GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1426

  • Toulouse : elle se rend à la cité du Mirail pour y acheter de la drogue, elle y est tabassée puis violée collectivement par plusieurs jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 03 août 2021

    La soirée aurait mal tourné. Dans la nuit de ce dimanche 25 juillet à ce lundi 26, une femme âgée d’une quarantaine d’années s’est rendue dans un quartier du Mirail, à Toulouse pour se fournir en stupéfiants. Alors qu’elle a payé et récupéré sa consommation personnelle, un membre de cette bande de trafiquants l’aurait reconnu. Il lui aurait demandé de rembourser immédiatement une dette également liée à la drogue contractée par un de ses proches.

    Mais le remboursement de cette créance va se faire dans la violence. Les individus vont la forcer à remonter dans sa voiture et à se rendre devant un distributeur de billets. Frappée à plusieurs reprises, elle va donc s’exécuter et retirer plusieurs centaines d’euros au distributeur.

    Mais certains jeunes auraient trouvé que ce n’était pas suffisant et lui auraient alors demandé de payer le reste en donnant de sa personne. Le calvaire de cette femme va monter d’un cran. Elle va être forcée à des relations sexuelles. Ces agresseurs vont ensuite la laisser repartir.

    […]

    L’article dans son intégralité sur La Dépêche
  • Jeux Olympiques : des épinglettes de Mao défient les règles du CIO

    Publié par Guy Jovelin le 03 août 2021

    (Tokyo) Le portrait du fondateur de la Chine communiste, Mao Zedong, a fait une apparition imprévue aux Jeux de Tokyo et le Comité international olympique (CIO) a annoncé mardi qu’il « se penchait sur le dossier ».

    Le geste posé par les athlètes chinoises d’arborer des épinglettes à l’effigie de Mao lors de la cérémonie de remise des médailles risque bien d’être jugé comme une violation de la règle 50 de la charte olympique qui interdit toute manifestation politique sur le podium.

    Après avoir remporté l’épreuve du sprint féminin en cyclisme sur piste lundi, Bao Shanju et Zhong Tianshi ont accroché des épinglettes du visage de Mao sur leur uniforme. Celui qui a procédé à la création de la République populaire de Chine, en 1949, demeure une icône chinoise 45 ans après son décès survenu en 1976.

    […]

    Ce type d’épinglette était porté par des centaines de millions de personnes dans les années 1960 afin de montrer leur allégeance au président du Parti communiste et à sa révolution culturelle ultra-radicale lancée en 1966. Le chef communiste actuel, Xi Jinping, a invoqué l’image de Mao dans sa tentative de se positionner comme un grand leader dans l’histoire de la Chine.

    […]

    L’article dans son intégralité sur La Presse

  • “Pète-lui la gueule” : Quand Jean-Luc Mélenchon s’emporte contre un passant (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 03 août 2021

    “Pète-lui la gueule” : Quand Jean-Luc Mélenchon s’emporte contre un passant (VIDÉO)

    Samedi 10 juillet, place de l’Hôtel de ville de Paris, Jean-Luc Mélenchon a été apostrophé par un passant qui voulait prendre une photo avec lui. Face à l’insistance de ce dernier, le député LFI a demandé à son collaborateur de “lui péter la gueule”. Valeurs actuelles a pu se procurer les images de cette scène, qui a été filmée par le passant :

  • L’instant TikTok auquel vous avez échappé

    Publié par Guy Jovelin le 03 août 2021

    Auteur : 
    Ignace - L'instant TikTok auquel vous avez échappé
    Ignace – L’instant TikTok auquel vous avez échappé

    Source : medias-presse.info
  • L’inexorable progression des talibans vers Kaboul

    Publié par Guy Jovelin le 03 août 2021

    lesalonbeige

    L’inexorable progression des talibans vers Kaboul

    D’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    Près de la moitié de la population afghane est déjà passée sous le contrôle des talibans. Plusieurs postes-frontières sont tombés entre leurs mains, certains sans combat. C’est le cas à l’ouest, le long des frontières iranienne et turkmène, et au nord, vers l’Ouzbékistan et le Tadjikistan. Inutile de parler de l’est, où le Pakistan constitue la base arrière des islamistes depuis toujours.

    La progression des talibans n’est toutefois pas partout une promenade de santé. Les combats font rage aux portes de plusieurs villes de province où l’armée résiste. De nombreux soldats savent trop le sort qui les attend en cas de défaite pour se rendre sans combattre. C’est ainsi que l’armée syrienne ne s’était pas effondrée face à Daech ou al-Nosra, déjouant tous les pronostics. Mais il y a une différence de taille : ses alliés russes et iraniens ne l’avait pas lâchée. Ce n’est pas le cas en Afghanistan d’où les Américains se sont presque totalement retirés, et l’on sait que la décision est prise par Joe Biden, confirmant d’ailleurs celle de Donald Trump, de passer par pertes et profits (plutôt pertes, d’ailleurs) le très coûteux dossier afghan. Les Afghans qui ont fait confiance à l’Amérique sont donc abandonnés à leur triste sort.

    En plus de cette vaste offensive islamiste, qui se passe sur à peu près tout le territoire, les violences se multiplient. Assassinats ciblés et enlèvements se multiplient et visent prioritairement des cadres du régime et, bien sûr, la minorité chiite à qui le pire est promis (les talibans étant d’obédience sunnite).

    La géopolitique ayant horreur du vide, Erdoğan n’a pas raté l’occasion de s’immiscer dans l’espace piteusement laissé libre par les États-Unis. L’armée turque a ainsi pris le contrôle de l’aéroport de Kaboul avec la bénédiction des Américains. Ce savoureux transfert de compétences a donné lieu à une transaction financière dont on ne connaît pas la teneur mais, comme chacun sait, le néo-sultan est passé maître dans l’art de ce type de négociation : rappelons-nous comment il a soutiré des milliards à l’Europe en gardant (ou ne gardant pas, selon la conjoncture) sur son territoire quelques millions de migrants venus du monde entier et qui lui servent ainsi de monnaie d’échange.

    Des rumeurs font état d’un possible transfert, en Afghanistan, de mercenaires islamistes, généralement syriens, venus de Libye ou de Syrie, précisément de la poche d’Idleb occupée conjointement par les Turcs et les islamistes d’al-Nosra. Ce ne sont que des rumeurs, mais ce scénario est tout à fait vraisemblable et serait ainsi la répétition de l’implantation turque en Libye.

    Les Russes, bien sûr, suivent tout cela de très près. Ils redoutent une contagion islamiste dans les pays du Caucase et renforcent leur présence auprès de leurs alliés ouzbeks et tadjikes. Tout ceci donnera à nouveau l’occasion de discussions serrées entre Erdoğan et Poutine. Ils ont l’habitude et seront au moins d’accord sur un point : une fois de plus, les Occidentaux nous laissent le champ libre après une guerre inutile ou ratée, voire les deux.

    Les Chinois ne sont pas en reste et ont récemment accueilli des dirigeants talibans en Chine tout en continuant à entretenir de bonnes relations avec le gouvernement afghan d’Ashraf Ghani. C’est la démonstration permanente du pragmatisme chinois : peu importe qui est au pouvoir, la seule chose qui compte, c’est de commercer.

    La victoire des talibans semble inéluctable et tout le monde l’anticipe. Certes, les bombardements américains des derniers jours ont freiné leur progression, mais on ne voit tout de même pas l’armée afghane inverser le rapport de force. Les Afghans se préparent au pire : l’instauration d’une république islamique qui scellera un nouveau fiasco américain.