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  • Immigrés clandestins : l’invasion continue en Italie avec la complicité de la France

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

    Auteur : Philippe Carhon

    Immigrés clandestins : l’invasion continue en Italie avec la complicité de la France

    La justice italienne a imposé le débarquement des “migrants” (immigrés clandestins) à Lampedusa :

    Les migrants recueillis en Méditerranée par l’Open Arms ont débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île italienne de Lampedusa, en application d’une décision de justice prise compte tenu des fortes tensions à bord après des jours de sur-place à quelques encâblures de la côte. Ils étaient 147 à bord à l’arrivée du navire humanitaire près de Lampedusa jeudi, et un peu plus de 80 après l’évacuation vers l’île de plusieurs personnes ayant sauté à l’eau mardi et de plusieurs dizaines de mineurs ou de malades ces derniers jours.

    Paris s’est engagé à accueillir «une quarantaine de personnes qui pourront demander l’asile en France», a rappelé Sibeth Ndiaye lors du compte-rendu du conseil des ministres, et «a envoyé sur place ou va le faire dans les tous prochains moments une délégation de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides, NDLR) qui permettra d’examiner les situations».

     

    Source : lesalonbeige

  • Le Droit des Nations

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2019

     

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    Bernard Plouvier

    Qu’on l’appelle en latin Jus gentium ou qu’on en parle dans n’importe quelle autre langue, ce droit est le fondement de l’existence même des nations, garantissant leur survie et leur développement harmonieux.

    Les Français citent volontiers la définition qu’Ernest Renan (ci-dessus) a donné de la Nation. Ils oublient le modèle sur lequel notre Breton avait décalqué sa définition : le jurisconsulte romain Pasquale Mancini, plus tard politicien du Royaume d’Italie.

    En 1851, inaugurant la chaire de Droit international à l’Université de Turin, il avait défini sa conception du Jus gentium : le regroupement des membres d’une nation sur son territoire historique. Ce ne sont certes pas les Juifs qui le contrediront, ayant pleuré durant deux millénaires : « L’An prochain à Jérusalem ».

    De façon plus utile encore, Mancini avait ajouté : « La nation est une société humaine fondée sur l’unité du territoire, l’unité d’origine, l’unité des mœurs et de la langue ».

    On ne peut mieux démontrer la stupidité profonde, l’irréflexion – à moins qu’il ne s’agisse d’une corruption pure et simple par l’islamo-pétrodollar, l’argent du haschich ou des « larmes d’allah » (les dérivés de l’opium) – des politiciens de l’Europe Unie, lorsqu’ils transforment les pays d’Europe occidentale et scandinave en centres d’accueil pour les déçus des autres continents.

    De l’accueil, l’on est passé à l’invasion massive. Et très logiquement, il faut s’attendre à un changement de majorité de peuplement dans les pays accueillants. De façon tout-à-fait démocratique – la démocratie n’étant que la loi du nombre et nullement celle de la qualité -, l’Europe deviendra un nouveau continent de melting pot – si l’on préfère le pot-pourri multiracial. On voit aux USA ou au Brésil ce que donne cette société multiraciale- multiraciste.

    Seule la mollesse, la veulerie des natifs d’Europe auront permis cette catastrophe civilisationnelle. Pour l’instant, l’on peut encore inverser à bas coût le processus. Plus tard, ce sera l’affaire d’une formidable guerre des races et des religions, à côté de laquelle la Seconde Guerre mondiale risque de passer pour une bluette.    

     

    Source : synthesenationale

  • Corse : face à l’invasion immigrée, le retour des prénoms corses

    Publié par Guy Jovelin le 02 avril 2019

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    « La proportion de prénoms corses double ainsi entre 2004 et 2016, pour atteindre pratiquement 20 % des naissances. Ce taux apparaît déjà en soi comme élevé, mais il l’est encore davantage quand on prend en compte deux éléments. L’importante population issue de l’immigration maghrébine vivant en Corse choisit très massivement sur l’île, comme sur le continent, des prénoms arabo-musulmans pour ses enfants. De la même façon, les nombreuses familles « continentales » qui sont venues s’installer sur l’île sont nettement moins enclines à opter pour des prénoms corso-italiens. De ce fait, la prévalence de ces prénoms parmi les nouveau-nés issus des seules familles « autochtones » est donc très nettement supérieure au taux de 20 % mesuré sur l’ensemble des naissances dans l’île. »

     

    Source : « L’Archipel français », par Jérome Fourquet, Sciences humaines (H.C.)