Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2022

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Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2022
Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2022
L’ultracrépidarianisme est la règle des médias.
Les journalistes d’abord qui se succèdent dans la précarité organisée dans certaines télévisions. Ils sont choisis souvent en fonction de leur look et des respects de la féminisation et de la diversité. Plus de la féminisation que de la diversité d’ailleurs. Très souvent, de toutes jeunes femmes viennent donc nous dire ce que nous devons faire et penser… comme si leur carte de presse toute fraîche était une carte de compétence indiscutable. Quand on connaît l’effondrement du niveau des journalistes dans les rédactions notamment audiovisuelles, comme dans bien d’autres métiers, cela pourrait faire sourire si à la longue ce n’était insupportable. Nous n’avons pas besoin de journalistes pour nous dire, souvent avant le gouvernement, comme de la piétaille préparant le terrain pour la cavalerie, ce que nous devons faire ou penser. Au nom de quoi ?
Deuxième illustration, les journalistes parlent aux journalistes. On n’est jamais mieux servi que par soi-même dans un corporatisme de bon aloi. Les journalistes invitent sur les plateaux d’autres journalistes qui le plus souvent ont l’avantage de penser comme tout le monde ou presque et en tout cas comme eux. Passe-moi le sel, je te passe le poivre.
Troisième cas, les Diafoirus de plateau. Il serait temps d’interdire de plateaux télévisés les pigistes permanents de l’apocalypse sanitaire. Des gens qui du haut de leurs suffisances péremptoires se réclament sachants face aux ignorants et cumulent les erreurs de prévision sans jamais revenir dessus. On n’est pas tous morts et l’Omicron est une bonne nouvelle qui annonce peut-être la fin de la pandémie. Qui l’a dit, à une ou deux exceptions près ? On a eu des profs tétanisés devant la maladie comme un politique devant ses éventuelles responsabilités judiciaires. Par peur d’être débordés dans leur mission ils ont voulu terroriser les Français. L’hôpital est là pour soigner les malades, le patient n’est pas là pour sauver les pontes de l’incurie hospitalière dont il faut rechercher les coupables.
Le pire du pire : le micro-trottoir. Cela devrait être interdit par déontologie professionnelle. Le principe est d’aller demander à n’importe qui son avis sur un sujet dont il ne connaît rien ou pas grand-chose. On est en plein dans la dérive ultracrépidarianisme des médias. Et l’avis de Mme Michu est présenté comme représentatif de l’opinion publique au niveau presque d’un sondage. Le journaliste choisit la personne interrogée avec très souvent bien sûr des critères de diversité et de féminisation. On sélectionne ensuite les réponses, et on aboutit au résultat recherché conforme à l’opinion de l’interviewer ou de son donneur d’ordre. Aucun contrôle n’est possible. Aucun avis vraiment divergent n’est diffusé. C’est de la manipulation de l’opinion publique en se servant du public. Le degré zéro de la médiacratie est atteint.
L’ultracrépidarianisme est non seulement le mot de l’année, c’est aussi une méthode à long terme de mise au pas des citoyens par des médias qui favorisent par idéologie l’incompétence bien-pensante. Et ils dénoncent le populisme !
Pierre Boisguilbert
07/01/2022
Source : polemia
Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2022
Condamnée par le tribunal administratif de Nantes, suite à un recours de la Libre Pensée de Vendée, à déboulonner dans les six mois la statue de l’Archange Saint Michel, située sur la place du même nom devant l’église du même nom, la Ville des Sables d’Olonne a fait appel « au nom du bon sens » et contre « les laïcistes radicaux complices de la cancel culture« . Cette volonté municipale de protéger l’archange semble soutenue puisqu’une pétition lancée par l’UNI en Vendée a récolté plus de 40.000 signatures contre le déboulonnage de la statue.
Dans le texte qui accompagne ladite pétition, le syndicat étudiant s’élève contre les déboulonneurs :
« Le Tribunal déboulonne Saint-Michel Archange : l’UNI Vendée refuse cette décision ! »
»L’association de la libre pensée » avait récemment saisi le tribunal administratif de Nantes, accusant la statue de Saint-Michel Archange d’enfreindre la loi de 1905 sur la laïcité. Dans un jugement du jeudi 16 décembre 2021, le tribunal a voulu que la statue soit déboulonnée sous six mois.
