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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1585

  • Des idiotes – certainement se croyant « féministes » – s’entraînent à la dhimmitude

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2021

    Des femmes non-musulmanes expérimentent le port du hijab en France - 10 avr. 2021
    site Youtube: Histoires de musulmans convertis

    «Allah nous a ordonné la tolérance, la miséricorde et l'amour entre nous à travers notre bien-aimé Prophète Muhammad (la paix soit avec lui). C'est l'image que ces sœurs musulmanes ont livrée en solidarité avec les femmes non-musulmanes en portant le hijab sur la voie publique en France.
    Elles encouragent les femmes de tous horizons et de toutes religions à porter et à expérimenter le hijab, et à se sentir capables d'auto-détermination (empowered) comme tant d'autres à travers le monde.»

  • L’esclavage des blancs : L’histoire tabou et oubliée enfin révélée

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2021

    Posté par Eric Martin  Il y a 18 heures

    L’esclavage des blancs : L’histoire tabou et oubliée enfin révélée

     

    On l’ignore totalement : au XVIe siècle, les esclaves blancs razziés par les musulmans furent plus nombreux que les Africains déportés aux Amériques.

    On a pris aujourd’hui la mesure de la traite des esclaves noirs organisée par les négriers musulmans à travers le Sahara, ainsi qu’en direction du Moyen-Orient et des régions de l’océan Indien. On sait aussi que l’affrontement entre l’islam et la chrétienté a alimenté en maures et en chrétiens les marchés d’esclaves des deux côtés de la Méditerranée médiévale.

    On évoque entre 1,3 million et 2,5 millions de personnes déportées dont une partie du Sud de la France, l’actuelle Provence et le Languedoc. Il est très intéressant de se replonger dans l’histoire et il est bon de rappeler quelques “souvenirs oubliés”, juste une mémorisation des faits retranscrits par nos historiens :

  • Attentat de la gare Saint-Charles : le dernier djihadiste mis en cause blanchi, le père d’une victime se dit “écoeuré”

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2021

    “Je suis écoeuré”. C’est par ses mots que le père de Mauranne réagit à l’annonce de la nouvelle. Dominique Harel vient d’apprendre que le dernier mis en cause dans le meurtre de sa fille et de sa nièce ne sera pas poursuivi.

    Anis Hanachi, 28 ans, frère de l’assassin de deux jeunes femmes, a bénéficié d’un non-lieu au terme d’une instruction de plus de trois ans et demi. Cet homme d’origine tunisienne était mis en examen pour “association de malfaiteurs terroriste en vue de commettre des crimes d’atteintes aux personnes”.

    “Il y avait un faisceau de présomptions qui montrait bien qu’il y avait un réseau derrière tout ça, je ne comprends pas du tout”, indique Dominique Harel.

    […]

     

    Ce signalement précisait qu’Anis Hanachi avait “combattu, fait le jihad en territoire syro-irakien, avec une expérience de caractère militaire”.

    “Il a des faits graves et avérés, comme sa présence sur le territoire français pour la première fois de sa vie, de nombreux échanges téléphoniques avec son frère quelques jours et encore quelques heures avant les faits. Et sa fuite”.    

    […]

     

    Anis Hanachi purge actuellement une peine de 12 ans de prison en Tunisie pour avoir effectué des entraînements, une collecte d’argent et même des cambriolages en lien avec une organisation terroriste.

    […]

     

    Elles s’appelaient Mauranne et Laura et avaient 20 et 21 ans. Deux cousines à qui, ce dimanche 1er octobre 2017, un terroriste a ôté la vie à coups de couteau.

    Mauranne était étudiante en médecine, Laura élève infirmière. Laura rentrait chez elle après un week-end marseillais auprès de sa cousine. Les deux jeunes femmes discutaient sur le parvis de la gare au moment du drame.

    L’auteur des coups de couteau a été abattu par des militaires de l’opération Sentinelle. Ahmed Hanachi, clandestin d’origine tunisienne, n’était pas fiché S.

    Pourtant au moment de l’attaque l’assaillant a crié à plusieurs reprises “Allah Akbar”. Via son organe de propagande, l’État islamique avait très vite revendiqué l’attaque.

    Dans les jours qui ont suivi le drame, la polémique enfle puisque l’auteur des coups de couteau était connu des services de police. Pris en flagrant délit de vol à Lyon vendredi 29 septembre, il aurait dû être placé dans un centre de rétention avant son expulsion, mais le centre était complet.

