il a été suivi d’un second, dont on se souvient, celui-là. La Turquie moderne, qui a succédé à l’empire Ottoman, se refuse toujours obstinément à en reconnaître la vérité historique. Il fut perpétré d’avril 1915 à juillet 1916 et même au-delà. Il fit périr les deux-tiers de la population arménienne présente sur le territoire. On estime qu’il coûta la vie à 1 200 000 personnes, et il fut sciemment organisé par le parti alors au pouvoir. Mais comme si la fatalité s’était décidément abattue sur ce peuple martyr, ce peuple chrétien, il est à nouveau en grave danger sur le territoire du Haut-Karabakh. Six semaines de combats meurtriers ont ravagé cette région à population arménienne, envahie par les troupes de l’Azerbaïdjan.

    Un cessez-le-feu vient certes d’être signé sous l’égide de la Russie, mais l’avenir est très menaçant. Le conflit pourrait se rallumer dans les années à venir. Les Arméniens se trouvent sans défense. Qui viendra à leur secours ?

     

    Source : lafautearousseau

  • Liban, la douleur des chrétiens : « Nous sommes en train de disparaitre »

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2020

    Après l’explosion de Beyrouth, la vie dans ce Liban dévasté et livré au chaos se conjugue avec « survivre », tout particulièrement pour les chrétiens libanais.

    Interrogé par le quotidien italien Il Giornale, Mgr Matthias Charles Mrad, vicaire de l’exarque patriarcal de Beyrouth des Syriens catholiques, analyse la délicate situation des catholiques, certainement la communauté la plus touchée, et la plus en danger de disparaître.

    « Votre Eminence, quelle est la situation actuelle au Liban après l’explosion ?

    La situation au Liban semble désormais calme. Certes plus calme que les heures et les jours qui ont suivi immédiatement l’explosion, mais ce que vit le pays est dramatique. La crise économique et politique est terrible et un mélange explosif s’est concentré sur le Liban : d’abord les manifestations, puis le coronavirus, aujourd’hui Beyrouth dévastée. Une crise qui affecte le Liban à l’intérieur, son peuple, qui doit être reconstruit avant même les décombres. L’Etat a désormais échoué, la politique est absente et la population est seule et déchirée : la reconstruction doit être initiée par les hommes.

    Comment la communauté chrétienne a-t-elle été affectée par cette explosion ?

    Les chrétiens de Beyrouth sont parmi les plus touchés par ce qui s’est passé au port. Toutes les zones voisines étaient habitées par des chrétiens et étaient les quartiers avec une plus forte présence de citoyens de religion chrétienne. Maintenant, les églises sont détruites, les maisons dans de nombreux cas ont été emportées par l’onde de choc. Un dommage énorme auquel s’en ajoute un autre très dangereux : les musulmans les plus riches achètent les maisons détruites car ils sont les seuls à avoir encore de l’argent pour les reconstruire. Et ceux qui ont tout perdu sont contraints de vendre leur maison et de partir. Avec le temps, ces quartiers risquent de ne plus avoir de chrétiens. Et pour cette raison, l’Église demande à l’Etat d’intervenir pour éviter ce processus qui peut provoquer une diaspora : les chrétiens disparaissent.

    Quel rôle les chrétiens du Liban peuvent-ils jouer aujourd’hui ?

    Ils peuvent jouer un rôle très important. Les chrétiens veulent vivre, comme le peuple libanais veut vivre. Les écoles et hôpitaux chrétiens sont fondamentaux pour la société libanaise et sont utilisés par des citoyens de toutes les religions. Mais aujourd’hui, les jeunes qui veulent un meilleur Liban, y compris de nombreux chrétiens, pensent qu’il vaut mieux partir. Il y a beaucoup de jeunes qui émigrent et les partis chrétiens ne représentent plus les sentiments de ce segment de la population. Ils sont des partis liés à d’autres États, très souvent en affaires avec des pays en guerre les uns avec les autres. Et ils portent également cette guerre au sein de leur communauté.

