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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1754

  • Nouvelle-Zélande : la police décide d’intégrer le hijab à son uniforme

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2020

    «Nous avons besoin de personnes avec des capacités, des milieux d’origine et des niveaux d’expériences différents. La diversité est essentielle pour que nous puissions servir aux besoins des communautés néo-zéalandaises», a déclaré la police nationale dans un communiqué. Ce projet a vu le jour le 11 novembre dernier, après deux années de développement. 

    La policière qui a inauguré ce nouvel uniforme a été largement mise en avant dans les médias. Constable Ali s’est en effet engagé dans les forces de l’ordre après les attentats de Christchurch, qui avaient fait 51 morts dans deux mosquées de la ville. «J’ai réalisé que plus de femmes musulmanes étaient nécessaires dans la police pour soutenir la population», explique-t-elle au New Zealand Herald. Fière de pouvoir porter le hijab dans sa vie professionnelle, elle assure qu’en la voyant «plus de femmes musulmane voudront s’engager».

    Si cela est une première dans le pays océanien, d’autres forces de l’ordre ont déjà mis en place cette pratique à travers le monde. Comme le rappelle la BBC, une policière australienne portait le voile dès 2004, quand les agents londoniennes ont obtenu l’autorisation en 2006. En France, le port du hijab pour les forces de l’ordre n’est pas autorisé. 

    CNEWS via fdesouche

  • La CEDH valide la déchéance de nationalité de cinq Français condamnés pour terrorisme. La plupart travaillent, leurs enfants sont scolarisés, cela devrait faire obstacle à leur expulsion

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2020

    Ces amis d’enfance, devenus Français entre 1991 et 2001, avaient été libérés en 2009 et 2010 et déchus de leur nationalité française en octobre 2015.

    C’est une condamnation qui ne pourra plus faire l’objet d’un appel. La Grande chambre de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qui siège à Strasbourg, a annoncé mardi le rejet définitif de la requête déposée par cinq hommes déchus de leur nationalité française après leur condamnation dans un dossier terroriste. […] Ceux-ci avaient été condamnés en 2007 à six à huit ans de prison pour « participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste ».

    […] « Les requérants ont déposé des demandes de cartes de séjour vie privée et familiale, et disposent de récépissés leur permettant de vivre en France » […] Ils ont tous une seconde nationalité et ne sont donc pas devenus apatrides […] aucune mesure d’éloignement n’a été prise » par les autorités françaises.

    L’avocat des requérants, Me William Bourdon, a souligné que les cinq hommes étaient selon lui « des modèles d’intégration ». « Les enfants sont scolarisés, la plupart travaillent, les foyers familiaux sont intégrés, ce qui devrait faire obstacle à leur expulsion », a-t-il estimé.

    leparisien.fr via fdesouche

  • Bordeaux : Le squat Kabako qui loge des migrants déboutés de leur statut de mineur va être évacué. Une bénévole s’indigne : “80% sont ensuite reconnus mineurs par le juge”

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2020

    Sur la porte bleue du 63 de la rue Godard, sont inscrits au marqueur les noms des anciens mineurs non accompagnés passés par Kabako. Tous sont depuis partis mais d’autres leur ont succédé. Fin juin, c’est là qu’une quinzaine de jeunes a trouvé refuge dans ce bâtiment du Conseil départemental. (…)

    Difficile de savoir aujourd’hui combien ils sont. Tous ont été déboutés par le Service d’accueil et d’évaluation des mineurs non accompagnés (Saemna) et ont engagé un recours auprès du juge des enfants. (…) « En Gironde, 80 % des jeunes déboutés par le Saemna et remis à la rue sont ensuite reconnus mineurs par le juge. Ce qui prouve les dysfonctionnements du service », déplore Laure (NDR : une bénévole). Le chauffage a été rallumé il y a quelques semaines. Tous peuvent contacter leur famille restée, pour l’essentiel, en Afrique de l’Ouest et subsaharienne.

     « Ici les enfants trouvent un peu de repos, de réconfort et de sécurité. Ils ont également un accompagnement juridique, médical, scolaire, psychoaffectif et socio-éducatif ». Du côté du Conseil départemental, on reconnaît qu’une procédure d’expulsion a été engagée. Le 22 octobre, le juge des contentieux, constatant que « l’occupation illégale présente un danger pour ces occupants mais également pour la sécurité et salubrité publique » lui a donné raison et a ordonné l’expulsion de tous les occupants.

    Sud-Ouest via fdesouche

  • Une mère malmenée par la gendarmerie parce qu’elle défend sa fille pour un simple masque mal mis

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2020

    Certains gendarmes doivent avoir bien peu de conscience morale pour agir comme ils le font. Voici des images choquantes. Des gendarmes embarquent manu militari une mère de famille intervenue pour défendre sa fille de 13 ans prise à partie pour un masque mal mis.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1328646020553695232

     

  • Covid, l’excuse de l’UE pour imposer l’agenda Lgbt

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2020

    Crime européen d’homophobie, reconnaissance des « mariages » homosexuels dans tous les États membres, utilisation d’une partie du Fonds de relance pour financer les activités LGBT, arrêt du financement des États qui ne s’inclinent pas. La Commission européenne a annoncé un plan visant à imposer l’agenda Lgbt à tous les pays. En violation des traités européens.

    L’Union Européenne défend les revendications de la Gaystapo. Le 12 novembre, la Commission de l’Union européenne a publié une communication annonçant la volonté de préparer un plan pour que tous les pays de l’UE deviennent de plus en plus arc-en-ciel.

