GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1583

  • Bernard Lugan : « pourquoi il est illusoire de s’obstiner à continuer de croire qu’une « pacification des mémoires » avec l’Algérie et le Rwanda est possible »

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Mis à jour le 16 avril 2021 Auteurpar Rédaction

    algérie,pacification des mémoireqs,rwanda

    Trois traîtres à la France : Darmanin, Stora et Macron

    « Emmanuel Macron s’obstine à refuser de voir que la France, l’Algérie et le Rwanda ne parlent pas de la même chose quand est évoquée la question mémorielle. Pour Paris, l’histoire est une science permettant de connaître et comprendre le passé. Pour Alger et pour Kigali, il s’agit d’un moyen servant à légitimer les régimes en place à travers une histoire « arrangée ». L’incommunicabilité étant totale, les dés sont donc pipés dès le départ. D’où le naufrage du « Rapport Stora » et du « Rapport Duclert ».

    L’Algérie et le Rwanda ne veulent en effet pas d’une « pacification des mémoires » au sens où l’entend la France puisque toute normalisation passerait obligatoirement par des concessions mémorielles qui feraient exploser les fausses histoires sur lesquelles reposent les « légitimités » des deux régimes. Le président algérien Tebboune l’a d’ailleurs plus que clairement reconnu quand il a déclaré que « la mémoire nationale ne saurait faire l’objet de renonciation, ni de marchandage ».

    En définitive, la France recherche une paix mémorielle fondée sur une connaissance scientifique des évènements du passé quand l’Algérie et le Rwanda exigent son alignement sur leurs propres histoires fabriquées.

    Avant de se lancer d’une manière évaporée dans le processus de mise à plat des mémoires, Emmanuel Macron aurait peut-être pu entrevoir la considérable différence d’approche des pays concernés, ce qui lui aurait alors permis de comprendre que sa démarche était vouée à l’échec. Mais, pour cela, il lui aurait fallu demander conseil aux véritables spécialistes de l’histoire de l’Algérie et du Rwanda, aux connaisseurs des mentalités leurs dirigeants. Or, et tout au contraire, pour le dossier algérien le président français a choisi de s’adresser à un historien militant signataire d’une pétition de soutien aux dérives islamo-gauchistes de l’UNEF, et, pour le dossier rwandais, à un historien totalement incompétent en la matière. Benjamin Stora s’inscrit dans la ligne de l’histoire officielle algérienne écrite par le FLN quand la thèse de Vincent Duclert portant sur « L’engagement des savants dans l’affaire Dreyfus », ne fait pas de lui un connaisseur de la complexe alchimie ethno-historique du Rwanda… et ne l’autorise pas à oser parler, contre toute la culture régionale, d’ « absence d’antagonismes ethniques dans la société traditionnelle rwandaise » (!!!). Comment Emmanuel Macron pouvait-il d’ailleurs attendre une « avancée » de la part du « Système » vampirique pompant la substance de l’Algérie depuis 1962 quand celui-ci veille avec un soin plus que jaloux à ce que l’histoire légitimant sa domination sur le pays ne soit pas remise en question ? Il en va en effet de sa survie.  L’homologue algérien de Benjamin Stora n’a ainsi fait aucune proposition de révision historique, laissant au chef d’état-major de l’armée, le général Saïd Chengriha,  le soin de faire monter les enchères avec la France en évoquant, contre l’état des connaissances, des « millions de martyrs  de la guerre d’indépendance »… D’une phrase, la pauvre tentative élyséenne de rapprocher les points de vue entre la France et l’Algérie était ainsi pulvérisée. De plus, tout en dynamitant la relation de confiance établie entre les présidents Macron et Tebboune, le général  Chengriha montrait clairement que le président algérien n’est qu’une marionnette et que c’est l’institution militaire qui gouverne et  impose sa loi.

    Maîtres du temps, les généraux algériens vont maintenant faire pression sur Emmanuel Macron, exigeant de lui qu’il livre ou qu’il expulse quelques grandes figures de l’opposition actuellement réfugiées en France… L’éthérée et idéologique recherche d’un consensus historique aura donc abouti à une déroute française. Dans le cas du Rwanda la situation est carrément caricaturale car le « Rapport Duclert » va encore plus loin que le « Rapport Stora »  dans la mesure où il s’aligne quasi intégralement sur les positions de Kigali, légitimant ainsi la fausse histoire sur laquelle  repose la « légitimité » du régime du général Kagamé. Une histoire ancrée sur trois principaux postulats :

    – La France a  aveuglement soutenu le régime du président Habyarimana.