    Le terroriste libéré le samedi soir frappait à mort Mauranne et Laura dès le lendemain.

    france3-regions.francetvinfo.fr

  • LA FEMME (ET L’EUROPE) PIÉTINÉES PAR ERDOGAN

    Publié par Guy Jovelin le 15avril 2021

    POSTÉ LE AVRIL 13, 2021, 9:00

    Mercredi 7 avril, les autorités de l’Union européenne étaient reçues par le président turc Recep Tayyip Erdogan.

    En l’occurrence, et par ordre protocolaire, il s’agissait de Charles Michel, président du conseil européen, et d’Ursula von der Leyen, présidente de la commission.

    Or, la salle de réunion ne prévoyait que deux sièges, qui furent occupés par MM.Erdogan et Michel – Mme von der Leyen ayant, après quelques secondes d’embarras, décidé de s’asseoir sur un canapé, à l’écart.

    La scène abondamment diffusée est assez gênante.

    Elle met en lumière plusieurs éléments graves.
    L
    e premier est que l’Union européenne est incapable de parler d’une seule voix.

    Deux présidents pour discuter avec le président turc, c’est un de trop!

    Mais le «machin» européen n’étant ni tout à fait un État fédéral, ni tout à fait une administration au service de la coopération entre États, personne – pas même au plus haut niveau de Bruxelles – ne sait qui est légitime pour représenter l’UE dans ce type de réunion.

    Cette scène met aussi en lumière la faiblesse politique de l’UE. Quand on songe qu’un coup d’éventail du bey d’Alger avait suffi à envoyer nos canonnières nettoyer ce nid de Barbaresques en 1830, on mesure l’effondrement.

    Aujourd’hui, le nouveau sultan ottoman peut dire à l’une des plus importantes personnalités européennes qu’elle ne compte pas – et ladite personnalité encaisse l’affront sans rien dire.

    La scène montre aussi la permanence de la culture de harem à Ankara: manifestement pour M. Erdogan, une femme n’est bonne qu’à servir de «repos du guerrier» et, s’il ne tenait qu’à lui, on pourrait parier que les raids barbaresques reprendraient bientôt en Méditerranée pour peupler les harems de la Sublime Porte!

    Ajoutons que M. Michel, incarnation de la franc-maçonnerie belge, fait preuve d’une invraisemblable goujaterie.

    Il s’est défendu d’avoir été insensible à l’embarras de sa collègue et a affirmé n’avoir pas bougé pour éviter un incident diplomatique. Mais croit-on que demander trois fauteuils eût créé un incident diplomatique?

    Le plus effrayant est ce que cette scène révèle de la civilisation européenne et de la civilisation ottomane.

    Manifestement, M. Erdogan est parfaitement à l’aise dans cette dernière. Mais ni Mme von der Leyen, ni M. Michel ne semblent rien savoir de la beauté de la nôtre. Celle-ci s’est notamment distinguée par la place laissée à la femme.

    De la Vénus de Milo à Antigone, en passant par Jeanne d’Arc, les belles martyres chrétiennes ou les dames de l’amour courtois (avec une mention toute spéciale pour la Vierge Marie, incarnation de l’idéal féminin et modèle iconographique sans égal), la femme fut en Europe le sommet de la Création.

    À mesure que l’Europe s’éloigne de ses sources gréco-latines et judéo-chrétiennes, elle abandonne cette grande tradition de courtoisie.

    La femme, dans la France d’aujourd’hui, est devenue soit la bête de somme rêvée par Mahomet (je veux dire un gibier de «tournantes» que le mâle barbare peut violer sans risque), soit un objet de consommation.

    Il est bien évident que nous sommes mal fondés à critiquer l’islam qui méprise la femme, quand nous-mêmes en faisons un objet de racolage publicitaire quand ce n’est pas un objet de vulgarité pornographique.

    Pourtant, l’Europe ne peut pas être elle-même sans ce respect dû à la femme – qui n’a, au passage, rien à voir avec la masculinisation que veut lui imposer le pseudo «féminisme» progressiste!

     

    Source : les4verites

  • Assa Traoré évoque ses cinq frères passés par la prison… comme s’il s’agissait de Soljenitsyne.

