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etats-unis - Page 9

  • États-Unis : dans une nouvelle production de “La Belle et la Bête” de Disney, la “Belle” sera jouée par une femme noire, obèse et “queer”

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2021

    États-Unis – “Il n’y a jamais eu de princesses Disney qui me ressemblaient….. C’est juste un rêve”, dit Jade Jones, qui incarne Belle dans une nouvelle production de “La Belle et la Bête” de Disney au Olney Theatre Center.

    Si vous demandez à un jeune enfant de décrire l’héroïne de “La Belle et la Bête”, il pourrait évoquer la princesse Disney : mince, à la peau claire, vêtue de la mémorable robe bleue et blanche du dessin animé, ou alors la jolie Emma Watson qui jouait Belle dans un film sortie en 2017. Et bien dans la production de “La Belle et la Bête” actuellement à l’affiche au Olney Theatre Center dans le Maryland, Belle est interprétée par Jade Jones, une femme noire, obèse, qui se décrit comme une “queer”.

    La directrice de la production, Marcia Milgrom Dodge, nominée aux Tony Awards, a déclaré que la présence de Jade Jones a eu un impact sur le public dès le début : “Ainsi, [toutes] les petites filles peuvent rêver qu’elles sont aussi des princesses.” (…)

    (…) “C’est si facile pour [Belle] d’être juste une jolie fille”, déclare la comédienne. “Je pense qu’il y a tellement plus en Belle que juste le fait d’être belle. Elle est intelligente, drôle, pleine d’esprit, créative et passionnée. Et je pense que j’apporte tout cela au personnage”.

    (…) Le théâtre a mené une campagne sur les réseaux sociaux #IamBeauty pour encourager les spectateurs à partager ce qui les fait se sentir beaux

    MSNBC via fdesouche

  • Poutine a donné un dernier avertissement aux États-Unis et à l’OTAN

    Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2021

    « La Russie n’a peur d’aucun pays dans le monde, y compris les États-Unis. Moscou a assez de puissance pour effacer les États-Unis de la surface de la terre », écrivent-ils.

    Les analystes ont argumenté leur point de vue avec la puissance militaire de la Russie. Il a été souligné à juste titre que l’arsenal du pays dispose des armes les plus récentes qui n’ont pas d’analogues dans le monde, notamment une défense aérienne moderne et des missiles hypersoniques.

    Les experts ont également rappelé que la Russie est la plus grande puissance nucléaire et que sa réponse à une agression peut être mortelle et impitoyable.

    « Malgré le fait que les États-Unis et leurs alliés soient proches des lignes rouges tracées par la Russie, ils n’oseront pas franchir la ligne. Cette démarche serait une catastrophe imminente pour l’Occident », ont souligné les analystes des médias chinois.

    La troisième raison pour laquelle Moscou ne craint peut-être pas une attaque de l’Occident est la dépendance de l’UE vis-à-vis du gaz russe. Selon les experts, si l’OTAN devait « frapper » la Russie, tous les membres de l’alliance devraient « brûler des journaux pour se réchauffer en hiver ».

    Ils ont conclu que le président russe Vladimir Poutine est bien conscient de tout cela et qu’il a jusqu’à présent fait preuve de beaucoup de retenue dans ses réactions aux provocations de l’Occident. Toutefois, le dirigeant russe n’oublie pas de mettre en garde l’OTAN contre les conséquences inévitables de l’agression.

    On se souviendra que, commentant les bombardiers de l’OTAN survolant la frontière russe, M. Poutine avait déclaré que l’alliance avait « dépassé ses limites » et souligné que Moscou était prêt à réagir de manière adéquate à l’activité militaire de l’Occident près du territoire de la Fédération de Russie.

    « Vladimir Poutine parle à ses opposants avec le ton d’un parent dont la patience est à bout. Cela ressemble à un dernier avertissement à l’Occident », concluent les experts chinois.

    Traduit par Avic pour Réseau International

    Source : https://politikus.ru/events/139045-putin-sdelal-ssha-i-nato-poslednee-preduprezhdenie.html

  • Les États-Unis font planer la menace militaire contre l’Iran si la diplomatie échoue

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

     

    Les États-Unis de Joe Biden ont fait planer mercredi la menace d’un recours à l’option militaire contre l’Iran en cas d’échec de la diplomatie pour empêcher Téhéran de se doter de l’arme atomique, faisant pour la première fois clairement écho aux avertissements israéliens. À la veille d’une visite cruciale du négociateur de l’Union européenne jeudi à Téhéran, l’impatience monte côté américain mais aussi européen, et le changement de ton est manifeste.

