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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1241

  • Le couple Macron continue de massacrer le palais de l’Elysée

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2021

    Avant :
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    Après :
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    Ceux qui ont du mal à le croire peuvent vérifier ici.

    Et une photo prise dans le « salon Cléopâtre », du nom de l’ancienne tapisserie des Gobelins qui s’y trouvait jusqu’en 2019, avant d’être remplacée par une « œuvre » d’un certain Yves Oppeinheim (coût inconnu) :

    Le nouveau tapis n’est pas mal non plus dans son genre, mais pas au niveau du tableau…

    Un autre tapis :

    Cette cheminée n’était pas assez jolie aux yeux des Macron :

    Au moins, cela correspond mieux aux orgies afro-homosexuelles dont semble friand le Président.

    Pour un coût de 500 000 euros, le couple avait déjà transformé la salle des fêtes du palais en une vulgaire salle des fêtes municipale, presque un funérarium…

    Ce n’est guère étonnant quand on se rappelle ces déclarations du banquier cosmopolite :

  • Croire que l’obligation vaccinale va nous sortir de la crise est un leurre

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2021

    synthesenationale

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    Yves Coppietters *

    Avant d’instaurer une obligation vaccinale, il convient de se poser plusieurs questions éthiques et pratiques. La proportionnalité de la mesure, son bien-fondé, la transparence des décisions et l’équilibre entre deux grands principes : l’autonomie individuelle versus la protection collective... Une obligation vaccinale serait- elle proportionnelle à la situation ? Elle le serait si elle garantissait une efficacité en termes de meilleur contrôle de la pandémie ou de sortie de crise. Or, je ne suis pas sûr de ce bien-fondé.

    Car quel serait l’objectif, le bénéfice, d’une vaccination obligatoire ? Protéger les non-vaccinés des formes graves pour désengorger les soins intensifs ? L’argument n’est qu’à moitié convaincant, les personnes les plus à risque de forme grave étant déjà largement vaccinées. Est-ce alors d’empêcher de retomber malade ? L’obligation ne changerait rien, le vaccin n’empêchant pas la récidive. Enin, troisième objectif, donner un coup de frein à la circulation du virus ? Là, à nouveau, on voit que même avec une population largement vaccinée, cette circulation ne diminue pas, si l’on se fie au taux d’incidence actuel. En fait, le vaccin sert essentiellement à protéger des formes graves. Il n’est pleinement efficace que sur cette composante-là. Croire que l’obligation vaccinale va nous sortir de la crise serait donc un leurre. Ou du moins ne serait pas honnête scientiiquement.

    Dès lors, le vaccin obligatoire deviendrait un choix plus politique que scientiique. Mais en santé publique, il faut un minimum d’adhésion de la population. Et ce que je crains, non en tant que scientifique, mais en tant que citoyen, c’est qu’une telle décision n’accentue les clivages. Instaurer une obligation va rajouter une couche de mécontentement, de frustration, chez une partie de la population déjà méfiante. Ce qu’il faudrait plutôt, c’est essayer d’aller chercher une partie – les plus extrêmes étant impossibles à convaincre – des 6 millions de Français pas encore vaccinés. Sinon, la frustration créée par l’obligation risque d’amener à une sorte de radicalisation et d’entraîner un relâchement de tout (les gestes barrières, le port du masque...). Et là ce serait une catastrophe, car le vaccin n’est qu’un des garde-fous de l’épidémie.

    Et pratiquement, comment appliquer une obligation à l’ensemble d’une population ? Comment irait- on chercher les récalcitrants ? Comment les sanctionner ? S’il fallait vraiment une vaccination obligatoire, pourquoi ne pas imaginer qu’elle ne concerne que les personnes fragiles, les + de 65 ans n’ayant pas encore reçu d’injection, par exemple, ou celles avec comorbidité ? Mais si une vaccination « sectorielle » est plus facile à maîtriser, elle crée, néanmoins, de la discrimination.

    Recueilli par Alice Le Dréau

    (*) Médecin épidémiologiste, professeur de santé publique

    Source : La Croix 6/12/2021

  • Une nageuse transgenre de l’Université de Pennsylvanie, qui avait auparavant passé 3 ans à concourir en tant qu’homme, écrase maintenant des records dans des épreuves féminines

    Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2021

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    Une nageuse transgenre de l’Université de Pennsylvanie, qui avait auparavant passé trois ans à concourir en tant qu’homme, écrase maintenant des records dans des épreuves féminines, suscitant l’indignation au milieu de la controverse entourant les athlètes transgenres.

    Thomas, 22 ans, a nagé dans l’équipe masculine de Penn de 2017 à 20 sous le nom de Will Thomas, se classant deuxième au championnat de l’Ivy League dans trois épreuves de nage libre et faisant partie de la deuxième équipe All-Ivy lors de la saison 2018-19. Thomas a également remporté le 500 nage libre masculin contre Villanova lors de la saison 2019-20.

    Depuis qu’il est passé au sexe féminin et qu’il a rejoint l’équipe féminine, Thomas est passé du statut de nageur universitaire solide à celui de dominant.

    Lia Thomas, 22 ans, anciennement appelée Will, a participé à plusieurs épreuves récemment, notamment à une rencontre tripartite avec les universités de Cornell et de Princeton le 20 novembre, au cours de laquelle l’étudiante a pulvérisé les records de l’université de Pennsylvanie dans les épreuves de 200 et 500 mètres nage libre, affichant des temps qui ont battu presque toutes les autres nageuses des États-Unis.