    – Ce furent des Hutu qui, le 6 avril 1994, abattirent en vol l’avion du président Habyrarimana afin de faire un coup d’Etat permettant de déclencher le génocide.

    – Le génocide des Tutsi était programmé.

    Or, tout au contraire :

    – Alors que la tragédie du Rwanda fut provoquée par l’attaque lancée depuis l’Ouganda au mois d’octobre 1990 par des Tutsi réfugiés ou déserteurs de l’armée ougandaise, le « Rapport Duclert » affirme, comme le fait Kigali, qu’entre 1990 et 1993, la France a aveuglement soutenu le régime  du Rwanda. Or, chaque intervention militaire française fut subordonnée à une avancée obtenue du président Habyarimana dans le partage du pouvoir avec ceux qui lui avaient déclaré la guerre au mois d’octobre 1990… La différence est de taille. – Tournant  le dos à l’état des connaissances et s’alignant là encore sur la thèse officielle de Kigali, le « Rapport Duclert » laisse entendre que ce seraient ses propres partisans qui, le 6 avril 1994, auraient abattu l’avion du président Habyarimana. Une hypothèse que même les juges Jean-Marc Herbaut et Nathalie Poux, en charge de l’affaire de l’attentat, ont estimé n’être étayée par aucun des éléments du dossier. De plus, s’ils avaient pris la peine de s’intéresser véritablement aux travaux du TPIR  (Tribunal pénal international pour le Rwanda), et non d’en parler à travers des lectures de seconde ou de troisième main, les auteurs du « Rapport Duclert » auraient appris que ce tribunal qui a travaillé plus de vingt ans sur la question, a clairement écarté toute responsabilité des Hutu dans l’attentat déclencheur du génocide. – Pour les rédacteurs du « Rapport Duclert », tout cela n’a d’ailleurs pas d’importance car, selon eux, et toujours ainsi que le soutient Kigali, comme le génocide était programmé, il aurait eu lieu de toutes les façons, même sans l’attentat …Or, et une fois encore, il a été plus que clairement établi devant le TPIR que le génocide était la conséquence de l’assassinat du président Habyarimana…

    Grâce au « Rapport Duclert», voilà donc désormais Kigali en position de force  pour exiger de la France des excuses officielles qui devront être soutenues par  le versement d’espèces « sonnantes et trébuchantes »… Et si Paris se montrait indocile, comme le « Rapport Duclert » a, contre toute vérité historique, reconnu une part de responsabilité française dans la genèse du génocide, conseillé par l’un ou l’autre cabinet juridique d’Outre-Atlantique, le Rwanda pourrait alors décider de poursuivre la France devant un tribunal international… Un nouveau chantage pourrait donc s’annoncer. Résultat de la faiblesse française et de la volonté du président Macron de mettre à plat le contentieux avec le Rwanda, c’est désormais la France qui est à plat ventre… »

    Bibliographie (de l’africaniste  Bernard Lugan) :

    – Pour tout ce qui concerne la critique de l’histoire officielle de l’Algérie popularisée en France par Benjamin Stora : Algérie, l’Histoire à l’endroit.

    – Pour tout ce qui concerne la critique de l’histoire officielle du génocide du Rwanda reprise dans le « Rapport Duclert » : Rwanda, un génocide en questions/

    – Pour tout ce qui concerne la repentance en général, on se reportera à mon livre Répondre aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance.

     

    Source : contre-info

  • Grenoble : nouvelle nuit de tensions entre “jeunes” et policiers, qui ont essuyé une trentaine de tirs de mortiers d’artifices

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2021

    Des échauffourées ont une nouvelle fois éclaté entre jeunes et policiers dans la nuit de jeudi à vendredi rue la Bruyère près de la Villeneuve.

    (…) De nouveaux incidents ont éclaté dans la nuit de jeudi à vendredi mais avec une intensité encore plus forte. Tout a commencé vers 23 heures par des détériorations de mobilier urbain. Les policiers arrivés sur place, puis des renforts appelés par la première patrouille, ont essuyé pas moins d’une trentaine de tirs de mortiers. Les forces de l’ordre ont répliqué au LBD et à la grenade lacrymogène. Le calme est revenu vers une heure du matin après dispersion des protagonistes dans la nature. Les policiers n’ont pas pu procéder à des interpellations.

