GJN1 gjngjN

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1045

  • Les toxicos du vaccin

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2021

    Les toxicos du vaccin

    113615195_covidvaccine-230x180.jpg

    Le ministre de la Santé israélien, Nitzan Horowitz, a déclaré mercredi que les Israéliens pourraient avoir besoin d’une quatrième dose de vaccin contre le coronavirus.

    “Il n’est pas déraisonnable de penser que nous aurons besoin d’un quatrième vaccin”.

    Israël a entamé sa campagne de vaccination anti-Covid pour les enfants âgés de cinq à onze ans. L’Etat hébreu avait été l’un des premiers pays à lancer, en décembre 2020, une vaste campagne de vaccination à la faveur d’un accord avec le géant pharmaceutique Pfizer. Cette campagne a permis la double vaccination de plus de 5,7 millions des quelque neuf millions d’Israéliens, soit plus de 80% des adultes. Pour quelle efficacité ?

    En France, les toxicos sont en retard d’une dose, puisque c’est la 3e dose qui va devenir nécessaire pour garantir le passeport sanitaire. Quant aux non-vaccinés, ils sont devenus des Untermenschen.

    A Vienne, en Autriche, sans attendre l’obligation générale, l’archevêché interdit de toute activité ecclésiale (en dehors de l’assistance à la messe), quiconque n’est pas injecté. Quant à l’archidiocèse de Berlin, il interdit à tous les fidèles non vaccinés de participer aux célébrations religieuses de l’Avent et de Noël.

     

    Source : lesalonbeige

  • Que les médias ne précisent-ils pas sur la tuerie de Waukesha aux Etats-Unis ?

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2021

    Aux Etats-Unis, dans la ville de Waukesha (Wisconsin), avait lieu une « parade de Noël », dimanche 21 novembre. Les parades sont une activité fréquente et très populaire dans ce pays.
    Mais celle-ci a tourné à la tragédie : une voiture a foncé à travers les barrières puis dans la foule, tuant 6 personnes, en blessant près de 50 autres, dont certaines très gravement, notamment des enfants.

    France 3 a parlé d’une « voiture folle ». Biden et les siens ont évoqué un « incident ».

    Le chef de la police locale a pourtant précisé que « le suspect avait foncé intentionnellement dans la foule. »

    Le tueur s’appelle Darrell Brooks, c’est un « rappeur » multirédiciviste, militant du mouvement gauchiste antiblanc Black Lives Matter.
    Les personnes qu’il a assassiné sont toutes blanches.

    A gauche, le tueur, et sa maison d’« opprimé » (par les Blancs). A droite ses victimes.

    L’AFP, reprise par les gros médias comme d’habitude, évoque sobrement la tragédie :

    Une « parade de Noël endeuillée »…

    Imagine-t-on un tel titre si un Blanc de droite avait foncé sur une foule et tué plusieurs Noirs ?

    Et dans quelques semaines, tout cela sera oublié.

     

    Source : contre-info

  • Arras : un Algérien pédo-criminel objet de la mansuétude du tribunal

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2021

    À Arras, un Algérien de 45 ans est jugé pour exhibition, port d’arme et agression sexuelle sur mineurs de moins de quinze ans. Il « écumait les parcs » où il offrait des bonbons à des fillettes pour les convaincre de monter chez lui.
    Au moment des faits, Abdenour Mezzai était alcoolisé et portait deux couteaux sur lui.
     
    Peut être une image de texte qui dit ’NORD Ma commune Covid-19 Vidéos Agenda Le Mag La Voix vous répond France Connexion S'abon Arras: proposait 2 € à des petites filles pour qu'elles montent chez lui Un homme âgé de 45 ans a été jugé et condamné ce vendredi au tribunal d'Arras pour agression et exhibition sexuelles. Un profil particulièrement inquiétant.’
     
    Le Code pénal annonce 10 ans de prison pour ces faits.
     
    L’Algérien a obtenu 18 mois.
    Qu’il ne fera logiquement pas, ou qu’en partie.
    Et il restera en France pour continuer à l’« enrichir culturellement », selon l’expression fameuse des immigrationnistes.
  • La scandaleuse dissolution par Macron et Darmanin d’une association patriotique locale à Angers

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2021

    Le Régime continue à s’enfoncer dans le totalitarisme le plus crasse, dans l’indifférence générale.

    Depuis quelques années (il y avait déjà eu une vague sous De Gaulle), il dissout de façon particulièrement arbitraire les associations et groupements qu’il juge politiquement incorrects.

    Sous les prétextes d’« incitation à la haine » ou « à la discrimination », on peut dissoudre n’importe quelle structure, condamner n’importe quel citoyen agaçant.
    C’est ce qui s’est fait à l’encontre de l’Alvarium, association gérant un bar à Angers et organisant des distributions de repas aux pauvres, des conférences et quelques activités militantes classiques (affiches, etc.).

    Cette répression grossière semble une passion pour le traître Darmanin.
    Notez le « conformément aux instructions du Président » ! En pleine période de crise, ce lamentable individu est obnubilé par le moindre îlot de dissidence.

