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royaume-uni - Page 2

  • Royaume-Uni : polémique après qu’une école demanda aux garçons de 3 à 11 ans de venir en jupe pour “promouvoir l’égalité”

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2021

    Une école primaire a demandé aux garçons et aux filles, dès l’âge de trois ans, de se présenter à l’école en jupe, afin de “promouvoir l’égalité”.

    Mais la demande de l’école primaire Castleview d’Édimbourg a été critiquée par certains parents.

    Elle fait suite à un mouvement similaire en Espagne, où les enseignants et les enfants avaient porté des jupes en signe de solidarité avec un garçon qui a été expulsé pour en avoir porté une l’an dernier.

    Le 4 novembre est désormais la journée “Portez une jupe à l’école” en Espagne.

    Dans un courriel adressé aux parents, Castleview a indiqué qu’elle souhaitait que les enfants soient “à l’aise” pour participer et que des pantalons et des leggings pouvaient être portés sous les jupes si nécessaire.

    L’école a même proposé de fournir des jupes à certains jeunes s’ils n’en avaient pas à la maison. Les enseignants peuvent également porter des jupes.

    Une mère appelée Megan, dont le fils fréquente l’école, a tweeté : “Mon fils a cinq ans et vient de recevoir ceci de l’école ! Laissez les enfants être des enfants”.

    Une autre utilisatrice de Twitter, Nicola, a répondu : “Si un garçon veut porter une jupe à l’école, il devrait en avoir le droit, mais pourquoi mettre la pression sur les gens pour qu’ils demandent à leur fils de porter une jupe sans quoi ils seraient perçus comme sectaires ?

    L’école a déclaré que les élèves de P6 – l’équivalent de l’année 6 en Angleterre – ont eu l’idée après avoir pris connaissance de la campagne espagnole.

    Elle ajoute : “Nous voulons que notre école soit inclusive et qu’elle promeuve l’égalité”.

    Les enseignants ont écrit aux parents : Nous tenons à faire passer le message que les vêtements n’ont pas de genre et que nous devrions tous être libres de nous exprimer comme nous l’entendons”.

    Chris McGovern, de la Campagne pour une véritable éducation, a déclaré que les adultes “imposaient leurs propres angoisses aux enfants”, qui devraient simplement apprendre à traiter les autres comme ils voudraient être traités eux-mêmes.

    Le conseil municipal a déclaré que les élèves n’étaient pas obligés de participer s’ils ne le souhaitaient pas.

    Daily Mail via fdesouche

  • Royaume-Uni : les gardes-frontières, amenés à repousser les embarcations de migrants, pourraient bénéficier d’une immunité en cas de noyade de migrants

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2021

    Selon la presse britannique, la ministre de l’Intérieur britannique, Priti Patel, souhaiterait que les gardes-frontières bénéficient d’une immunité dans le cas où un migrant mourrait noyé en mer. Une disposition qui semble difficile à appliquer compte tenu du droit maritime international.

    La mort sur la conscience, mais pas sur le casier judiciaire ? C’est en substance ce qui pourrait devenir le cas pour les gardes-frontières au Royaume-Uni. Selon le Guardian, la ministre britannique de l’Intérieur voudrait introduire dans un projet de loi portant sur la nationalité et les frontières une immunité pour ces forces de sécurité dans le cas où un migrant viendrait à se noyer. 

    Le mois dernier, le ministère de l’Intérieur a annoncé que les gardes-frontières s’entrainaient à repousser les embarcations de migrants pour les contraindre à rebrousser chemin. Mais en vertu des lois existantes, les agents risquent d’être poursuivis si un migrant est en danger ou se noie. 

    Pour remédier à ce qui se pose comme un frein à la nouvelle stratégie britannique, l’annexe du projet de loi précise : “Un officier compétent n’est pas responsable, dans le cadre d’une procédure pénale ou civile, de tout acte accompli dans le cadre de l’exercice présumé de ses fonctions en vertu de cette partie de la présente annexe si le tribunal est convaincu que (a) l’acte a été accompli de bonne foi, et (b) il y avait des motifs raisonnables de le faire.”

    (…) LCI via fdesouche

  • Depuis vendredi, plus de 1100 migrants ont été secourus ou interceptés dans la Manche par le Royaume-Uni

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2021

    Samedi, les autorités britanniques ont récupéré 491 personnes lors de 17 opérations et 624 personnes lors de 23 opérations vendredi. Le ministère britannique de l’Intérieur affirme que les autorités françaises ont empêché 114 personnes de rejoindre les côtes anglaises samedi, 300 vendredi. Ils tentaient de traverser la Manche à bord de petites embarcations vendredi et samedi, a indiqué dimanche le ministère britannique de l’Intérieur Priti Patel.

    Dans un communiqué, le commandant Dan O’Mahoney, chargé de la “menace clandestine” en Manche, a souligné la détermination du gouvernement britannique à lutter contre la “hausse inacceptable” de ces dangereuses traversées.

