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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1008

  • La reddition d’Azovstal est actée… après le 9 mai, jour de la victoire en Russie

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Azovstal, le bastion de la résistance ukrainienne du bataillon Asoz, et en arrière-plan de l’OTAN sous domination des Etats-Unis et de son vassal, l’Union Européenne, est tombée. La reddition de l’aciérie est actée malgré les dénégations des autorités ukrainiennes de ces derniers jours et la prétention de Zelensky, le président de l’Ukraine et des commandants réfugiés dans Azovstal, que les combattants « lutteraient jusqu’à la mort ».

    Aujourd’hui, Moscou annonce qu’un peu plus de 900 soldats ukrainiens ont rendu les armes et se sont constitués prisonniers depuis lundi 19 mai. Parmi eux les blessés graves ont été envoyés dans l’hôpital de Novoazovsk et d’autres soldats vers Olenivka, deux localités du Donbass sous contrôle russe afin de recevoir des soins, ainsi que promis par le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov qui a ajouté que les soldats « seront traités en conformité avec le droit international ».

    L’ordre de se rendre, ou l’autorisation de déposer les armes, aux combattants d’Azovstal par Zelensky est arrivé après le… 9 mai, jour symbolique pour la Russie célébrant la victoire sur les armées allemandes en 1945.

    Cette reddition survenue après ce 9 emblématique soulève quelques interrogations. Ce conflit guerrier qui oppose la Russie aux Etats-Unis par pays interposé l’Ukraine, se double d’une guerre médiatique tout aussi belliqueuse. Pour l’OTAN, il fallait empêcher que ce jour-là la Russie puisse revendiquer la conquête de Marioupol, ville symbole du conflit (à tel point que les Ukrainiens, le jour où ils ont capitulé à Azovstal, ont, en même temps, annoncé que la prochaine édition de l’Eurovision s’y tiendrait …).

    Ainsi, alors que la Russie tenait ses réjouissances, les médias occidentaux pouvaient encore parler de la résistance de Marioupol, des « héros » d’Azovstal, du bombardement russe de l’aciérie, etc. Une fois les réjouissances terminées, le gouvernement ukrainien a magnifiquement abandonné les assiégés, qu’il avait soutenus jusqu’à la veille, ces derniers leur promettant de ne jamais abandonner.  

    Le blog de géopolitique italien Piccole Note en dit plus sur cette reddition :

    « Il a fallu quelques jours de plus aux combattants du bataillon Azov pour négocier la reddition, c’est-à-dire tenter de quitter les aciéries en hommes libres ou, alternativement, être traités comme des prisonniers de guerre ordinaires, c’est-à-dire éviter d’être jugés pour crimes de guerre. » En effet, les combattants du Bataillon Azov sont poursuivis par la justice russe pour les atrocités innommables commises entre 2014 et le déclenchement du conflit actuel, avec d’autres chefs d’inculpation survenus pendant la guerre elle-même.

    « A ce jour, on ne sait pas ce qu’il adviendra d’eux, précise l’auteur de l’article. A ce sujet, il convient de noter que ces derniers jours, la narration du pseudo-procès organisé par les autorités ukrainiennes d’un jeune soldat russe accusé de crimes de guerre s’est répandue dans les médias occidentaux.

    « Un théâtre mis en place avec un timing précis : il sert, en effet, à proposer aux Russes un échange de prisonniers (peut-être pas le soldat jugé, dont le sort pourrait maintenant être brûlé, mais d’autres qui pourraient suivre) ; l’échange, c’est-à-dire entre des criminels de guerre réels ou présumés contre des analogues capturés par la partie adverse. »

    Parmi les réfugiés de l’Azovstal, affirme Piccole Note « il semble qu’il y ait aussi des ‘‘volontaires’’ de pays étrangers » dont des pays appartenant à l’Alliance :

    « Aviapro cite des témoignages qui révéleraient la présence de trois soldats britanniques vétérans d’Afghanistan, tandis que David Arakhamia, le conseiller de Zelensky, a déclaré au Times of Israel la présence de ‘‘40 héros juif’’, une annonce qu’un article de Haaretza ensuite mise en doute. »

    En effet cela fait désordre que des juifs aillent combattre à côté d’un bataillon qui se revendique de la doctrine nazie :

    « L’exercice du journaliste du Haaretz est compréhensible : l’annonce d’Arakhamia, en effet, semble quelque peu embarrassante pour Tel-Aviv, à la fois parce que le pays n’est pas formellement en guerre contre la Russie, et à cause de la collaboration de ces héros avec les néonazis d’Azov. »

    Parmi les motifs qui ont conduit à cette capitulation, qui n’aurait pu qu’advenir à court terme sauf à attendre la mort de faim, de soif et de blessures de tous les soldats ukrainiens enterrés dans Azovstal, il faut également souligner la rencontre téléphonique entre les ministres de la Défense russe et américain, Sergej Shoigu e Lloyd Austin le 13 mai dernier, au cours de laquelle il était question d’un « cessez-le-feu ». Même si l’on ne sait pas si la reddition des assiégés a été consentie à cette occasion, elle peut être légitimement présumée.