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2021

    lafautearousseau

    Ils sont venus, ils sont tous là. Toute  – ou presque – s’est jointe au rassemblement « Stop à l’acharnement contre  », lundi, à 10 heures, au TGI de Paris, pour soutenir leur icône, Assa sœur Courage, qui y était convoquée : Éric Coquerel, , Mathilde Panot… 

    assa traoré,cinq frères,prisonDanièle Obono, ne pouvant être présente, a tenu, sur son compte Twitter, à « assurer Assa Traoré, sa  et l’ensemble du collectif de tout [son] soutien ».

    Dans le casting, ils sont la caution « notable », il y en a dans toutes les séries  ou de France 2 : c’est la poignée de justes et de purs qui se lèvent pour dénoncer les politiques corrompus et les flics véreux. La ficelle est énorme, l’intrigue cousue de fil blanc, le scénario éculé ad nauseam. Mais ce n’est pas grave, il suffit de jouer sa partition par cœur sans ciller avec une mauvaise foi qui tient lieu de talent.

    Le glissement narratif est très clair : un Traoré qui a maille à partir avec la  est présumé persécuté. « Cinq de mes frères sont passés par la case prison, on a fait presque toutes les prisons d’Île de France », s’exclame avec emphase Assa Traoré devant ses soutiens, en ce lundi matin. Factuellement, elle a raison. Mais quand d’autres en seraient gênés, tenteraient de faire oublier ces incarcérations aux motifs crapuleux qui font tache dans le tableau de la famille Soubirous, elle en fait un objet de fierté, une preuve irréfragable de l’acharnement judiciaire : ils sont Soljenitsyne dans l’archipel du goulag français. Sans rire.

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    Quand Bagui Traoré, a été hospitalisé, il y a un peu moins d’un mois, la page « Vérité pour Adama » sur Facebook a multiplié les sous-entendus, comme pour un prisonnier  pris dans une diabolique machination : « Les détenus ont tenus (sic) à nous faire parvenir l’information malgré les menaces qu’ils ont reçu (resic) des agents de la maison d’arrêt, nous les remercions »« Nous avons été à l’hôpital du Chesnay 78 où est hospitalier (sic) mon frère Bagui Traoré pour avoir les explications des médecins sur son état de santé. Comme vous pouvez le voir, un impressionnant dispositif de forces de l’ordre nous attendait et nous avons été verbalisés pour non respect du couvre-feu ». Dans une vidéo postée le 17 mars, Assa Traoré, depuis les couloirs de l’hôpital, rappelle que Bagui est « le témoin principal » dans l’affaire Adama et qu’il « a été mis en prison » (en se gardant bien d’en préciser la raison), et elle dénonce des mensonges de l’administration quant au motif de l’hospitalisation : « Voilà comment ça se passe dans les prisons… » À l’écouter, les autres détenus sont, en revanche, d’indéfectibles amis pour Bagui, prêts à affronter tous les danger pour l’aider. L’étoffe des héros, on vous dit.

    Le registre sémantique est celui d’un Andreï Sakharov en pleine la grève de la faim : « Aujourd’hui, nous avons pu avoir des nouvelles de Bagui, qui a été transféré et pris en charge à l’hôpital. Il est très amaigri. Les analyses sont en cours. » À deux doigts de laisser entendre qu’il a été empoisonné façon Navalny.

    assa traoré,cinq frères,prison

    assa traoré,cinq frères,prison

    La souffrance- incontestable et incontestée – d’une famille qui a perdu l’un des siens octroie à celle-ci une couronne de martyre qui la met sur une stèle, hors d’atteinte. Toute remise en perspective des faits est réputée abjecte. Celui dont l’arrestation a fini tragiquement est auréolé à jamais. Désormais, comme on le voit dans le « conte de faits » autour de Bagui, c’est même tout délinquant purgeant une peine de prison qui, par contagion, se trouve anobli : puisqu’il est sous les verrous contraint et forcé par une justice et une  pourries !

    L’audience a été annulée, reportée aux 6 et 7 mai à 13 h 30, rendez-vous est déjà pris pour une nouvelle représentation.

    En attendant, les gendarmes dont elle a livré les noms à la vindicte populaire, sans compter ceux qui quotidiennement se font caillasser dans les « quartiers », n’ont pas d’épaisseur, d’humanité… Ils n’émeuvent personne, ne sont qu’ombres uniformes et anonymes désincarnées, leur devoir de réserve les empêche d’exister publiquement. Comment, dans une telle asymétrie, pourraient-ils lutter contre ce storytelling qui ne peut que susciter d’autres vocations ?

    https://twitter.com/laveritepradama

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste