Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2021
Source : fdesouche
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2021
Source : fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2021
D’ici vendredi, la cour criminelle de l’Isère se penchera sur deux affaires de viol.
Ce lundi, comparaît Mohamed Azzi, un homme de 56 ans accusé de viol commis sous la menace d’une arme. Le quinquagénaire, qui rencontre des problèmes psychiques, est soupçonné d’avoir violé, en la menaçant d’un couteau, une femme qui l’hébergeait depuis quelques mois.
[…]L’article dans son intégralité sur Le Dauphiné
Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2021
Des échauffourées ont une nouvelle fois éclaté entre jeunes et policiers dans la nuit de jeudi à vendredi rue la Bruyère près de la Villeneuve.
(…) De nouveaux incidents ont éclaté dans la nuit de jeudi à vendredi mais avec une intensité encore plus forte. Tout a commencé vers 23 heures par des détériorations de mobilier urbain. Les policiers arrivés sur place, puis des renforts appelés par la première patrouille, ont essuyé pas moins d’une trentaine de tirs de mortiers. Les forces de l’ordre ont répliqué au LBD et à la grenade lacrymogène. Le calme est revenu vers une heure du matin après dispersion des protagonistes dans la nature. Les policiers n’ont pas pu procéder à des interpellations.
France Bleu via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2020
Cette dernière a peu apprécié cette affirmation. Elle a réagi dans un communiqué : “En premier lieu, les services de la préfecture n’ont jamais accordé de subvention au Collectif contre l’islamophobie, ni à son association satellite, l’Association de défense des droits de l’homme. Les subventions délibérées par la Ville de Grenoble l’ont été de sa seule initiative et n’ont nullement fait l’objet d’une validation préfectorale. Si la préfecture effectue un contrôle de légalité, a posteriori, sur les délibérations des collectivités, ces dernières demeurent seules comptables de l’opportunité de ces subventions, au regard du principe de libre administration que leur garantit la Constitution. En d’autres termes, il n’appartient juridiquement pas au préfet de se prononcer sur l’opportunité pour une commune d’accorder ou non une subvention. Il ne peut que saisir le tribunal administratif pour faire annuler la délibération du conseil municipal s’il considère qu’elle est illégale. Il est en revanche de la responsabilité de chaque acteur public de s’assurer de la pertinence de financer telle ou telle association et, par là même, d’en contrôler l’objet et les actions menées.”
Le chercheur grenoblois Naëm Bestandji, spécialiste de l’islam radical, révèle que, pendant trois ans, la Ville de Grenoble a versé une subvention au CCIF. Une association décrite la semaine dernière comme « un ennemi de la République » par le ministre de l’Intérieur.
Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2020
Vidéo : https://twitter.com/i/status/1308087091176316931
Quand il part en intervention avec son taser et sa matraque, David, policier municipal depuis plusieurs années à Grenoble, sait qu’il n’a pas les moyens pour ses missions.
“L’arme de poing, il ne veut pas en entendre parler. Il y a des individus qui se baladent avec des couteaux ou avec une arme à feu et dans ce cas-là, on se retrouve coincé. Les policiers municipaux se sentent dénigrés”, assure-t-il.
Après son élection en 2014, Eric Piolle avait annulé la commande des armes à feu. Et aujourd’hui Julie, policière municipale elle aussi, a l’impression de ne plus faire son métier correctement. “On nous demande simplement de fermer les yeux. La politique de la ville, c’est la verbalisation de véhicules et pas du tout d’aller dans les quartiers s’occuper des problèmes de délinquance”, précise-t-elle.
À Grenoble, les 93 policiers municipaux sont assistés de 90 caméras de vidéo-protection, Un tiers d’entre elles seraient hors-service. Mais pour Diega Trupia, déléguée CFDT, il y a aussi un problème d’effectif dans la police nationale.
“Dans tous les cas, ils ne sont pas assez nombreux pour une agglomération comme Grenoble pour pouvoir gérer tout ce qui est faits mineurs et faits graves. Et donc souvent on nous envoie sur les faits mineurs pour qu’ils puissent se concentrer eux sur tout ce qui est plus grave”, affirme-t-elle.
Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, 54 policiers nationaux sont venus renforcer les équipes à Grenoble depuis cinq ans.