    « Si oui – et c’est le cas soutient Piccole Note – cela signifie que, sur certains aspects essentiels du conflit, les Russes et les Américains, les vrais duellistes de cette guerre par procuration, peuvent encore trouver une convergence. Cela contribuera à la gestion du conflit et, le cas échéant, à favoriser sa résolution (malheureusement pas encore à l’horizon). »

    La conquête d’Azovstal « a donné à Moscou le contrôle total d’une vaste étendue du sud de l’Ukraine, s’étendant de la frontière russe à la Crimée, car les forces russes semblent renforcer leur emprise sur les parties du sud qu’elles avaient initialement conquises lors du début de leur invasion » écrit le New York Times.

    Moscou a ainsi établi une continuité territoriale entre la Crimée et le reste de la Russie (la Crimée est désormais russe, il est inutile d’en discuter) : c’est-à-dire qu’elle a atteint l’objectif premier de l’invasion.

    « Ainsi, si l’Amérique le voulait, analyse le journaliste italien de Piccole Note, la guerre pourrait se terminer ici et maintenant, l’Ukraine reprenant fièrement le contrôle de Karkhiv, ayant prouvé sa valeur – vraie ou prétendue – au monde, et la Russie sécurisant ledit territoire, pouvant revendiquer une victoire, quoique réduite par rapport aux attentes. »

    Mais, car il y a un mais, « cette guerre par procuration est trop lucrative pour beaucoup (voire quelques-uns), tant au niveau géopolitique qu’économique et financier, d’où sa persistance féroce, avec les tragédies mondiales qui en découlent. Ainsi, par exemple, sur la BBC : le président de la Banque mondiale, David Malpass a averti que la guerre pourrait provoquer une ‘‘catastrophe humanitaire’’, car ‘‘la hausse record des prix des denrées alimentaires peut réduire des centaines de millions de personnes à la pauvreté et à la faim’’. »

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Parlement suisse – « Comment se fait-il que Swissmedic autorise un vaccin contenant un composant non autorisé pour l’être humain? », demande une élue

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Suisse – Madame Yvette Estermann, conseillère nationale (UDC/LU), a déposé une interpellation importante.

    « Comment se fait-il que Swissmedic autorise un vaccin contenant un composant non autorisé pour l’être humain? », a-t-elle demandé.

    Le texte de son interpellation :

    https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20223057

    Le processus d’autorisation de mise sur le marché d’un vaccin est complexe. L’Institut suisse des produits thérapeutiques (Swissmedic) emploie de nombreux collaborateurs à cet effet, placés sous la direction de M. Claus Bolte.

    Un spécialiste a découvert une irrégularité dans le vaccin de Pfizer-BioNTech. La fiche de données de sécurité du fabricant (7 décembre 2021) relative au produit  » Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine  » énumère en effet tous les composants du produit, dont le  » ALC-0315 2036272-55-4 « , un lipide (un corps gras non hydrosoluble) dont le rôle principal est celui de transporteur du principe actif (cf. Klaus Langer, » mRNA- und DNA-Impfstoffe : Nanotechnologie der COVID-19 Vakzinen « , Pharmazeutische Zeitung, 11 avril 2021, p. 4, www.pharmazeutische-zeitung.de/nanotechnologie-der-covid-19-vakzinen-124828).

    Le lipide ALC-0315 peut être obtenu auprès de l’entreprise Cayman Chemical sur le site biomol.de. Dans les informations sur le produit, dans sa description détaillée, on lit l’avertissement suivant en gras sous le titre  » Maniement et sécurité  » (site en allemand et en anglais) :  » Attention. A des fins de recherches et d’analyses de laboratoire uniquement. Ne doit pas être administré à des êtres humains !  » (www.biomol.com/de/produkte/chemikalien/lipide/alc-0315-cay34337-25).

    1. Comment se fait-il que Swissmedic délivre une autorisation de mise sur le marché pour un vaccin qui contient un composant expressément non adapté pour une administration à l’être humain ?

    2. Quelles mesures le Conseil fédéral compte-t-il prendre maintenant qu’il en a connaissance ?

     

    Source : medias-presse.info

  • Italie – Revirement médiatique et focus sur les effets secondaires des « vaccins » contre le Covid

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Impossible de passer devant un kiosque à journaux en Italie, sans tomber sur la revue PANORAMA. Et là gros choc pour les habitués des médias du Système, la couverture du magazine Panorama  est entièrement consacrée aux effets indésirables très nombreux des « vaccins » anti-Covid, effets secondaires non correctement évalués et pire… le plus souvent ignorés. Que vont penser les « vaccinés » de ce revirement ???