    Washington pense « qu’une solution diplomatique est la meilleure manière » d’éviter que la République islamique devienne une puissance nucléaire, a déclaré le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken lors d’une conférence de presse avec son homologue israélien Yaïr Lapid dans la capitale américaine. Mais il a jugé peu « encourageants » les signaux émanant de Téhéran, qui n’a toujours pas fixé de date pour la reprise des négociations visant à sauver l’accord international de 2015 sur le nucléaire iranien, à l’arrêt depuis juin. « Il faut être deux pour dialoguer et nous n’avons pas constaté, à ce stade, de volonté d’en faire autant de la part de l’Iran », a déploré le secrétaire d’État, estimant une nouvelle fois que la « fenêtre de tir » se refermait à grand pas.

    « Nous sommes prêts à nous tourner vers d’autres options si l’Iran ne change pas de direction », a-t-il prévenu alors qu’il était interrogé sur la possibilité du recours à la force. « Nous envisagerons toutes les options. » À ses côtés, le ministre israélien a enfoncé le clou, sans être contredit. « En disant “d’autres options”, je pense que tout le monde comprend », a-t-il lancé, dans une allusion claire à l’option militaire. Yaïr Lapid a d’ailleurs été encore plus explicite au nom de l’État hébreu, opposé de longue date à l’accord de 2015 qu’il juge insuffisant.

    « Le secrétaire d’État Blinken et moi sommes des enfants de survivants de l’Holocauste. Nous savons qu’il y a des moments où les nations doivent avoir recours à la force pour protéger le monde du Mal », a-t-il déclaré. « Israël se réserve le droit d’agir à tout moment, et quels que soient les moyens », a-t-il martelé.

    Lire l’article entier sur lefigaro.fr

  • À la demande des États-Unis, trois pays des Balkans – l’Albanie, le Kosovo et la Macédoine – ont accepté d’accueillir des migrants afghans évacués par les Américains

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2021

    À la demande des États-Unis, trois pays des Balkans – l’Albanie, le Kosovo et la Macédoine du Nord – ont accepté d’accueillir chez eux des réfugiés afghans demandeurs d’asile, le temps que les autorités américaines étudient leur demande.

    Des tentes avaient été dressées, depuis plusieurs jours, sur l’aéroport Mère-Teresa de Tirana. Un premier groupe de 121 réfugiés afghans est finalement arrivé, après deux semaines d’attente, vendredi 27 août au matin, en Albanie. Dimanche soir, 111 autres réfugiés ont débarqué d’un avion de l’US Air Force sur le tarmac de l’aéroport de Pristina, au Kosovo. Ils ont ensuite été logés dans un centre d’accueil proche de l’immense base américaine de Camp Bondsteel.

    Un accueil transitoire de douze à quatorze mois

    L’Albanie, le Kosovo, ainsi que la Macédoine du Nord, devraient ainsi accueillir jusqu’à plusieurs milliers d’Afghans pour le compte des Américains. Ils devraient théoriquement y rester douze à quatorze mois​, le temps que soit vérifiée leur identité et établis leurs documents de séjour pour être autorisés à se rendre aux États-Unis.

    Ces trois pays sont les pays les plus pro américains d’Europe… Ils feront beaucoup pour répondre à toutes les demandes des États-Unis, explique l’analyste Toby Vogel.

    Les États-Unis avaient entamé, dès la mi-juillet, des négociations secrètes avec le Kosovo, a reconnu le cabinet du Premier ministre. La présidente de la République, Vjosa Osmani, a expliqué que son pays avait accepté sans hésitation et sans conditions ​la demande américaine, même si l’on évoque d’importantes contreparties financières.

    (…) Ouest-France via fdesouche

  • Le nombre d’habitants blancs chute pour la première fois aux États-Unis, les Blancs représentent 61,6% de la population contre 72,4% une décennie plus tôt

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2021

    Le nombre d’habitants se définissant comme «blancs» aux États-Unis a baissé pour la première fois, selon le dernier recensement de 2020 qui montre un pays «bien plus multiracial» et plus urbain que dix ans plus tôt, ont expliqué jeudi ses responsables. «La population blanche reste le plus grand groupe racial ou ethnique aux États-Unis», a précisé le Bureau américain du recensement (Census Bureau).

    La population se définissant comme «blanche» uniquement a diminué de 8,6% entre 2010 et 2020, une première depuis les premiers relevés, en 1790. Elle représentait 204 millions d’habitants l’an dernier, soit 61,6% de la population contre 72,4% une décennie plus tôt. «Ces changements révèlent que la population américaine est bien plus multiraciale» que par le passé, a souligné un de ses responsables, Nicholas Jones, lors d’une présentation. En plus des changements démographiques, il a toutefois mis en garde que l’affinement des questions sur ces sujets ainsi qu’une nouvelle méthodologie par rapport à 2010 avaient aussi «largement» influencé ces résultats.

    (…) Le Figaro via fdesouche