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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1198

  • Philippe Martin (PS), ex-ministre de l’Ecologie sous François Hollande, quitte la présidence du département du Gers après sa condamnation pour détournement de fonds publics

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    L’ancien ministre de l’Ecologie a quitté la présidence du conseil départemental du Gers, après avoir été condamné mardi à deux ans de prison avec sursis pour détournement de fonds publics. également déclaré inéligible pour trois ans, Philippe Martin a présenté sa démission dès mardi soir, selon la même source, mais elle n’avait pas été rendue publique.

    Philippe Martin fait part de sa “tristesse” de “devoir quitter cette présidence dans des circonstances particulières qui laissent un goût amer, et sur lesquelles (il) ne souhaite pas revenir”. Il exprime aussi sa “fierté” des “projets” engagés dans ce département

    Philippe Martin a été condamné à Paris pour avoir rémunéré son ex-épouse pour un emploi fictif d’assistante parlementaire entre 2002 et 2013.

    Solidairement avec son ex-femme Joëlle Martin, condamnée à six mois de sursis probatoire pour complicité et recel de détournements de fonds publics, il devra rembourser les 238.000 euros qu’elle avait perçus à l’Assemblée nationale, partie civile. Tous deux, déclarés inéligibles pour trois ans, devront en outre payer respectivement 70.000 et 30.000 euros d’amende.

    Philippe Martin, 68 ans, devra également rembourser 194.000 euros à l’Assemblée nationale pour avoir rémunéré, avec l’argent du Palais Bourbon, une femme qui travaillait pour le Parti socialiste à Auch entre 2005 et 2012. “Je suis d’accord pour reconnaître les faits et accepter les peines proposées”, avait déclaré Philippe Martin, ministre de juillet 2013 à mars 2014 et ancien président de l’Agence française pour la biodiversité.

    Paris Match via fdesouche

  • Le traitement gouvernemental de la crise sanitaire donne les outils pour régler la crise migratoire

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    Les conséquences d’un acte ne sont pas toujours mesurables. On sait, depuis Edward Lorenz, que le battement d’aile d’un papillon au Brésil peut provoquer un cyclone au Texas. Suivant le même principe, la gestion de la crise du Covid par le gouvernement et l’adoption du passe vaccinal, ce 6 janvier, pourraient provoquer une révolution politique que nul n’a vu venir, et certainement pas ses instigateurs. Par effet rebond, les décisions des autorités politiques dépassent largement la gestion d’une crise sanitaire passagère. Elles ouvrent un boulevard technique, juridique et moral au règlement de la crise migratoire en France.

    Si l’on écarte les idiots utiles du capitalisme mondialisé qui se croient de gauche en plaidant pour des frontières ouvertes, le centre et la droite mainstream ont justifié tous leurs renoncements sur la question migratoire au nom du réalisme. Dans un monde ouvert et interconnecté, il n’était tout simplement pas possible de contrôler les frontières, de subordonner les droits aux devoirs et de les ajuster à la situation de chacun. Les Français l’acceptaient, par fatalisme ou par inhibition, tout en jugeant à 78 % que l’immigration était subie et à 86 % que l’insécurité les préoccupait et pèserait sur leurs choix électoraux.

    Le Président Macron a prouvé l’inverse, à son corps défendant. En montrant qu’il était possible et justifié de priver de leurs droits les citoyens rebelles à un acte médical forcé, il a bouleversé l’inconscient collectif. La liberté de circulation donnée de fait aux clandestins sera plus difficile à faire accepter à des électeurs qui ont vu toutes les frontières se fermer à eux pendant deux ans. Certains d’entre eux ont perdu jusqu’au droit de se déplacer dans leur propre pays ni « aller au restau », « prendre un canon », « boire un café », « aller au théâtre, au ciné », selon l’énumération du Président, et les autres ne peuvent le faire qu’à condition d’être en règle (quoi qu’on pense de ces règles) et de se plier à des contrôles tatillons.

    Puisque les non-vaccinés sont coupables d’occuper les lits de réanimation, que penser de certaines catégories de populations qui occupent les lits de prison aux frais du contribuable après l’avoir volé ou molesté ou pire ?

    Après avoir été encadrés, contrôlés et comme jamais, au cours de leur histoire contemporaine, il est probable que les Français ne supporteront plus que très difficilement que certains occupants de leur pays ne se plient pas aux règles communes. Sous quel prétexte refuser la préférence nationale après avoir instauré la préférence vaccinale ? Comment prétendre, désormais, ne pas pouvoir contrôler des frontières que l’on a entièrement fermées à plusieurs reprises ? Le Président Macron a rendu techniquement possible et psychologiquement acceptable le programme de la droite nationale. Le diable porte pierre, dit l’adage populaire. Le temps de l’inhibition est passé.

    Raphaël Debailiac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • France: le creusement du déficit commercial à un niveau jamais atteint

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    Le déficit commercial de la France s’est encore creusé pour atteindre 9 milliards d’euros en novembre, “le solde mensuel le plus bas jamais atteint”, ont annoncé les Douanes vendredi 7 janvier. Les importations ont atteint un niveau record et ont été lestées par la hausse des prix des matières premières, notamment énergétiques, dégradant encore le déficit par rapport au mois d’octobre, où il s’était affiché à 8,1 milliards d’euros (chiffre révisé). En janvier 2021, le déficit s’affichait à 4,5 milliards.

    […]

    France Info

  • Emmerder l’emmerdeur

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    La logique du locataire de l’Élysée est douteuse : pour lui, ceux qui refusent l’actuelle vaccination, quelles que soient leurs motivations, mettent en danger le reste de la société, et deviennent donc irresponsables. Pour Macron en janvier 2022, c’est bien simple, « Un irresponsable n’est plus un citoyen ».

