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macron - Page 57

  • Marseille : Macron plaide pour une « histoire commune de la Méditerranée occidentale »

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2019

    Par  le 25/06/2019

    Le sommet des deux rives a réuni, les 23 et 24 juin dans la cité phocéenne, cinq pays du nord de la Méditerranée, à savoir, la France, l’Italie, l’Espagne, le Portugal et Malte, ainsi que cinq pays du sud : l’Algérie, la Tunisie, la Mauritanie, la Libye et la Maroc.

    Macron a poursuivi en alertant sur le fait que « lorsqu’on regarde, aujourd’hui, la Méditerranée on peut être inquiets ». Il estime qu’elle est abîmée par « le sujet écologique, (…) les sujets migratoires, (…) l’Islam politique, (…) les nationalismes ». […]

     

    Source : fdesouche

  • Vers un chômage plus humain avec la Macronie…

    Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2019

    Rédigé par notre équipe le 19 juin 2019

    Emmanuel Macron est-il un de ses pervers narcissiques que la presse aime à présenter en Une des hebdomadaires depuis plusieurs années ? Celui qui se rappelle de ses propos du 11 juin sur le besoin de « plus d’humanité » lors d’un discours devant l’Organisation internationale du travail est en droit de se demander s’il n’a pas été victime d’une hallucination. Car une semaine plus tard, il entendait le Premier ministre détailler les nouvelles mesures pour lutter contre le chômage à moins que ce soit une lutte contre les chômeurs…

    Que ceux qui sont « pour la précarité » se présentent ! La Macronie se lève comme un seul homme et applaudit des deux mains. Rien de plus normal pour ceux qui ont mis sous le tapis leur dignité pour accrocher un petit poste grassement payé. Il faut toutefois se contenir un peu alors quand la ministre du Travail plaide pour « plus de précarité », c’est bien évidemment un lapsus révélateur qu’il convient de camoufler sous les rires.

    Lutte contre le chômage ou contre les chômeurs ? 

    Les rires, les chômeurs et tous les salariés qui sont en situation de précarité n’en auront plus du tout à la lecture de la loi concoctée par le Gouvernement. A partir du 1er novembre, un chômeur ne pourra être indemnisé qu’à partir de six mois de travail sur vingt-quatre contre quatre actuellement. Cette augmentation de deux mois n’est pas insensée, mais elle va surtout permettre à évacuer pas mal de monde des statiques. Un passage obligé pour une Pénicaud qui a encore répété ce matin que l’objectif est d’atteindre 7 % de chômage en avril 2022… 7 % ? On est loin du plein emploi promis en période de campagne… 

    Et pour bien continuer dans l’idée de flexibilité et de soumission à la première offre d’emploi qui passe (mesure qui finira par s’imposer), les chômeurs qui touchaient plus de 4 500 euros brut par mois lorsqu’ils étaient en activité verront leurs indemnités baisser de 30 % à partir du septième mois… Un seuil qui peut paraître élevé, mais qui ne tardera pas à baisser jusqu’à concerner une majorité de chômeurs indemnisés. Depuis qu’il est à l’Elysée (en tant que conseiller), à Bercy puis de nouveau à l’Elysée en tant que général en chef, Macron n’arrive pas à lutter contre le chômage. Alors il passe à la solution de rechange et s’en prend aux chômeurs.

    Seule la création d’un système de bonus-malus pour les entreprises qui abusent des contras courts pourrait donner le change sur l’aspect social des manœuvres gouvernementales. C’était sans compter sur le fait que cette mesure ne concernera que sept secteurs… Le médico-social et le bâtiment, deux secteurs très gourmands de contrats courts et de précarité sont étrangement épargnés. Les amis milliardaires de Macron peuvent être satisfaits, les millions de Français précaires non !

    Où est donc le « plus d’humanité » dont se vantait il y a une semaine encore le président de la République ? Une chose est certaine, elle n’est pas dans la politique de Macron. La suite est déjà connue. Les syndicats vont crier en rangs dispersés, les Français vont se dire que décidément Macron est un être retors, mais sans réaction forte de type gilets jaunes, les mauvais vents iront détruire tout ce qui tient encore debout.

     

    Source : 24heuresactu

  • Valérie Pécresse en route pour Matignon (Nouvel Obs)

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2019

    Par  le 09/06/2019

    Editorial de Carole Barjon sur les raisons de la démission de Valérie Pécresse des Républicains dans le Nouvel Obs. Selon elle, la logique de sa démarche conduit inexorablement la présidente de la région Ile-de-France à suivre les traces d’Edouard Philippe.

    Il ne faut pas se tromper sur les raisons qui ont conduit Valérie Pécresse, le mercredi 5 juin au soir, à annoncer sa décision de quitter.[…]

    C’est d’abord et avant tout l’impérieuse nécessité de conserver sa présidence de la région Ile-de-France. Au soir du résultat des élections européennes en effet, Pécresse a fait ses comptes : avec 28 %, le parti d’Emmanuel Macron fait un carton dans la région parisienne, l’électorat de droite a largement voté pour la liste de La République en Marche menée par Nathalie Loiseau. «L’Ile-de-France est aujourd’hui macroniste», constate froidement ce soir-là l’un de ses proches. De quoi lui faire revisiter sérieusement les résultats d’un sondage qu’elle avait fait réaliser avant le scrutin et qui la créditait d’un confortable socle de 30 %. Dans cette étude, un hypothétique candidat LREM plafonnait à 15 %.

    L’ancienne ministre de l’Enseignement supérieur de Sarkozy se rêve à la tête d’un parti de droite moderne et ouverte, comme elle l’a expliqué mercredi au journal de 20 heures de France 2. Bref, un parti de centre droit. Seul problème : ce parti-là existe déjà… sous le nom de La République en Marche ! Pour reprendre les récents propos d’Yves Thréard, éditorialiste du « Figaro », sur RTL : « Le patron de la droite, c’est Macron ! » […]

    Nouvel Obs via fdesouche

  • Sondage présidentielles : Macron à 30 %, Marine Le Pen à 28 %

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2019

    Par  le 29/05/2019

    Emmanuel Macron et Marine Le Pen s’opposeraient de nouveau, avec des scores supérieurs à ceux de 2017, si le premier tour de l’élection présidentielle avait lieu dimanche prochain, selon un sondage. Dans cette enquête réalisée au lendemain des élections européennes, le chef de l’Etat et la présidente du Rassemblement national obtiendraient respectivement 30 % et 28 % des voix (contre 24 % et 21,3 % au printemps 2017) au premier tour.

    Les autres chefs de partis seraient relégués loin derrière. Yannick Jadot recueillerait 12 % des suffrages, Jean-Luc Mélenchon 9 %, Laurent Wauquiez, 8 %. Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France, est crédité de 5 % des voix et Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, de 4 %.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • « Macron est parvenu à réduire le spectre électoral à la bande des 2, LREM et RN »

    Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2019

     

    Carl Lang, Président du Parti de la France, constate que le chef de l'État est parvenu à ses fins lors de ces élections européennes.

    Carl LANG@carllang2022