Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2019

Nice Matin via fdesouche
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Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2019

Nice Matin via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2019

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2019

Depuis lundi, le complexe sportif Roger-Grosmaire est fermé au public. Ce jeudi, il accueillera une centaine de migrants pour un mois.
(…) Il faut s’approcher très près pour lire l’arrêté préfectoral qui stipule que le complexe sportif « est réquisitionné pendant un mois » pour accueillir une centaine de migrants qui doivent être évacués ce jeudi matin de la porte de la Chapelle à Paris (XIXe) ou de l’avenue du Président-Wilson à Saint-Denis.
(…) Une décision qui irrite les habitants et les associations de cette petite commune de 7 000 habitants. Il faut dire que le gymnase est l’unique équipement sportif de la ville. Tous les cours d’EPS des écoles et du collège ont été annulés, les activités sportives aussi. Seul le Téléthon sera maintenu « sous un chapiteau » loué par la mairie.
« Avec les vacances scolaires, les enfants vont être privés de sport pendant un mois et demi. Ça va être très dur de leur faire reprendre. Sans compter que nous, on paye l’abonnement à l’année », s’insurge Nathalie mère de deux enfants inscrits au karaté et à la gym.
Publié par Guy Jovelin le 03 novembre 2019

[…] Ils n’ont pas été mis dehors juste avant la trêve hivernale qui entre en vigueur ce 1er novembre. Ils ne le seront pas non plus au printemps prochain. La cinquantaine de migrants, dont 31 mineurs isolés, installés dans des locaux appartenant au diocèse d’Avignon a obtenu un long sursis du tribunal d’instance. Ils ne pourront pas être expulsés avant trois ans, soit le délai maximum qui pouvait leur être accordé.
[…] Ces adolescents et des familles ont trouvé un toit en plein centre-ville grâce à l’action du collectif Rosmerta, composé de militants issus de diverses associations, qui a investi en décembre 2018 cet immeuble vide depuis 2017 après avoir été loué à l’Union départementale des associations familiales. Mais l’évêché a dénoncé une occupation illégale et demandé leur expulsion. Le 25 octobre, la justice lui a donné raison en ordonnant que les occupants libèrent les lieux. Mais pas immédiatement, le temps qu’une autre solution de logement soit trouvée.
Publié par Guy Jovelin le 03 novembre 2019