    France Bleu via fdesouche

  • Ramadan dans le Tarn : la police a reçu la consigne de ne pas verbaliser jusqu’à 22H, pour respecter la pratique de l’aumône islamique et à partir de 5H, pour la prière

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2021

    Pendant la durée du Ramadan, les forces de l’ordre ont reçu pour consigne de la préfecture du Tarn de ne pas verbaliser les personnes qui circuleront jusqu’à 22 heures pour pratiquer l’aumône islamique et à partir de 5 heures, pour la prière du matin.

    INFO JDI. Policiers et gendarmes tarnais ont reçu la consigne de ne pas verbaliser les musulmans circulant pendant le couvre-feu dans le créneau 19 heures-22 heures et à partir de 5 heures, pendant la durée du Ramadan fixée cette année du 13 avril au 12 mai.

    Adressés aux commissariats et aux gendarmeries du département le mercredi 14 et le jeudi 15 avril, les mails que « Le Journal d’Ici » a pu consulter précisent que « les pratiquants sont autorisés par la préfecture à dispenser l’aumône (se traduisant par la livraison de nourriture à des amis, familles…) ».

    Il est également souligné que « le créneau nocturne correspond à la rupture du jeûne et il est potentiellement susceptible de générer des rassemblements sur la voie publique ou aux abord des mosquées ».

    […]

    Concernant la dérogation dès 5 heures le matin au lieu de 6 heures, horaire normal de levée du couvre-feu, la préfecture précise que son but est de permettre aux pratiquants de se rendre à la mosquée pour le première prière de la journée, fixée à 5h30, mais qu’aucune demande n’a été signalée jusqu’à présent aux autorités.

    […]

    Le week-end dernier selon la préfecture du Tarn, le forces de l’ordre ont verbalisé cent personnes pour violation du couvre-feu dans le département.

    Le JDI via fdesouche
  • “La Turquie viole les droits souverains de la Grèce” : accrochage verbal entre ministres turc et grec lors d’une conférence de presse à Ankara

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2021

    Le ministre des affaires étrangères turc, Mevlut Cavusoglu, et son homologue grec, Nikos Dendias, se sont notamment opposés devant les caméras sur les frontières maritimes, les migrants et le traitement des minorités.

    Un accrochage verbal acrimonieux a opposé jeudi les ministres turc et grec des Affaires étrangères, qui ont publiquement étalé leurs divergences sur plusieurs dossiers lors d’une conférence de presse à Ankara.

    (…) Nikos Dendias a notamment critiqué les activités turques en mer Égée et en Méditerranée orientale et ce qu’il considère comme une application déficiente de la part d’Ankara d’un accord sur les migrants avec l’Union européenne. «La position de la Grèce est claire et ce n’est pas la première fois que vous l’entendez: la Turquie a violé en mer Égée et à la Méditerranée orientale le droit international et la convention (internationale) de la mer et les droits même souverains de la Grèce, la Turquie a effectué 400 vols au-dessus du sol grec», a-t-il déclaré.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Allahicité : L’Eglise n’avait pas de dérogation pour la Semaine Sainte, les musulmans en ont pour le ramadan

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2021

    Allahicité : L’Eglise n’avait pas de dérogation pour la Semaine Sainte, les musulmans en ont pour le ramadan

    palestine-voile-coran-charia-604-230x180.jpg

    Les évêques n’avaient pas bougé pour demander une dérogation au couvre-feu afin de célébrer les offices du Triduum pascal. Seuls Civitas et Via avaient engagé un référé au Conseil d’Etat, recours qui avait été rejeté.

    Le ramadan a commencé le 13 avril et on apprend par la voix du CFCM que les musulmans ont obtenu une dérogation pour toute la durée du ramadan :

    Le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) informe les musulmans de France qu’il est toléré de se rendre au lieu de culte le plus proche de son domicile pour accomplir la prière du matin. Cette dérogation est accordée par Monsieur le Ministre de l’intérieur à la demande du CFCM.

    Le CFCM recommande aux imams de retarder cette prière dans la mesure du possible pour permettre un usage utile et limité de la dérogation.

    La première prière doit avoir lieu avant l’aube. La mosquée de Paris a donné les horaires pour Paris, variables selon l’heure de lever du soleil, de 5h24 le 13 avril à 4h18 le 13 mai.

     

    Source : lesalonbeige