GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1009

  • La lutte des classes a changé de costume : le « marxisme économique» a muté en un «marxisme culturel», le marxisme est devenu wokisme

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    La lutte des classes a changé de costume : le « marxisme économique»  a muté en un «marxisme culturel», le marxisme est devenu wokisme

    Sur son site, le père Joël Guibert publie une réflexion sur le wokisme. En voici un extrait :

    Nous savons tous que la « lutte des classes » est le principe idéologique sur lequel reposait le marxisme bolchévisme de l’union soviétique. Mais beaucoup pensent à tort que cette fameuse lutte des classes appartiendrait à un passé définitivement révolu, les démocraties libérales actuelles s’étant définitivement débarrassées de ces vieilles lunes. Rien n’est moins sûr comme nous voudrions le montrer. La lutte des classes a seulement changé de costume : le « marxisme économique» de l’Union soviétique a muté en un «marxisme culturel»au sein des démocraties libérales, le marxisme est devenu wokisme. La grille de lecture idéologique demeure la même, le wokisme empruntant les costumes de l’indignation face aux injustices, la lutte contre les discriminations, l’égalitarisme, en somme une « hyper-morale » à la sauce libérale-libertaire.

    Pourquoi prévenir de cette menace de l’idéologie woke ? Tout simplement parce que la Mère de Dieu l’a fait… nous voudrions seulement relayer les mises en garde de ce divin « lanceur d’alerte » qu’est la très sainte Vierge-Marie. Nous nous appuierons pour cela sur deux apparitions majeures qui ont eu lieu au cours du XX° siècle : Fatima au Portugal (1917) et Kibého au Rwanda (1981), toutes deux reconnues officiellement. Après avoir écouté ces avertissements célestes, nous tenterons de pénétrer dans les arcanes du wokisme afin d’en montrer les ressorts secrets et débusquer les subtils et graves dangers. Au terme de notre parcours nous proposerons quelques réflexions pour les catholiques qui ne veulent pas se laisser laminer par ce tsunami dont la vague intimidante s’amplifie de jour en jour comme on le constate dans l’actualité.

    Extrait de la conclusion :

    Notre capacité à souffrir au nom du Christ et de notre foi se teste dès maintenant. En terre démocratique, nous ne sommes pas encore confrontés au martyre du sang, mais à un martyre apparemment plus gentil : le martyre du ridicule, de l’ostracisation, du mépris du monde, « le martyre médiatique », a pu dire un cardinal français lors d’une visite ad limina à Rome il y a quelques années. Aujourd’hui, un catholique qui ne voit pas clairement les subtiles dérives totalitaires des démocraties libérales-libertaires, c’est le signe qu’il est déjà croqué par cet « ami qui lui veut du bien », qu’il est déjà « vendu » au monde. Si nous n’avons pas encore été taxé de rétrograde, d’intolérant ou considéré comme un « sauvage » comme dans le roman d’Aldous Huxley, interrogeons-nous, il est très vraisemblable que les arrêtes de notre foi se soient dangereusement émoussées.

    Patientons, peut-être plus tôt qu’on l’imagine, lorsque l’homme moderne commencera à être fatigué des mensonges de la modernité, la parole de l’Église lui apparaîtra soudainement très moderne : « Le caractère inactuel de l’Église qui cause d’une part ses faiblesses – elle est refoulée à l’écart – peut être aussi sa force. Sans doute les hommes peuvent-ils sentir qu’il est nécessaire de s’opposer à l’idéologie banale dominant le monde, et que l’Église peut précisément être moderne en étant antimoderne, en s’opposant à l’opinion commune. À l’Église incombe un rôle de contradiction prophétique », suggérait le Cardinal Ratzinger il y a plusieurs années.