    Les agressions ou tentatives d’intimidation d’antifas angevins– ne supportant pas qu’un lieu de droite existe –, qui se sont soldées par des débandades pour ces idiots haineux, ont par ailleurs fourni un (piètre) prétexte au gouvernement pour accuser l’Alvarium de violence.

    Les antifas, bénéficiant d’une impunité ou d’une large complaisance de la part des ministères de l’Intérieur et de la Justice, se dévoilent encore comme des alliés, des serviteurs du Système.

    Pour lire la pseudo-argumentation du décret, on peut cliquer ici et .

    Le Régime, dont les écoles osent parler des méchantes « lettres de cachet » des rois de France, ne s’embarrasse plus de rien pour bafouer les libertés de ceux qui ne sont pas d’accord avec lui.
    Mais cette frénésie, cette fébrilité sont bons signes : il a peur, il arrive à bout de souffle.

     

    Source : contre-info

  • ET SI LES ANTILLES FRANÇAISES AVAIENT CONNU LE SORT D’HAÏTI ?

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2021

    5447363.jpeg

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    La Guadeloupe vient de vivre et vit encore, les heures agitées d’une véritable insurrection dont le prétexte, - la vaccination obligatoire pour les soignants -, est un commode « cache-sexe » à la volonté violement exprimée par des racailles, de casser, de détruire, d’incendier et, surtout, de piller. On a même assisté à des scènes frisant la guerre civile, avec des tirs d’armes à feu effectués contre les forces de l’ordre.

    Mais quand on a dit cela, on n’a pas tout dit. Derrière ce qui ressemble à une révolte, voire même à un mouvement révolutionnaire, il y a du carburant pour alimenter la machine. Depuis des lustres la Guadeloupe, - les Antilles françaises en général, à l’exception d’îles privilégiées comme Saint-Barthélemy -, subissent les inconvénients de leur insularité : prix supérieurs à ceux pratiqués en métropole, taux de chômage plus élevé (1), angoissante crise sanitaire liée, en plus du virus chinois, aux conséquences de l’utilisation de chlordécone, un produits chimique nocif pour l’humain, utilisé jadis dans les plantations bananières. Ajoutez à cela une immigration concurrentielle (2) et une mauvaise distribution d’eau potable par exemple, vous avez derrière la carte postale de rêve, une plus triste réalité.

    La Martinique voisine s’est lancée dans un mouvement de grève générale, et le pouvoir parisien pour enrayer les violences, a même dû dépêcher  dans les deux îles, des renforts de gendarmerie, y compris des effectifs du GIGN. Le président LREM de la région de Guadeloupe, Ary Chalus, a déclaré le 20 novembre sur France-Info, « Nous avons plus de quarante ans de retard par rapport à l’hexagone concernant notre développement économique ». Pourtant, de nombreux îliens fournissent en métropole des cadres dans la fonction publique, comme hier les Corses qui s’expatriaient dans les ex-colonies de la République. Apparemment, cela ne suffit pas à refroidir la température de cette marmite exotique française…

    La France est  à la croisée des chemins. Ou elle entend conserver son rang de première puissance  moyenne mondiale, et dans ce cas, - comme pour son arsenal nucléaire -, son outre-mer lui est indispensable, ou elle écoute les sirènes du renoncement et elle doit conduire  à l’indépendance  tous ces confettis qui ne sont plus que les miettes d’un grandiose festin impérial. Mais si la France veut garder le deuxième domaine maritime au monde, et la présence de son drapeau sur tous les océans, elle a l’impérieuse obligation d’élever le niveau économique de ses ressortissants ultra-marins. Sous deux réserves : d’abord  qu’ils le veuillent, et qu’ils y mettent bien sûr, un peu d’ardeur ! (Je n’oublie pas les slogans en créole peints sur les murs, du type « Fwansé deho », dont la traduction ne s’impose pas, tellement c’est clair !)

    Le prochain référendum en Nouvelle-Calédonie et les leçons qu’en tirera le pouvoir macronien, nous donneront une petite idée sur les orientations de l’Élyséen par rapport à notre outre-mer. En attendant, nos concitoyens des îles feraient bien de méditer sur le sort de la plus vieille République noire au monde, Haïti, libre depuis 1804. Une indépendance pour elle qui n’est synonyme que de misère, car la République haïtienne, n’est hélas qu’un cloaque à l’air libre …

    (1) Un planteur m’avait dit, lors d’un court séjour à la Martinique, que « les locaux ne voulaient plus travailler dans les bananeraies, et qu’il devait avoir recours à de la main d’œuvre issue de l’immigration.

    (2) Une immigration venant essentiellement d’Haïti et des ex-colonies britanniques des Antilles, - Dominique, Sainte-Lucie, Antigua, la Barbade etc. -, qui ont eu la… « malchance » de devenir indépendantes. (Pas folle la « perfide » Albion !)

     

    Source : synthesenationale