    En collaboration avec la police et nos partenaires internationaux, plus de 300 arrestations et 65 condamnations ont été effectuées” et “nos efforts ciblés ont permis d’empêcher plus de 13.500 tentatives” de traversées depuis le début de l’année“, a-t-il ajouté. […]

    Le gouvernement britannique a commencé à faire adopter un projet de loi controversé qui réforme le système d’asile et prévoit de durcir les sanctions, en portant à la prison à vie, contre 14 ans actuellement, la peine maximale encourue par les passeurs.

    actu orange via fdesouche

  • Royaume-Uni : un site consacré au “Black History Month” qualifie les Blancs de “mutants albinos génétiquement défectueux”

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2021

    Un site web contrôlé par un homme blanc consacré au “Black history Month” [Mois de l’histoire des Noirs] et présentant des publicités financées par le contribuable, affirmait que les Blancs seraient les “descendants génétiquement défectueux de mutants albinos”, révèle une enquête du Telegraph.

    Des publicités pour des organisations telles que la police et le MI6 côtoyaient de la propagande anti-blancs affirmant également qu’un homme blanc peut “fantasmer d’être génétiquement égal à l’homme noir”.

    Le site a supprimé certains des contenus les plus problématiques après avoir été contacté par le Telegraph, dans un contexte de vives critiques de la part de l’un des fondateurs de la célébration du Mois de l’histoire des Noirs.

    […] Vendredi, Linda Bellos, qui a joué un rôle déterminant dans le lancement de la célébration du Mois de l’histoire des Noirs au Royaume-Uni à la fin des années 80, a comparé la propriété blanche du site web à un “asservissement”.

    “L’objectif du Mois de l’histoire des Noirs est de nous donner du pouvoir [aux Noirs]… Je ne veux pas qu’un homme blanc, ou même qu’une femme blanche, joue ce rôle”, a-t-elle déclaré. “Le vol d’idées, et de fait le vol de personnes, a été exercé avec beaucoup de succès par les Britanniques, cela s’appelle l’esclavage. Je ne parle pas de ses motivations, mais je parle du résultat.”

    […]

    The Daily Telegraph via fdesouche

  • Le Royaume-Uni remplace ses livreurs par des robots. La « société sans contact » est en marche !

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 20212

    Avec les confinements et la longue fermeture des restaurants sous prétexte de Covid-19, nous avons vu se multiplier les petits boulots de livreurs. A vélo, en scooter ou même parfois en trottinette électronique, les livreurs sont devenus omniprésents dans toutes les villes. D’autant que, paradoxalement, malgré le développement du télétravail, rares sont les personnes qui en ont profité pour prendre plus de temps pour cuisiner elles-mêmes. L’avachissement se développe avec la malbouffe car il est évident qu’exceptionnels sont les personnes qui se font livrer un plat de qualité.

    Tout cela entre parfaitement dans le schéma du Great Reset promu par le Forum économique mondial de Davos. Mais l’essor de ces livreurs n’est qu’une phase transitoire. L’étape suivante est de les remplacer par des robots ! Certaines sociétés misent sur les drones de livraison tandis que d’autres préfèrent les robots sur roulette.

    Dans tous les cas, pour chaque robot ou drone mis en circulation dans le secteur de la livraison, c’est au moins deux emplois de perdus. Car le robot n’est pas limité par des règlementations sur le nombre d’heures de travail par semaine, le robot ne tombe pas malade, le robot ne fait pas grève, le robot ne revendique pas d’augmentation salariale, le robot ne prend pas de vacances,… Le robot demande seulement un entretien et le rechargement de sa batterie.

    Vous croyez que ceci relève de la science-fiction et n’est pas prêt d’apparaître chez nous ? Détrompez-vous ! Le robot grignote de plus en plus de terrain.

    Dans le pas si lointain Royaume-Uni, des centaines de petits robots de livraison montés sur six roues circulent sur le trottoir dans la quasi indifférence générale. Ils sont déjà 200 à parcourir les rues sans le quartier résidentiel de Milton Keynes, à 80 kilomètres au nord de Londres, et dans la cité voisine de Northampton, livrant les courses ou les repas. Ils seront très vite 500, car cinq nouvelles municipalités, notamment dans la région de Cambridge et le nord de l’Angleterre, ont décidé de les adopter.

    C’est une adaptation au projet de « société sans contact » tel qu’en rêvent Klaus Schwab et ses amis du Forum économique mondial. Et cela fait les affaires de Starship Technologies, qui construit et exploite les robots en question. L’entreprise vient de conclure un nouvel accord avec la chaîne coopérative de supermarchés Co-op qui attend 300 nouveaux robots d’ici la fin de l’année.

    Bardé de caméras et capteurs, le robot est autonome à 99%, selon son fabriquant, une entreprise créée en 2014 par deux fondateurs de Skype et basée à la fois en Estonie et aux Etats-Unis. Si l’automate bloque face à une situation inconnue, un opérateur peut en prendre le contrôle à distance.

    Et figurez-vous qu’on nous présente cette robotisation à marche forcée comme un enjeu environnemental pour éviter que « les clients ne conduisent pour aller dans un magasin, ou ne soient livrés par un véhicule à essence« , explique l’enseigne dans un communiqué. Mais les livreurs humains à vélo sont certainement moins énergivores que des robots. L’explication écologique ne tient donc pas la route.

    En attendant, Starship se développe au Royaume-Uni et aux Etats-Unis mais aussi en Estonie, Allemagne et Danemark. Et Starship n’est bien entendu pas seule dans la course aux robots de livraison. Aux Etats-Unis, Amazon et FedEx expérimentent leurs propres robots de livraison.

    Préparez-vous, ils arrivent !

     

    Source : medias-presse.info