     

    Source : medias-presse.info

  • « Times of Israël » révèle que Bornstein a été changé en Borne

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Il est toujours surprenant de voir les médias israéliens et le médias communautaires juifs se précipiter pour souligner l’appartenance au judaïsme de telle ou telle personne qui prend de l’importance sur la scène politique, économique ou culturelle. Toute presse non communautaire qui ferait la même chose serait aussitôt taxée d’antisémitisme. Cela rappelle qu’une blague juive racontée par un juif autorise à rire, tandis que la même blague racontée par un non-juif vous impose de prendre un regard désapprobateur car témoigne d’un antisémitisme évident. Et défense de critiquer cette étrange et incohérente ligne de démarcation.

    Nommée Première ministre, Elisabeth Borne, 61 ans, a donc fait l’objet d’un article du Times of Israël que nous nous bornerons à citer.

    Times of Israël écrit qu’Elisabeth Borne « est née le 18 avril 1961 dans le 15e arrondissement de Paris du mariage de Joseph né Bornstein avec Marguerite Lecesne, une pharmacienne du Calvados« .

    En 2015, le journal Libération rapportait que son père était un Juif d’origine russe né dans une famille réfugiée en France en 1939. L’homme a été résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, et a été déporté fin 1943.

    Selon le site ajpn.org (« Anonymes, Justes et Persécutés durant la période nazie dans les communes de France »), Joseph Bornstein est né le 2 mai 1924, à Anvers, en Belgique. Il a été arrêté le 25 décembre 1943 à l’âge de 19 ans suite à une dénonciation. Il a alors été transféré à Drancy puis emmené à Auschwitz par le convoi 66 le 20 janvier 1944. Il est revenu en France le 11 avril 1945 après la libération du camp nazi.

    Il a opéré en tant que résistant à partir d’avril 1943 dans la région grenobloise, membre du Mouvement de la jeunesse sioniste. De novembre 1943 au 20 décembre 1943, il a été chargé de convoyer des jeunes de Grenoble vers le maquis de Biques.

    Il n’a été naturalisé Français qu’en 1950, et Joseph et Marguerite Borne ont, après la guerre, dirigé un laboratoire pharmaceutique.

    Auprès de Libération, sa fille expliquait avoir ressenti une certaine émotion quand, préfète, elle avait remis pour la première fois à un citoyen son décret de naturalisation. « Que moi, la fille de ce réfugié apatride, qui n’a été français qu’en 1950, j’accomplisse ce geste, cela disait quelque chose sur l’intégration », avait-elle expliqué.

    (…) Divorcée et mère d’un enfant, elle a par ailleurs fait part de son judaïsme dans une courte interview en 2021 au micro de Frédéric Haziza, lors de la soirée d’anniversaire de Radio J.

    « C’est une communauté qui est la mienne, qui a participé à l’histoire de la République, et qui a toute sa place dans la République », avait-elle alors déclaré.

    Sa nomination à Matignon a conduit à plusieurs messages antisémites sur les réseaux sociaux, tandis que Joël Mergui, président du Consistoire de Paris, ou encore Francis Kalifat, directeur du CRIF, l’ont félicitée.

     

    Source : medias-presse.info

     

  • La variole est homophobe

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    La variole est homophobe

    A l’occasion de la journée mondiale pour la promotion des rapports contre-natures, les institutions et autres entreprises rivalisent de drapeaux arc-en-ciel et de chartes LGBT. Mais l’Organisation mondiale de la santé s’inquiète concernant les cas de variole du singe détectés depuis début mai, notamment dans la communauté homosexuelle.

    Après le Royaume-Uni, l’Espagne et le Portugal ont annoncé ce mercredi à leur tour avoir recensé plus d’une quarantaine de cas suspects ou confirmés de variole du singe, une maladie rare en Europe. 23 cas suspects de cette maladie virale (“monkeypox”), endémique en Afrique de l’Ouest, ont été recensés dans la région de Madrid. Il s’agit d’une maladie peu fréquente, qui se manifeste généralement par de fièvre, douleurs musculaires, ganglions lymphatiques enflés et éruption cutanée sur les mains et le visage, comme une varicelle.

    “Généralement, la transmission se produit par voie respiratoire, mais ces 23 cas supposés d’infection laissent penser que la transmission a eu lieu par les muqueuses pendant les relations sexuelles”. “Ces cas, pour la majorité des jeunes, tous de sexe masculin, présentaient des lésions ulcéreuses”.

    Depuis le 6 mai, sept cas ont été identifiés au Royaume-Uni, dont quatre cas chez des personnes s’identifiant comme “homosexuelles, bisexuelles ou des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes”.

    Mais que fait SOS Homophobie ?

     

    Source : lesalonbeige