Une fois de plus, les laïcistes radicaux, complices de la cancel culture, se sont emparés de notre patrimoine et ont renié les racines et la culture chrétiennes de la France. Après les sculptures de Victor Schoelcher en Martinique, Charles de Gaulle à Hautmont, Jean-Baptiste Colbert à Paris et Napoléon Bonaparte Ier à Rouen, un autre monument est victime de la déconstruction, témoin direct de la décadence de notre Nation !«
A ce sujet, le média breton Breizh Info remarquait : « en revanche, lorsqu’une procession catholique est attaquée « au nom d’Allah » [à Nanterre le 8 décembre dernier] et que l’on traite les fidèles de « kouffars » que l’on menace d’égorger, les laïcistes de la Libre Pensée sont frappés d’une subite extinction de voix« .
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2022
Le tabloïd écossais Daily Record a interrogé ses abonnés Facebook sur la politique mardi, notant que « les Australiens sont détenus dans les camps d’internement de Covid pendant 14 jours s’ils sont testés positifs ou sont suspectés d’être positifs ». Le journal a alors demandé :
« Devrions-nous suivre leur exemple ? »
Le journal n’a pas précisé comment les personnes « suspectes » pourraient être jugées, et si cela signifierait enfermer ceux qui sont repérés en train de renifler de manière excessive, par exemple, ou les citoyens qui refusent de se faire vacciner contre le Covid-19.
Le mois dernier, le même tabloïd a rapporté que 35% des résidents du Royaume-Uni pensaient que les non-immunisés devraient être contraints au confinement « jusqu’à ce que la pandémie soit passée », citant un récent sondage. Il a suggéré que l’enquête montrait un fort soutien du public pour des « mesures plus sévères » sur les Écossais non vaccinés. Imiter l’Australie signifierait faire de l’Ecosse une prison à ciel ouvert pour les personnes testées positives ou non-vaccinées.
L’idée a été repoussée sur les réseaux sociaux. Le militant anti-extrémisme Maajid Nawaz a déclaré que le journal proposait, en fait, des « crimes contre l’humanité », tandis que d’autres ont noté que jusqu’à récemment, la notion de camps d’internement de Covid-19 avait été décrite par les médias mainstream comme une théorie du complot dérangée.
L’Écosse a resserré ses restrictions Covid-19 au milieu de la propagation rapide du variant Omicron, imposant des limites aux rassemblements intérieurs et extérieurs, fermant les boîtes de nuit et décourageant les rassemblements de vacances. Comme l’a rapporté mercredi le Daily Record, l’Écosse compte 42 patients Covid-19 hospitalisés dans des unités de soins intensifs.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2022
La chronique
de Philippe Randa
Deux ans que dure la grande dinguerie organisée autour de la pandémie covidienne et tout de même un constat à faire en France : la quasi-totalité des leaders des « grands » partis a étrangement adopté sur la question une position attentive. À part quelques réserves, quelques nuances sur telles ou telles mesures gouvernementales de-ci, de-là, aucun n’a osé remettre en question sa gestion par le président Macron.
Et pourtant… N’y a-t-il pas lieu de s’inquiéter du monstrueux endettement de la France (« La dette de la France grimpe à 118,2 % du PIB à l’issue du premier trimestre 2021 », francetvinfo.fr, juin 2021) ? De l’état des services hospitaliers qui ne cesse de se détériorer depuis le début de la crise (« Une étude du ministère de la Santé montre que 5 700 lits d’hospitalisation complète ont été fermés en 2020. Cette tendance, installée depuis des années, s’est maintenue malgré la crise sanitaire » (Ouest-France, septembre 2021) ? De la désertion du personnel hospitalier (« Entre 2018 et 2021, un peu plus d’un millier d’étudiants infirmiers en formation ont “démissionné avant la fin de leurs études” » (Europe 1, octobre 2021)… et aussi, et surtout, n’y a-t-il pas lieu de s’émouvoir des restrictions continues des libertés individuelles : après les confinements (« du 17 mars au 10 mai 2020 (non inclus, soit 1 mois et 25 jours) ; du 30 octobre au 15 décembre 2020 (non inclus, soit 1 mois et 14 jours) ; du 3 avril au 3 mai 2021 (non inclus, soit 28 jours) », le port du masque à l’utilité plus que contestée sinon contestable… et, bien évidemment, le pass sanitaire en passe de muter, désormais, en pass vaccinal…
Toutes ces mesures ont visiblement, à défaut d’avoir arrêter la pandémie, tétanisée les leaders des « grands » partis politiques. Mais qu’en est-il des électeurs ? Réponse en avril prochain, bien sûr… mais une pétition (www.leslignesbougent) contre le Pass vaccinal qualifiée d’« atteinte majeure à l’État de droit » a déjà réuni plus de 1 250 000 signatures en quelques semaines… Un signe ?
Et si le « pass vaccinal » devenait le véritable enjeu de l’élection présidentielle ?
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