    Son temps de 4’36.06 sur le 500 mètres lui aurait déjà permis de remporter une médaille de bronze aux épreuves nationales universitaires (NCAA), mais celui sur 200 mètres a été encore plus impressionnant, puisqu’il a établi un nouveau record (1’41.93) ce qui lui aurait permis cette fois-ci de décrocher l’argent au niveau national. « Elle a gagné la course avec pratiquement sept secondes d’avance sur sa dauphine, et son temps est le plus rapide du pays », a détaillé le département du sport. Sur le 500 mètres de la veille, elle avait laissé sa concurrente plus de 14 secondes derrière.

    Il s’agit de la dernière controverse en date dans le débat en cours sur la question de savoir si les personnes transgenres devraient être autorisées à participer à des compétitions sportives aux côtés d’athlètes du sexe opposé à celui qui leur a été attribué à la naissance.

    On ignore quand Thomas a commencé sa transition, mais les règles de la NCAA stipulent qu’elle devait avoir suivi un an de traitement de suppression de la testostérone pour pouvoir concourir.

    Sa dernière compétition masculine connue remonte au 16 novembre 2019.

    Les parents de jeunes filles en colère

    Injuste pour les défenseurs du sport féminin pour qui la participation d’un athlète transgenre aux épreuves féminines est totalement hors de propos. « Évidemment que les records des femmes sont battus […] Lia a concouru en tant qu’homme pendant trois ans avec la NCAA », s’offusque Linda Blade, auteur de How Trans Activism and Science Denial are Destroy Sport (comment l’activisme trans et le déni de la science détruisent le sport).

    Dans un journal étudiant de son université de Pennsylvanie, Lia Thomas l’assure pourtant : « Être trans n’a rien changé à ma façon de nager et pouvoir continuer est gratifiant ». Pas de quoi convaincre des parents de jeunes filles qui concourent dans les mêmes catégories : « Mes deux filles nagent en compétition […] Elles s’entraînent trois à quatre fois par semaine […] Ce genre de conneries me met en colère », peste l’une d’elles. Un homme propose que les femmes en compétition avec les athlètes transgenres refusent de participer, « cela mettrait fin à cette absurdité », réagit-il. Alors que les nageurs trans ne sont plus obligés de réduire leur taux de testostérone, certains spécialistes jugent que Lia Thomas pourrait un jour titiller Katie Ledecky. Ni plus ni moins que la septuple championne olympique et quinze fois championne du monde.

    Valeurs Actuelles / DailyMail / Washington Post

  • Nogent-sur-Oise (60) : un gardien égorgé dans le foyer d’accueil pour migrants Adoma, un Soudanais en situation irrégulière en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2021

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    Les faits se sont déroulés ce lundi matin au sein du foyer Adoma de Nogent-sur-Oise. L’auteur présumé des faits, qui aurait également mis le feu à la résidence, a été placé en garde à vue. « Aucun de ses propos ne laisse apparaître une quelconque motivation qui serait liée à une radicalisation », précise le procureur de la République.

    […]

     

    « On a vu ce corps allongé vers l’entrée du foyer »

    « Tout cela vient de se produire et les circonstances sont encore un peu confuses », souligne un officier de police. Selon les premiers éléments récoltés sur place, l’incendie aurait débuté en début de matinée. « J’ai été réveillé vers 8 heures à cause des bruits des gens inquiets dans la résidence. Tout le monde sortait. Et quand on est arrivés en bas, on a vu ce corps allongé vers l’entrée du foyer », relate un résident.

    Foyer Adoma incendie meurtre Nogent-sur-Oise

    Selon plusieurs sources, la victime aurait été « égorgée ». D’après un résident, il s’agirait d’un des gardiens du foyer qui aurait eu un différend avec son agresseur, un homme né en 1988 d’origine soudanaise. Celui-ci a été interpellé par les policiers dans la foulée. Du côté des habitants du foyer, c’est la sidération. « On ne comprend pas », réagit l’un d’eux, décrivant la victime comme un « homme adorable, une crème qui ne manque jamais de respect à personne ».

    […]

     

    Le suspect serait en situation irrégulière en France depuis 2015. Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de Creil.

    Le Parisien / Actu17

  • À Toulouse, Stéphane a « cru mourir » pour une banale histoire de stationnement

    Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2021

    Un homme âgé de 53 ans a eu la peur de sa vie ce jeudi à Toulouse alors qu’il se trouvait dans le parking des Carmes. Pour un banal désaccord avec un automobiliste, ce dernier a commencé à l’agresser puis a sorti une arme avant de tirer. Il témoigne.

    Un drame a été évité de peu. Jeudi en fin de matinée, celui que nous appellerons Stéphane s’engouffre dans le parking des Carmes à Toulouse pour se rendre à un déjeuner professionnel dans le quartier. Lorsqu’il atteint le quatrième étage de ce parking, il est surpris par un véhicule qui sort de sa place brusquement. “J’ai freiné d’un coup, j’ai même calé tellement je ne m’y attendais pas alors que je ne roulais pas vite“, raconte cet homme âgé de 53 ans, militaire de carrière, qui vit à Caraman.

    […]

     

    L’automobiliste très énervé retourne alors à sa voiture et commence à chercher quelque chose sous son siège conducteur tout en hurlant “je vais te tuer, je vais te crever“. “Tout s’est passé très vite, en une fraction de seconde, je ne me suis pas laissé le temps de réfléchir, j’ai directement pensé qu’il allait sortir une arme, je me suis dit je ne peux pas mourir comme ça pour rien dans un parking“, confie, encore choqué, l’ancien militaire à la retraite. Il va alors avoir le réflexe et surtout la force de le bloquer contre sa voiture pour le neutraliser. Mais alors qu’il semble maîtriser l’individu, ce dernier continue de chercher sous son siège et finit par sortir une arme. “Je ne sais pas par quel miracle je n’ai pas été touché mais le coup est parti“.

    […]

     

    La Dépêche via fdesouche