    En fait, la Commission veut introduire un crime d ‘« homophobie » au niveau européen et entend lutter contre les « stéréotypes de genre » à l’école. Elle insiste également pour que chaque État reconnaisse les « mariages » homosexuels célébrés dans d’autres États européens et le statut de l’homoparentalité reconnu dans d’autres systèmes juridiques. Enfin, les technocrates bruxellois ont exprimé leur désir d’attribuer un financement spécifique aux initiatives Lgbt, y compris une part du Fonds de relance, mis en place pour faire face à l’urgence sanitaire actuelle pour le covid.

    Le point sensible de cette décision n’est pas seulement le contenu, promouvoir davantage l’agenda Lgbt en Europe mais aussi de méthode : il s’agit d’une ingérence indue dans les affaires de chaque État membre, c’est-à-dire d’une invasion injustifiée de ce thème dans des domaines de compétence nationale et non de la responsabilité de la Commission. Cette dernière cherche à dissimuler cette violation de la souveraineté nationale en évoquant la volonté d’offrir de simples « orientations politiques », de ne vouloir que « coordonner les actions des États membres, suivre la mise en œuvre et les progrès, apporter un soutien grâce aux fonds européens et promouvoir l’échange de bonnes pratiques entre les États membres ». Tout cela sonne bien, mais il y a quelque chose de pourri en dessous.

    Et le pourri a été clairement identifié par une analyse publiée par le Centre d’Etudes Livatino. Ce dernier souligne tout d’abord que le Parlement européen et le Conseil européen ne peuvent pas instituer le crime d’« homophobie » parce qu’ils échappent à leurs compétences. En fait, l’art. 83 du traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne indique précisément les matières sur lesquelles l’Union Européenne peut « établir des règles minimales relatives à la définition des infractions et des sanctions dans des domaines pénaux particulièrement graves qui ont une dimension transnationale ».

    Ces sujets sont : « terrorisme, traite des êtres humains et exploitation sexuelle des femmes et des mineurs, trafic de drogue, trafic d’armes, blanchiment d’argent, corruption, contrefaçon des moyens de paiement, cybercriminalité et criminalité organisée. » La discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et la soi-disant identité de genre ne figure pas sur la liste. Le Centre d’Etudes Livatino souligne en effet que l’intention exprimée par la Commission de modifier l’article 83 susmentionné afin d’inclure également le crime d’« homophobie » dans la liste, d’une part, n’est pas justifiée par la ratio du même article qui prévoit une intervention réglementaire de l’UE uniquement pour les crimes transnationaux, c’est-à-dire pour les comportements susceptibles d’affecter plusieurs États à la fois, comme le trafic d’esclaves et/ou le commerce des armes où par exemple une fille est « achetée » dans un pays, puis « revendue » dans un autre, ou lorsqu’un stock d’armes de contrebande entre dans un État pour être ensuite revendu dans un autre. Sur les autres fronts, le pouvoir législatif ne relève certainement pas de la compétence de la Commission.

    La reconnaissance mutuelle entre les Etats des « mariages » entre duos homosexuels et du statut des parents homosexuels, ainsi que la lutte contre les « stéréotypes de genre » dans le milieu scolaire, en somme les domaines matrimoniaux et parentaux, ainsi qu’éducatif, concernent la législation nationale et l’Europe ne peut pas se substituer aux États membres en matière de famille et d’école. En particulier en ce qui concerne la question « famille », le jeu que la Commission européenne voudrait jouer est facile à comprendre : si l’État X a légitimé le « mariage » gay, obliger l’État Y à reconnaître le « mariage » entre deux hommes célébré dans l’État X représente la première étape pour que l’État Y légifère en faveur du « mariage » gay.

    Enfin, nous arrivons au chapitre sur le financement des initiatives arc-en-ciel. La Commission veut faire chanter les États membres de l’UE : soit ils soutiennent les politiques Lgbt, soit les robinets du financement public se ferment. Mais la règle du do ut des dans le domaine financier, rappelle toujours le Centre Livatino, n’est en aucune manière envisagée par le traité précité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Vouloir ensuite aspirer les ressources fournies par le Fonds de relance et destinées aux commerçants, entrepreneurs, industriels, familles, patients, hôpitaux et centres de recherche pour les allouer à des initiatives arc-en-ciel car, écrit la Commission, « la crise du covid-19 […] a frappé de manière disproportionnée les personnes Lgbtqi vulnérables », est incroyable.

    En fait, d’une part, il est bon de rappeler que le pourcentage d’homosexuels est d’environ 1 à 4% en Europe, en tenant également compte des bisexuels, et celui des transsexuels autour du point zéro. C’est donc un groupe absolument restreint, si petit que cela ne justifie pas un financement ad hoc. Pour tenir compte de cette logique, il devrait y avoir un financement européen pour les jardiniers et les arbitres de football touchés par le covid. Au contraire, la Commission aurait dû suggérer d’introduire un soutien financier pour les familles, les travailleurs et les employeurs.

    Une deuxième raison de perplexité est le fait que la Commission n’apporte aucune preuve que le covid a frappé particulièrement durement les homosexuels et les transsexuels. Nous connaissions les personnes âgées et les patients atteints de pathologies multiples, mais personne n’a jamais entendu parler des homosexuels et des trans. Si le virus affecte également les gays et les personnes trans, c’est parce qu’il touche presque tout le monde. En ce sens, les lobbies Lgbt et la Commission européenne doivent être sereins : le coronavirus ne discrimine personne, il ne fait pas de distinction par orientation sexuelle et « identité de genre ». C’est un virus très inclusif.

    En fin de compte, le fonctionnement de la Commission européenne a clairement une empreinte idéologique : des ressources pour embaucher des médecins et des infirmières sont retirées avec l’intention de les allouer à l’organisation de la gay pride.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info