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grenoble - Page 9

  • Ultra-gauche terroriste

    Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2020

    Auteur : Michel Janva

    Ultra-gauche terroriste

    Depuis 2 ans, une dizaine d’incendies criminels ont eu lieu à Grenoble. Notamment l’incendie de l’église Saint-Jacques qui a été détruite.

    Mais, comme les auteurs font partie d’un groupe d’ultra-gauche, le procureur n’avait rien fait jusqu’à présent.

    Depuis deux ans une dizaine de bâtiments, publics et privés, ont été victimes de départs de feux, tous d’origines criminelles.

    Une qualification terroriste permettrait d’avoir « des moyens différents » pour les enquêtes, a fait valoir lundi 13 janvier le procureur de la République au sujet des dégradations et incendies criminels revendiqués par « l’ultra-gauche libertaire » et qui ont eu lieu depuis le printemps 2017. Le procureur de la République de Grenoble a annoncé avoir demandé au parquet national anti-terroriste de se saisir des dossiers de la vague d’incendies criminels de la région grenobloise revendiqués par « l’ultra-gauche libertaire », après le sinistre qui a détruit des véhicules d’Enedis dans la nuit.

    « Nous avons saisi le parquet national anti-terroriste d’une demande (de saisine) des dossiers. L’ensemble de ces destructions concernant aussi bien des sociétés que des biens publics revendiquées par l’ultra-gauche libertaire peuvent être considéré comme des attentats terroristes ». « Nous soumettons chaque fois les dossiers au parquet national et celui-ci , dans cette affaire comme dans les précédentes, les évalue et donnera sa décision. Pour l’instant, il ne l’a jamais fait et nous espérons que cette fois-ci il le fera ». « Il y a une augmentation permanente du nombre de faits attribués à cette mouvance, il y a un mouvement national et il y a beaucoup de faits sur le ressort de Grenoble : cela justifierait cette qualification terroriste ». « Ce sont des enquêtes difficiles, les auteurs des faits sont particulièrement prudents et vigilants (…) Nous avons à faire à un groupe très organisé »

    Près d’une quinzaine de dégradations ou d’incendies ont eu lieu dans l’agglomération grenobloise depuis le printemps 2017, dont des incendies de casernes de gendarmerie, de la salle du conseil municipal de Grenoble ou d’une église, ainsi que des locaux de France Bleu Isère, sans que des suspects soient appréhendés.

     

    Source : lesalonbeige

  • ACAB : un groupuscule menace de mort des policiers à Limoges, Périgueux et Grenoble, directement à leurs domiciles

    Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2019

    Des policiers et des CRS de Limoges, Périgueux et Grenoble ont découvert, mercredi, des courriers menaçant de mort ou de violences leurs familles. Ces lettres, parfois déposées directement sans passer par la Poste, sont signées d’un groupuscule dénommé ACAB […] La signature « ACAB », slogan anti-police signifiant « All cops are bastards » (« Tous les flics sont des salauds »).

    Les syndicats de policiers, et notamment Alternative Police CFDT, font part de leur « stupéfaction, horreur et colère« . « On n’ose même plus rentrer chez nous en uniforme » déplorent des policiers de Limoges en réagissant sur cette affaire. Selon les syndicats, le policier visé à Limoges a porté plainte et les organisations syndicales espèrent que sa hiérarchie fera de même.

    France Bleu Via fdesouche

  • Grenoble ce dimanche matin : un Algérien déambule avec deux couteaux de cuisine en criant “Allah Akbar”

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2019

    Par Eric Martin

    Grenoble ce dimanche matin : un Algérien déambule avec deux couteaux de cuisine en criant “Allah Akbar”

    rapporte France Bleu :

    Un homme déambulait avec deux couteaux de cuisine à grandes lames aux abords de la gare de Grenoble vers dix heures ce dimanche matin. Il a crié à plusieurs reprises “Allah Akbar” tout en faisant une prière.

    Alors la brigade anti-criminalité de Grenoble intervient. L’homme refuse de jeter ses couteaux à terre, et menace un policier. Il est finalement interpellé, grâce à des tirs de flash-ball selon les témoins. Il s’agit d’un jeune homme de 19 ans, habitant Grenoble et né en Algérie. La sûreté départementale de Grenoble est saisie de l’enquête sur instruction du parquet.

     

    Source 2 : ndf

  • Eric Piolle (EELV) annonce que les immigrés clandestins pourront voter à Grenoble

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2019

    Par  le 15/10/2019

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    BFMTV @BFMTV
     

     "L'élection sera ouverte à tous les résidents, quelque soit leur statut."

    Éric Piolle annonce qu'il suffira d'avoir "une adresse à Grenoble" pour pouvoir voter aux municipales 

    Vidéo : 

    Vidéo intégrée
     
     
     
    Source : fdesouche
  • A Grenoble, les militants du burkini tentent de convaincre les passants

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2019

    Par  le 30/06/2019

    Une semaine après leur baignade en maillot couvrant à la piscine municipale, les membres de l’association « Alliance citoyenne » y sont retournés dimanche, pour discuter avec les usagers.

    À Grenoble ce dimanche, l’opération burkini dans les deux piscines municipales n’a pas eu lieu. La contre-opération «Tous à poil» non plus. Après plusieurs incidents dans les bassins et la fermeture des lieux à la demande des agents de la ville, les habitants ont pu se baigner tranquillement à la piscine en plein-air Jean-Bron, comme à celle des Dauphins. […]

    Ils sont une quinzaine, ce dimanche midi, réunis à quelques pas de Jean-Bron, pour cette «opération burkini»: certains membres de l’Alliance citoyenne de Grenoble, d’autres venus en soutien sans pour autant afficher clairement leurs couleurs. […]Extraits des dialogues, par les femmes voilées: «Nous, on ne peut pas aller à la piscine», «on nous oblige à mettre des maillots deux pièces», «ce n’est pas normal, on est dans un état laïc». […]

    Sur place, à l’entrée de Jean-Bron, les échanges houleux ne se font pas attendre. «Vous allez détruire notre liberté!», leur lance, fâché, un passant. «Et la liberté de conscience alors?» lui rétorque une sympathisante du mouvement. «Oui, mais pas en l’imposant aux autres!» poursuit le passant en s’en allant. «Oh ça va, à chaque coin de rue y’a une église, on t’entend pas gueuler!» Rires dans l’assistance. […]

    Le Figaro via fdesouche