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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1461

  • la fin du monde approche

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2021

    covid-19,la fin du monde,variant delta

    L'hiver dernier les médias et les politiques ont annoncé que la fin du monde, initialement prévue pour le printemps 2020, arriverait finalement pendant l'hiver 2020 et s'appellerait «variant anglais».
    Souvenez-vous des commentaires à l'époque : ce variant est beaucoup plus contagieux, plus dangereux, etc. L'explosion n'a pas eu lieu, ce variant se révélant être un pétard mouillé.
    Mais ne vous réjouissez pas trop vite car la fin du monde est toujours prévue, mais décalée encore une fois, à la rentrée maintenant, et elle s'appelle désormais «variant Delta». Là encore, les médias ressortent du placard les pires prophètes de malheur et Véran lui-même commence à reprendre le vocabulaire menaçant qui prépare les esprits à de futures annonces restrictives. Nous revoilà donc exactement dans la situation de l'hiver dernier.
    Pourtant, que lis-je dans Ouest-France ? Je lis qu'une «étude britannique montre que le variant Delta, apparu en Inde, provoque des symptômes moins alarmants que le virus d'origine et peut s'apparenter à un rhume»... L'étude précise qu'il est plus contagieux, mais donc moins dangereux, voire beaucoup moins dangereux. Les Français ont pourtant repris le chemin des centres de vaccination ces derniers jours, évidemment à cause de la trouille entretenue par les médias et par Véran et sa clique.
    Notez également que le commentaire public et politique ne tient plus compte du nombre de morts mais du nombre de «cas», beaucoup plus spectaculaire. La courbe des réas et des morts, Delta ou pas, continue de baisser. Dans quelques mois, peut-être dans quelques semaines, il nous faudra lutter encore contre le terrorisme sanitaire. Ils ne nous laisseront jamais en paix, plus jamais. Ils ont vu que nous étions collectivement dociles, ils ne lâcheront plus la laisse maintenant. En acceptant une fois, deux fois, d'être sous leur contrôle total, nous nous sommes condamnés à n'être plus jamais libres.
  • Battons-nous pour la liberté vaccinale!

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2021

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    leblogalupus

  • « Les Chinois nous traitent de macaques » : En RDC, la bagarre entre un ouvrier congolais et son chef chinois révèle les tensions

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2021

    chinois,macaques,ouvrier congolais

    Une vidéo publiée le 30 juin montre une bagarre entre un ouvrier congolais et son responsable chinois, sur le chantier d’une usine dans la province de Lualaba, dans le sud de la République démocratique du Congo. Ce n’est pas le premier incident dans cette région, où plusieurs entreprises chinoises exploitent des mines, dans le mépris des droits sociaux de leurs employés.

    “Il y aurait moins de problèmes si les expatriés chinois étaient moins en contact avec la main d’œuvre congolaise”

    Ce constat est partagé par Freddy Kasongo, secrétaire général de l’Observatoire d’études et d’appui sur la responsabilité sociale et environnementale.

    “En République démocratique du Congo, au niveau du secteur minier, les entreprises occidentales qui étaient sur place ont cédé l’ensemble de leurs actifs ou soit la majorité à des groupes chinois. Le management occidental cède donc sa place à un management chinois qui vient avec son lot de problèmes dont le principal est lié à la main d’œuvre.”

    Dans son propre pays, il est maltraité par un étranger” affirme un internaute tandis qu’un autre estime que “les Chinois ont eu beaucoup de pouvoir dans ce pays au point de marcher sur les Congolais“.

    Selon nos Observateurs, la scène s’est produite à plus de 100 km, sur le chantier de construction d’une nouvelle usine d’exploitation de cuivre dans la commune de Fungurumè, pour le compte de Tenke Fungurumé Mining, l’un des plus grands producteurs mondiaux de cuivre et de cobalt, détenu depuis 2018 à 80 % par China Molybdenum. 

    La rixe intervient dans un contexte de tensions sociales entre les responsables chinois de l’entreprise Majengo, chargée du chantier, et les ouvriers locaux. Contacté par la rédaction des Observateurs de France 24, l’un d’eux, qui a été témoin de la scène et qui a requis l’anonymat, raconte : 

    C’était tôt le matin. Le superviseur chinois que vous voyez dans la vidéo donnait un ordre à mon collègue qui a refusé de s’exécuter. Le ton est monté. Le Chinois a tenu des propos discourtois. Et ils en sont venus aux mains.