    En ce sens, la communauté internationale peut être utile …

    Bien sûr, mais cela dépend de chaque pays. A présent, la population est tellement fatiguée qu’elle compte sur l’extérieur : l’Arabie saoudite, l’Iran, mais aussi les pays européens. Quand Emmanuel Macron est arrivé à Beyrouth après l’incident du port, les gens demandaient aux Français de retourner au Liban et de reprendre le pays pour le relancer. Je dis ceci pour montrer comment les gens se sentent maintenant privés d’espoir à l’intérieur du Liban.

    Si tel est le cas, comment le Liban peut-il renaître ?

    Certainement il faudra beaucoup de temps et de patience. Le déclin du Liban et sa destruction de l’intérieur ont commencé il y a longtemps et une élection ou une courte période ne suffiront certainement pas à changer les choses. Cela prendra des années, car des années ont effectivement servi à saper le pays. Malheureusement, la classe politique a échoué, elle ne se soucie pas de l’avenir du Liban et les manifestations en un an n’ont rien changé. Cela prend du temps, je le répète, mais il faut commencer par l’homme : c’est de là que commence la reconstruction. » (Traduction de F. de Villasmundo)

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le chaos libanais.

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé ddélégué général du Parti de la France
     
    A Beyrouth, des dizaines de milliers de Libanais, pour la plupart chrétiens, manifestent leur colère contre le régime féodalo-mafieux, construit sur la corruption et la mise en coupe du pays au nom d'intérêts privés et d'enjeux fixés par des puissances étrangères. Les manifestants parlent de révolution. Mais une révolution suppose l'existence d'un peuple et nous savons qu'il n'y a ni nation ni peuple libanais. 
     
    Tout à la fois empli d'arrogance, lourd de tartarinades et consternant de naïveté, le déplacement guignolesque de Macron à Beyrouth en milieu de semaine, n'aura eu pour effet que de brouiller encore un peu plus les cartes en suscitant de faux espoirs et en feignant d'ouvrir des portes condamnées. 
     
    Dans ces conditions, ceux qui, en France, soutiennent la pétition poignante et déchirante qui a déjà, malgré son caractère hélas aujourd'hui irréaliste, réuni plus de 50 000 signatures à Beyrouth, réclamant le rétablissement du mandat français sur le Liban, ne sont pas de vrais amis de ce pays ni des chrétiens qui en sont l'âme.
     
    Aucun patriote français conscient de nos responsabilités nationales à l'égard de cette terre meurtrie qui nous est si chère, ne peut aujourd'hui souhaiter au Liban et encore moins à nos frères par la Croix le malheur supplémentaire que serait pour lui, dans l'état actuel de décrépitude dans lequel se meurt la France et de soumission au totalitarisme mondial dans laquelle elle se vautre, une intervention suivie d'une gestion directe sous la tutelle de Macron le petit, dans le cadre imposé du grand pandémonium onusien.
     
    Demain, en revanche, quand la France sera redevenue la France, c'est-à-dire quand la droite nationale assumera enfin la charge du pouvoir, nous devrons en urgence et par les moyens les plus forts, renouer avec ce qui est, depuis Saint Louis et la charte de Saint-Jean-d'Acre, une mission et une promesse:
     
    " Pour nous et nos successeurs sur le trône de France, nous promettons de vous donner, à vous et à tout votre peuple maronite, notre protection spéciale, comme nous la donnons aux Français eux-mêmes, et nous nous emploierons en toute circonstance à tout ce qui contribuera à votre prospérité ". 
     
    En attendant, le Hezbollah qui, pour le moment fait profil bas mais ne doute pas que le chaos lui profitera, continuera d'étendre sa main mise politique et militaire sur le pays, les organisations internationales profiteront des programmes d'aide humanitaire pour conforter leurs plans, des dizaines de milliers de Libanais seront contraints à l'exil, tandis que loin des soupes populaires sur lesquelles devront compter ceux qui resteront, les milliardaires de la diaspora continueront leur vie de nababs.