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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1905

  • 10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

    contre-info Auteur : Rédaction

    Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
    La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

    La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
    Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté :

    « Vive la Nation ! ». Situation confuse.
    Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
    Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.
    Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel.
    Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

    Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle.
    Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.
    Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

    Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.
    Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.
    Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

    L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.
    La période appelée « la Terreur » allait commencer.
    Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.
    Naissance de la République.
     
  • Le chaos libanais.

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé ddélégué général du Parti de la France
     
    A Beyrouth, des dizaines de milliers de Libanais, pour la plupart chrétiens, manifestent leur colère contre le régime féodalo-mafieux, construit sur la corruption et la mise en coupe du pays au nom d'intérêts privés et d'enjeux fixés par des puissances étrangères. Les manifestants parlent de révolution. Mais une révolution suppose l'existence d'un peuple et nous savons qu'il n'y a ni nation ni peuple libanais. 
     
    Tout à la fois empli d'arrogance, lourd de tartarinades et consternant de naïveté, le déplacement guignolesque de Macron à Beyrouth en milieu de semaine, n'aura eu pour effet que de brouiller encore un peu plus les cartes en suscitant de faux espoirs et en feignant d'ouvrir des portes condamnées. 
     
    Dans ces conditions, ceux qui, en France, soutiennent la pétition poignante et déchirante qui a déjà, malgré son caractère hélas aujourd'hui irréaliste, réuni plus de 50 000 signatures à Beyrouth, réclamant le rétablissement du mandat français sur le Liban, ne sont pas de vrais amis de ce pays ni des chrétiens qui en sont l'âme.
     
    Aucun patriote français conscient de nos responsabilités nationales à l'égard de cette terre meurtrie qui nous est si chère, ne peut aujourd'hui souhaiter au Liban et encore moins à nos frères par la Croix le malheur supplémentaire que serait pour lui, dans l'état actuel de décrépitude dans lequel se meurt la France et de soumission au totalitarisme mondial dans laquelle elle se vautre, une intervention suivie d'une gestion directe sous la tutelle de Macron le petit, dans le cadre imposé du grand pandémonium onusien.
     
    Demain, en revanche, quand la France sera redevenue la France, c'est-à-dire quand la droite nationale assumera enfin la charge du pouvoir, nous devrons en urgence et par les moyens les plus forts, renouer avec ce qui est, depuis Saint Louis et la charte de Saint-Jean-d'Acre, une mission et une promesse:
     
    " Pour nous et nos successeurs sur le trône de France, nous promettons de vous donner, à vous et à tout votre peuple maronite, notre protection spéciale, comme nous la donnons aux Français eux-mêmes, et nous nous emploierons en toute circonstance à tout ce qui contribuera à votre prospérité ". 
     
    En attendant, le Hezbollah qui, pour le moment fait profil bas mais ne doute pas que le chaos lui profitera, continuera d'étendre sa main mise politique et militaire sur le pays, les organisations internationales profiteront des programmes d'aide humanitaire pour conforter leurs plans, des dizaines de milliers de Libanais seront contraints à l'exil, tandis que loin des soupes populaires sur lesquelles devront compter ceux qui resteront, les milliardaires de la diaspora continueront leur vie de nababs.
  • Lampedusa : « Les migrants ont mangé mes poules, mes chèvres et mes 4 chiens. Il ne me reste que les porcs. »

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2020

    Une Lampédusienne raconte l’enfer vécu sur l’île avec les débarquements de migrants qui ne s’arrêtent jamais : « Regardez ce qu’ils font ici… ».

    « Ce n’est plus possible de continuer comme ça ! » : Rosy Matina est une Lampédusienne dont le terrain, acheté par son père en 1967, borde le hotspot de Cala Imbriacola. Elle n’en peut plus.

    La nuit, les immigrés montent chez elle et campent, boivent de l’alcool, se saoulent. L’air autour de la maison délabrée, dont le toit a été renversé par Rosy elle-même et son compagnon parce que les migrants isolaient des femmes et avaient des relations sexuelles à l’intérieur, est irrespirable. Il y a une odeur d’urine et d’excréments, éparpillée tout autour, semblable à celle perçue près d’un purificateur. Par terre, couvertures prélevées sur le hotspot, vaisselle, restes de nourriture, matelas.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1292086029147570177

    «Un soir, nous sommes arrivés – dit-elle – et nous avons trouvé des gens qui campaient. Ils nous ont offert du haschich. Une autre fois, je suis venu avec ma fille et 14 d’entre eux étaient ivres et nous ont harcelées sexuellement. J’ai glissé le long de la falaise vers le hotspot. Ma petite fille m’a couru après. Nous avons demandé de l’aide à la police. Ils nous ont dit que les migrants sont intouchables. Ils font ce qu’ils veulent ».