    […]

     

    C’est très difficile de travailler avec les Chinois. Ils nous font travailler au-delà des huit heures réglementaires. Nous n’avons pas droit aux congés payés. Les absences sont défalquées des salaires à la fin du mois. Et surtout, les supérieurs chinois nous méprisent et profèrent des insultes. Ils nous traitent de macaques. Ce qui passe très mal sur le chantier.

    Nous avons tenté de joindre l’entreprise Tenke Fungurumé Mining sans succès.

    […]

     

    France24 via fdesouche

  • L’Afghanistan ou le fiasco américain.

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2021

    S’il fallait trouver une seule intervention militaire américaine couronnée de succès depuis 1945 on serait bien en peine. En dehors des coups d’Etat soutenus par les Etats-Unis mais pratiqués par des autochtones, la plupart des actions menées directement par Washington ont été des fiascos au mieux achevés par des compromis.

    afghanistan,fiasco américainOn notera les exceptions grandioses de Panama et de la Grenade, ou encore l’écrasement de la Serbie au profit des musulmans de Bosnie et du Kosovo. Partout ailleurs, l’énormité des moyens employés n’évita ni l’enlisement, ni la victoire politique de l’adversaire, ni parfois le désastre. Lorsque l’Administration américaine croit avoir emporté la partie, elle s’empresse de quitter le terrain sans assurer le service après guerre. L’Irak est évidemment la parfaite illustration de cette inefficacité puisque pour la quatrième fois Obama, après les deux Bush, tente de vaincre l’ennemi dans le pays. Le pouvoir à Bagdad est désormais chiite, proche de l’Iran et donc de celui qui règne aussi à Damas que les Américains combattent. “Tout ça pour ça ?”serait-on tenté de dire ! La première puissance du monde, forte de son dollar et de son armée, encaisse les coups, en organise sans doute plus d’un, et paraît régner sur la pétaudière mondiale à laquelle elle n’est pas étrangère, avec un manque de cohérence et de réussite qui ne l’empêche pas de distribuer les leçons de morale, aux Russes notamment, qui sont revenus jouer dans la cour réservée à l’Oncle Sam.

    L’Afghanistan est venu cette semaine confirmer ce triste diagnostic. Ce pays est très original : il ne supporte pas les invasions. Les Anglais en ont fait les frais lorsque leurs troupes aventurées au-delà de la passe de Kyber ont été anéanties à deux reprises au XIXe siècle (Gandamak et Maïwand). Soumis en définitive, l’Afghanistan acceptait de dépendre du Royaume-Uni pour sa politique extérieure, mais les Afghans demeuraient maîtres chez eux. Les Soviétiques ont vécu une  expérience cruelle lorsqu’ils ont voulu imposer un régime marxiste à Kaboul et pousser une pointe vers le Pakistan et les mers chaudes. Après le renversement du roi Zaher Shah en 1973, ils accompagnèrent une série de coups d’Etat qui les conduisit à envahir le pays en 1979. Les divisions politiques n’étaient rien auprès des rivalités tribales et des identités religieuses. Aidés par le voisin pakistanais, l’argent du Golfe et les armes américaines, les combattants défirent l’armée russe, qui quitta le pays en 1989, et prirent Kaboul en 1992. Les Américains détournèrent leurs regards de ce pays dénué d’intérêt. Les Tadjiks de Massoud, majoritaires dans le Nord-Est, avaient joué un rôle essentiel dans la résistance. Ils durent battre en retraite face aux moujahiddins pachtounes, la première ethnie du pays. Ce fut d’abord Hekmatyar, le boucher de Kaboul, puis les Talibans du Mollah Omar qui prirent la capitale en 1996. Madeleine Albright montra sa perspicacité en jugeant l’événement positif ! L’Afghanistan était partagé entre des chefs de guerre tribaux qui régnaient sur leur région, Ousbek, Hazara, Tadjik et les Talibans, salafistes pachtounes qui imposèrent la charia et la terreur partout ailleurs. Ce sont eux qui détruisirent les Bouddhas de Bamiyân. En 2001, Ben Laden et son organisation Al Qaïda, hébergés par les Talibans faisaient assassiner Massoud et lançaient des terroristes 2 jours plus tard contre quatre cibles remarquables des Etats-Unis, un certain 11 Septembre. Le réveil de l’Aigle fut violent : les Américains foncèrent sur l’Afghanistan, délogèrent les Talibans, avec l’aide de leurs adversaires locaux et celle de leurs alliés, notamment de l’Otan. L’Afghanistan subissait une nouvelle occupation, amicale, bien sûr (!) : 48 pays y participaient avec un pic de 150 000 soldats de la FIAS ( Force internationale d’Assistance et de Sécurité) en Juin 2011. 88 militaires français devaient y laisser la vie.