     

    Source : lesalonbeige

  • La difficile cohabitation des cultures en prison : « Les islamistes regardaient les corses d’un mauvais oeil car ils les associaient à des types attachés à leur terre et à leur culture, pas très accueillants envers l’étranger. »

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

    Au coeur de ces tensions au sein du milieu carcéral, deux communautés principales se distinguent, mises en lumière lors du meurtre d’Yvan Colonna en mars dernier : les nationalistes corses et les islamistes. (…) “Beaucoup les regardaient d’un mauvais œil, surtout les islamistes, car ils les associaient à des types attachés à leur terre et à leur culture, pas très accueillants envers les étrangers”, abonde David, “convaincu” que l’affaire Colonna va aggraver la situation.

    Les tensions entre ces deux groupes ne sont pas nouvelles. Au milieu des années 1990, l’institution pénitentiaire est confrontée à un processus de “pluralisation religieuse”, avec l’arrivée de détenus islamistes et terroristes. “Ces derniers vont progressivement se constituer en communauté, et remplacer celles des pays de l’Est alors majoritaires, qui n’étaient pas centrées sur la religion”, débute Meyer, chercheur spécialisé dans la lutte contre la radicalisation islamiste en milieu carcéral, qui tient à garder son nom de famille secret, pour des raisons de sécurité. “Une fois installés, ils vont commencer à organiser des prières collectives durant les promenades, se coopter dans les ateliers de travail, et exercer des pressions sur les autres détenus pour encadrer la vie en détention”, complète un ancien directeur de plusieurs établissements pénitentiaires, qui souhaite garder l’anonymat.

    Mais les Corses, eux, ne vont pas céder si aisément. “Ce sont ceux qui ont montré le plus de résistance, et ce alors que beaucoup de détenus se sont convertis à l’Islam, 25 % à partir de 2010”, évalue Meyer, qui tire ces chiffres d’études empiriques menées dans cinq maisons centrales. Depuis, les conflits entre ces communautés perdurent, tout comme le prosélytisme. D’après les chiffres de l’administration pénitentiaire en septembre 2021, sur les quelque 68 000 personnes incarcérées, 600 seraient des détenus “de droit commun suspectés de radicalisation” (DCSR).

    “Créer un rapport de force”

    La dimension religieuse n’est cependant pas la seule à structurer les relations carcérales. Le racisme, par exemple, produit aussi des oppositions. “Dans un établissement pénitentiaire sur lequel je travaillais, les Noirs rejetaient totalement les Arabes, car ils estimaient qu’ils avaient joué un rôle fondamental dans l’esclavage de leurs ancêtres. Dans une autre structure, les Noirs africains s’opposaient cette fois aux Noirs des Dom-Toms, qu’ils accusaient d’être pires que les Blancs concernant le mépris qu’ils portaient sur leur continent”, développe Farhad Khosrokhavar, sociologue et directeur de recherche à l’EHESS. Avant d’ajouter : “La prison peut même créer des formes communautaires qui n’existent pas à l’extérieur. Un détenu blanc m’avait ainsi confié qu’il s’était regroupé avec d’autres Blancs, parce qu’ils étaient minoritaires. Ils se percevaient alors comme les vrais représentants de la nation, contrairement aux autres, qui étaient à leurs yeux des étrangers”.

    (…)

    L’Express via fdesouche

  • Ukraine : Emmanuel Macron promet à Volodymyr Zelensky d’intensifier les livraisons d’armes

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

     

    Elles «se poursuivront et gagneront en intensité dans les jours et semaines qui viennent, de même que l’acheminement d’équipement humanitaire», a promis le président français qui, ce faisant, honore des engagements pris en avril dernier.

    A l’époque, Volodymyr Zelensky avait remercié la France pour ses «envois de matériel militaire d’envergure qui contribuent à la résistance ukrainienne», et Emmanuel Macron avait assuré que cet appui continuerait. Depuis le début de l’offensive russe, le 24 février, la France a livré plus de 800 tonnes d’aide humanitaire à l’Ukraine, dont 13 véhicules de secours additionnels ce week-end.