    La raison ? «Il y a ceux qui gagnent beaucoup de leur présence», explique-t-elle. Rosy est exaspérée par la situation. Elle a présenté de nombreuses plaintes aux carabiniers, a porté plainte, mais personne n’est jamais intervenu. «Ils ont dit qu’ils viendraient nettoyer – précise-t-elle -, mais rien, ils ne sont plus jamais revenus. Le maire Totò Martello doit avoir honte. Il devrait simplement quitter son fauteuil et disparaître. Je vous le dis : si je trouve encore un migrant sur ma propriété, je lui tire dessus. Si mon père avait été là, il aurait utilisé le fusil de chasse ».

    Rosy vivait des récoltes de sa terre, de ce qu’elle gagnait en élevant des moutons et des poulets. «Je n’ai plus que les porcs – poursuit-elle -. Ils ne les mangent pas car pour les Arabes c’est interdit. Mais ils ont mangé quatre de mes chiens ». Elle dit cela en nous montrant les restes d’un petit chien. «Ils l’ont dépecé – dit-elle – et ils l’ont fait sur le gril. Vous voyez, juste là, où sont les couvertures ».

    Il Giornale

    Via Fdesouche

  • Pic d’interventions pour tapages nocturnes cette nuit à Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2020

     

    85 interventions pour tapages nocturnes en une nuit. La soirée du samedi 8 août au dimanche 9 août a été particulièrement agitée. Malgré la circulation du coronavirus, les soirées sont nombreuses.

    La nuit du samedi 8 août au dimanche 9 août a été particulièrement agitée. La gendarmerie de Toulouse a dû intervenir 85 fois pour tapages nocturnes. Effectivement, cette année, les relations entre voisins sont parfois un peu tendues. En raison de la circulation toujours active du coronavirus, certains Toulousains n’osent pas vraiment sortir de chez eux. Mais d’un autre côté ils ont envie de passer du temps entre amis ou en famille. Les soirées dans les appartements se sont donc multipliées cette année. Et cela fait du bruit. Parfois trop pour certains voisins

    Il faut dire qu’après des semaines de confinement les Toulousains souhaitent se changer les idées. Certains ne sont pas partis en vacances et avec la chaleur actuelle nombreux sont ceux qui veulent profiter des chaudes soirées d’été.

    Pour info, il est possible de porter plainte pour tapage nocturne à partir de 22h. Pour que les forces de l’ordre interviennent, il faut que la nuisance sonore puisse s’entendre d’un logement à l’autre. L’auteur des faits risque une amende de 68€ avec une possibilité de payement immédiat ou sous 45 jours. Si ce délai est dépassé alors l’amende s’élève à 180€

     

    Source : lejournaltoulousain

  • Insécurité : Cours d’arts martiaux, bombes lacrymogènes… face à l’explosion de la délinquance, les Français se tournent de plus en plus vers l’autodéfense

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2020

    Par  le 08/08/2020

    ENQUÊTE – Cours d’arts martiaux, achats de bombes lacrymogènes… Le marché de l’autodéfense a le vent en poupe.

    Confrontés à l’insécurité et à l’explosion de la délinquance, comme en témoignent les nombreux faits divers survenus cet été, certains citoyens décident d’agir. Conséquence directe : le marché de l’autodéfense compte de plus en plus de clients.

    À Paris, par exemple, les cours de self-défense connaissent un franc succès. «Nous avons de plus en plus de monde. Au cours des 3-4 dernières années, nos effectifs ont quadruplé», témoigne Cyril Marchand, président du Paris Énergies Karaté. Son club d’arts martiaux, situé dans le 5ème arrondissement, propose notamment des cours de self-défense et de krav-maga (une méthode d’autodéfense d’origine juive et israélienne).

    Parmi ses clients, des femmes mais aussi des adolescents ou des hommes. «Beaucoup de femmes viennent car elles ont déjà été agressées. Tous ceux qui viennent se disent ‘stop, ça suffit !’» résume Cyril Marchand. Pour les femmes, spécifiquement, le club propose des cours sur des thèmes précis.

    (…) Le Figaro via fdesouche