    Mais Washington regardait alors vers Bagdad et détournait ses moyens vers cet objectif inutile sans avoir résolu le problème Afghan. La “république” mise en place, des élections avaient été organisées. La fraude y fut colossale. Le pouvoir qui en sortit se révéla champion de la corruption et dès 2004, l’Afghanistan se situait à la première place pour la culture du pavot, à l’origine de l’opium et de l’héroïne. Cette semaine, les dirigeants afghans venaient tendre pour la troisième fois la sébile auprès des donateurs européens, américains et japonais. 13,6 milliards d’Euros ont donc été promis à l’Afghanistan pour son développement, et à la plus grande satisfaction des paradis fiscaux chez qui ça finira par arriver. Quand l’Europe, même désargentée, aime, elle ne compte pas. Mme Moghérini, pour l’UE, montra encore une fois son grand coeur en jurant que l’aide européenne n’avait rien à voir avec le rapatriement des migrants afghans qui se font passer pour des réfugiés en Europe. M. Kerry susurra qu’il faudrait sans doute négocier avec les Talibans, faisant une croix sur le 11 Septembre et la raison de l’intervention occidentale. Mais, les Talibans pachtounes contrôlent un bon tiers du pays et viennent d’occuper Kunduz d’où on a eu le plus grand mal à les déloger.

    Quand cessera-t-on de suivre bêtement ce prétendu gendarme du monde qui laisse le désordre s’installer partout où il passe ? Que la France fait-elle encore dans la galère américaine ?

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Notre vie est un enfer depuis le « vaccin » anti-covid

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2021

    Alors que les laboratoires Pfizer, Moderna et AstraZeneca entendent demander une autorisation à la fois à la FDA américaine (Food and Drug Administration) à et à l’EMA, l’Agence européenne des médicaments, pour administrer une troisième dose de leur injections thérapeutiques et géniques contre le covid, deux doses ne suffisants manifestement pas à empêcher une contamination, les effets secondaires graves se multiplient.

    La découverte d’une réaction défavorable liée à l’inoculation du vaccin anti-covid arrive de Grande – Bretagne. Comme indiqué dans The Mirror , l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) a annoncé que toute personne présentant « un essoufflement, des douleurs thoraciques ou une sensation d’accélération du rythme cardiaque et de palpitations » devrait immédiatement signaler les symptômes au personnel médical. Les vaccins concernés seraient ceux de Pfizer et Moderna, déjà accusés ces dernières semaines de provoquer une inflammation cardiaque, la myocardite, chez certains patients.

    Pour autant, l’Union européenne est « préparée » à l’éventualité d’une troisième injection à sa population du vaccin contre le covid-19 de Pfizer/BioNtech, que ses fabricants proposent, a affirmé vendredi la commissaire européenne à la Santé et à la Sécurité alimentaire, Stella Kyriakides.

    « Nous sommes déjà préparés au cas où nous en aurions besoin, aussi bien au niveau européen qu’en termes de stratégie européenne » d’achat commun et de distribution de vaccins, a déclaré la commissaire lors d’une conférence de presse à Madrid au côté de la ministre espagnole de la Santé, Carolina Darias.

    « Nous y travaillons continuellement, mais la décision sur le sujet reposera sur la science », a expliqué Stella Kyriakides.

    Michel Goldman, professeur en immunologie à UL Bruxelles juge de son côté « prématurée » lannonce de Pfizer concernant la troisième dose : « On peut se demander s’il ny a pas d’arrière-pensée liée au business », et appelle à des études indépendantes sur le sujet.

    Aux Etats-Unis, la chaine américaine Fox News a retransmis une conférence de presse du sénateur Ron Johnson à Milwaukee, Wisconsin, avec des familles de tout le pays qui partagent leurs expériences concernant les effets indésirables des vaccins COVID-19. Des expériences que l’on ne souhaite à personne… et dont les pouvoirs publics européens feraient bien de tenir compte au lieu de continuer leur propagande vaccinale avec des produits en cours d’expérimentation aux multiples réactions indésirables graves.

    Francesca de Villasmundo      

     

    Source : medias-presse.info