    Les échanges entre les deux chefs d’Etat ne sont toutefois pas toujours sans reproche. Le 12 mai dernier, Volodymyr Zelensky a ainsi accusé son homologue français de vouloir ménager une «porte de sortie» à Vladimir Poutine dans le conflit. Le président ukrainien estimait alors qu’Emmanuel Macron n’avait «pas besoin de faire de concessions politiques» à la Russie.

    La présidence française avait répliqué que le locataire de l’Elysée «n’a jamais rien discuté avec Vladimir Poutine sans l’accord du président Zelensky» et, ce mardi, la relation entre les chefs d’Etat français et ukrainien semblait à nouveau au beau fixe.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Remigration

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

    Le Gouvernement fait venir chez nous des millions de musulmans, les transforme en Français de papier, puis joue les effarouchés lorsque des élus leur font des promesses. Ce sketche est grotesque. Si on ne veut pas de l'islamisation, alors il ne faut pas d'islam ni d'immigration. La remigration est la seule solution !
     
     
     
  • Ukraine : drapeau blanc à Azovstal

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

    Neuf soldats ukrainiens auraient quitté l’aciérie d’Azovstal à Marioupol en agitant le drapeau blanc de la capitulation. La source vient de Moscou. La nouvelle est publiée par l’agence de presse russe Ria Novosil. Qui mentionne le commandant Alexander Khodakovsky, de la brigade Vostok de la République populaire de Donetsk dans un entretien avec la radio russe Rossiya 1.

    Aucune confirmation n’est arrivée du côté ukrainien pour le moment. Dans la nuit, le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait fait savoir que « des négociations très compliquées et délicates se poursuivaient pour sauver notre peuple à Marioupol, de l’aciérie d’Azovstal ».

    Un accord aurait été obtenu. Les soldats ukrainiens blessés à l’usine pourront sortir. Ils seront transférés dans un hôpital de Novoazovsk, dans la République populaire autoproclamée du Donbass. Cela a été annoncé par le ministère russe de la Défense.

    Selon l’édition d’aujourd’hui d’Il Giornale.it, le conseiller du maire ukrainien de Marioupol, Petro Andryushchenko, vient de faire savoir que Moscou a menti en disant que l’armée ukrainienne hisserait le drapeau blanc et que les troupes russes continueraient de bloquer toutes les sorties du bunker. Il y a encore environ un millier de soldats ukrainiens dans l’aciérie. Les civils retenus dans Azovstal auraient quant à eux été tous évacués : « Nous avons évacué des civils. Maintenant, tout est plus simple. Les opérations militaires ne mettent plus en danger des innocents. Nous avons les mains libres, nous sommes libres de les utiliser pour combattre » souligne Ilya Samoilenko, 27 ans, commandant en second des derniers combattants restants, via la plateforme Zoom.

    Le site de Xavier Moreau, Stratpol, Centre d’analyses politico-stratégiques, affirme cependant dans un tweet que « la reddition d’Azovstal » a commencé :

    « Tous les blessés seront soignés. Les soldats seront échangés, les ukronazis et les mercenaires considérés comme des droits communs passeront -dans le meilleur des cas- quelques dizaines d’années en Sibérie. La DNR (La République populaire de Donesk) applique la peine de mort. »

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1526192602726694912

     

    Il est certain que pour Zelensky et son mentor Biden, -et l’Etat profond qui tire les ficelles-, qui veulent que la guerre soit la plus longue possible pour affaiblir la Russie, la reddition de cette forteresse, symbole de la résistance ukrainienne dans le monde, serait une lourde défaite. Maintenir le flou sur ce qu’il en est réellement de ce dernier bastion des derniers combattants ukrainiens de Marioupol, afin de se laisser du temps pour trouver des solutions, -ce qui est somme toute plutôt irréaliste- et faire passer le président Poutine pour un tortionnaire, est dans leur intérêt.

    Il faudra attendre quelques jours pour en savoir plus sur la véracité de cette reddition d’Azovstal.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info