    C’est surprenant de bêtise et d’incohérence.

    D’incohérence d’une part parce qu’en 2016, le même Macron, pas suffisamment imbu de lui-même pour exciter les foules, expliquait alors en parlant du terrorisme et de la déchéance de nationalité éventuelle de ceux qui s’y adonnent, que « Le mal (les terroristes) ne doit pas être exclu de la communauté nationale ». En somme, un terroriste ne peut pas être exclu de la communauté nationale… Sauf bien sûr s’il refuse bêtement de se faire vacciner !

    C’est aussi d’une bêtise rocambolesque dans la mesure où l’on sait maintenant sans le moindre doute que les vaccinés n’empêchent en rien ni de contracter la maladie ni de la refiler généreusement autour de soi, dans les mêmes proportions que les non-vaccinés et avec une décontraction encore plus forte, le sésame sanitaire permettant une désinvolture dont les non-vaccinés ne peuvent bénéficier.

    En outre, l’actuelle surcharge (très théorique) des hôpitaux publics tient bien plus de leur gestion catastrophique que d’un afflux de non-vaccinés : après avoir courageusement viré du personnel en pleine « pandémie » (au motif qu’il n’était pas vacciné), après avoir obstinément fermé des milliers de lits (pour des économies budgétaires qui n’ont jamais été réalisées), après avoir largement subventionné d’autres domaines – la presse notamment – en lieu et place de ces hôpitaux publics qui réclament des moyens, il est cocasse de voir le chef de l’État parler d’irresponsabilité : manifestement, son poste actuel lui est un peu trop monté à la tête et il croit parler d’expérience.

    Il n’en reste pas moins qu’il est absolument invraisemblable que des propos pareils soient tenus sur des citoyens dont on rappellera utilement qu’ils sont encore, à 100%, totalement humains, et qu’en terme légaux, ils sont encore, à 100%, des citoyens qui payent des impôts et se comportent en réalité de façon bien trop responsable malgré les avanies qu’ils subissent. Jusqu’à preuve du contraire, petit Monsieur Macron, ces citoyens n’ont enfreint aucune loi et parce qu’ils payent votre salaire, vous leur devez le plus élémentaire des respects.

    En pratique, on comprend que le petit président veut désigner des boucs-émissaires et des coupables faciles mais ce faisant, il finit surtout par déclencher la haine même chez ceux qui avaient jusqu’à présent suivi le mouvement, contraints ou non. L’opposition, rassemblant maintenant droite et gauche, est vent debout contre ces déclarations : il n’y a bien sûr qu’un jeu politique derrière cette indignation franchement tardive, mais elle pourrait être l’élément déclencheur d’une vraie prise de conscience du gouffre dans lequel Macron vient d’emmener à coup de trique tout le pays.

    Du reste, regardons les choses en face : ce petit Chef de l’État n’a de pouvoir que parce que le peuple le lui a octroyé, et de façon de moins en moins consensuelle. Parallèlement, il semble clair qu’il prend un malin plaisir (ou prétend le faire en tout cas) à imposer de plus en plus de contraintes à une part des Français, à les diviser.

    Il semble donc naturel de couper court à la pignolade malsaine de l’emmerdeur élyséen, et notamment en ne tenant plus compte de ses injonctions qui s’apparentent de plus en plus à celles d’un enfant colérique et mal élevé, incapable de jouir d’autre chose que du malheur des autres. Il faut donc emmerder l’emmerdeur : refuser de s’aplatir, continuer à vivre aussi normalement que possible, s’opposer, de façon systématique, à ses diktats de plus en plus stupides et infâmants devient non seulement nécessaire, mais LA méthode pour faire enrager le petit président.

    Plus personne, même ceux qui se croyaient « bons citoyens », ne sera épargné et d’ici quelques jours, l’annulation des passeports sanitaires pour des centaines de milliers de Français en jettera autant dans les rangs des « irresponsables » qu’il faut donc « emmerder » ; au 15 février, ce sont de nouvelles cohortes qui viendront grossir le rang des emmerdables par la clique des macronistes.

    Ceux qui dictent ces misères arbitraires, sans queue ni tête ni plus aucune justification sanitaire, sont maintenant enfermés dans une course contre la montre : multiplier les lois et les contraintes pour s’assurer que la foule, grandissante, des outrés et des emmerdés ne vienne pas leur expliquer physiquement ce qu’ils pensent de leurs abus. Chaque nouvelle contrainte accroît à la fois l’urgence pour les premiers et le nombre des seconds.

    Les prochains mois seront décisifs.

    source : https://h16free.com

  • Il y a sans doute encore trop de monde dans les églises

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    Il y a sans doute encore trop de monde dans les églises

    Le cardinal Jean-Claude Hollerich, jésuite, archevêque de Luxembourg, président de la Commission des Conférences épiscopales de l’Union européenne (COMECE), a demandé que les passeports Covid soient requis pour toute personne souhaitant participer à la messe.

    « Depuis Noël, une loi est en vigueur au Luxembourg permettant aux seuls vaccinés de participer aux liturgies, sauf en cas de célébrations de moins de 20 fidèles. Certains prêtres s’y sont opposés, et cela n’aide pas à la recherche d’une solution ».

    Le cardinal ans commentait les appels à l’exigence d’une preuve de vaccination complète pour accéder aux services religieux en Italie.

    Une preuve de vaccination est actuellement requise pour entrer dans les églises en Suisse, en Croatie, aux Pays-Bas. En Autriche, l’Église catholique a soutenu la vaccination obligatoire.

    Bientôt en France ?

     

    Source: lesalonbeige