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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1973

  • Chez Carrefour, des antivols uniquement sur des produits de beauté L’Oréal pour les peaux foncées ?

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2020

    Par  le 15/06/2020

    Une vidéo postée sur Twitter le 10 juin, tournée au rayon cosmétique d’un magasin Carrefour en France, affirme que des fonds de teints L’Oréal destinés aux peaux foncées seraient équipés d’un antivol, alors que les produits de la même gamme pour les peaux claires, ne le seraient pas. Le message sous-entendu est clair : les femmes de couleur seraient plus enclines à voler que les femmes blanches. Or, si les deux produits n’ont pas le même système de protection, c’est parce qu’ils proviennent de deux productions différentes expliquent les deux enseignes.

    bazemma@bazemma1
     

    Ce monde ne cessera jamais de me choquer.@CarrefourFrance vous êtes appelés à la barre.

    Vidéo intégrée
    donut groupie@rosefolle

    Alors en faite ce genre d'antivol a un surcoût du coup il sont mis sur les produits les plus volés après inventaire. Dans ce magasin c'est cette teinte, ce n'est pas national c'est suivant l'inventaire dans ce magasin.

    Carrefour @CarrefourFrance

    Après enquête, chez notre fournisseur, à la fin de l'emballage d'une gamme de produits, l'antivol est disposé sur tous les produits ou sur aucun d'entre eux. Impossible de différencier en fonction des leurs caractéristiques (ex: couleur de teint). (1/2)  https://twitter.com/lorealparisfr/status/1271097854531166214 

    L'Oréal Paris France @lorealparisfr
    En réponse à @capucinegrxs

    Toutes nos teintes de fond de teint sont fabriquées sur la même ligne de production et ont le même système de protection, mais ce dernier a évolué en 2019. La différence constatée dans ce magasin n'est liée qu'aux écoulements des stocks, plus ou moins rapides selon les références

     

    Source : fdesouche

  • Quand des sociologues disent que le divorce est un désastre

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2020

    Quand des sociologues disent que le divorce est un désastre

    Le gouvernement l’avait annoncé : l’année 2020 serait celle de l’avènement de la justice familiale, avec l’arrivée d’un ambitieux service public des pensions alimentaires. Car un tel service figure bien, noir sur blanc, dans la loi de financement de la Sécurité sociale telle qu’on la trouve au Journal officiel du 24 décembre 2019.

    Ce “service public de versement des pensions alimentaires” doit voir le jour à l’été, tandis que jusqu’à 40% des pensions ne sont pas payées par ce que le texte appelle bien sûr encore “le parent débiteur” à ce qui reste, du coup, “le parent créancier”. Mais dans la vie, on pourrait tout aussi bien dire “par le père”… “à la mère” :

    Deux sociologues, Céline Bessière et Sibylle Gollac, ont publié Le Genre du capital, après quinze ans de recherche à enquêter sur les calculs et les partages, les petits arrangements et les grandes injustices qui se font jour quand on se sépare ou que quelqu’un meurt, avec l’héritage.

    Les femmes s’appauvrissent en se séparant. Davantage que les hommes. Selon l’INSEE en 2016, 25% des familles monoparentales n’avaient pas les moyens de s’acheter de vêtements neufs, 21% de recevoir leurs amis ou leur famille, et 18% de faire des cadeaux à leurs proches ou leurs enfants au moins une fois par an. Or neuf familles monoparentales sur dix sont en fait des mères célibataires. Un rapport de l’INSEE qu’on peut trouver en ligne confirme que

    “la perte de niveau de vie directement imputable à la rupture est de l’ordre de 20 % pour les femmes et de 3 % pour les hommes”.

    Les deux sociologues démontrent brutalement en quoi l’ensemble du système y contribue, en ne cherchant pas réellement à corriger cela – alors que les femmes sont deux fois plus nombreuses à faire une requête en justice que les hommes, et que dans 97% des cas, c’est au père qu’il revient de payer une pension alimentaire pour contribuer à l’entretien et à l’éducation de l’enfant.

    Dans la loi, le montant d’une pension doit prendre en compte trois paramètres, sans que l’un prime sur les autres en théorie :

    • les ressources du père
    • les ressources de la mère
    • les besoins de l’enfant

    Mais dans la vraie vie, de nombreuses décisions sont rendues non pas en fonction des besoins de la mère à qui l’on confiera les enfants, mais en fonction des ressources du père (souvent pondérées, de surcroît, par ses nouveaux besoins). Cette position rend les femmes redevables à l’Etat-Providence davantage que les hommes du fait de leur divorce.

    Faciliter le divorce c’est encourager la pauvreté.

     

    Source : lesalonbeige

  • Les Bourses ont perdu les pédales : vers un effondrement à terme

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2020

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    Marc Rousset

    On assiste à un brutal retour de la volatilité sur les marchés avec des craintes d’une seconde vague de Covid-19 aux Etats-Unis. Le CAC 40 a reperdu près de 7 % sur la semaine, après une séquence de rebonds la semaine précédente et des pertes sur les secteurs qui s’étaient bien repris comme les banques, les foncières, l’automobile, l’aéronautique. La hausse de 40 % de Wall Street depuis la mi-mars est toujours aussi aberrante, face à un taux de chômage de 20 % et au risque d’une grande dépression, style les années 1930.

    L’économie française a détruit un demi-million d’emplois au premier trimestre 2020. Selon la Banque de France, le taux de chômage va sans doute bientôt dépasser les 11 % pour se stabiliser autour de 10 % en 2022. Selon Mac Kinsey, un quart des emplois européens seraient menacés par la crise ainsi que par la non adaptation au numérique et à l’automatisation avec le déploiement de machines. Aux Etats-Unis, le nombre de chômeurs indemnisés le 30 mai était de 20,93 millions, rapporte Le Parisien.

    En France, le déficit public sera de 11,4 % du PIB pour 2020 contre 2,2 % voté en décembre dernier, avec une récession de 11 % du PIB annoncée par Bruno Le Maire. La dette publique, suite à l’envol de la facture à payer pour la crise, représentera sur la période 2020-2022, selon la Banque de France, 120 % du PIB. Si les investisseurs prennent peur en exigeant une hausse des taux, la France est en faillite immédiate, avec un risque d’effondrement de l’économie. Cela fait 40 ans que l’Etat français est incapable de réduire les dépenses publiques. Aux Etats-Unis, la dette fédérale a bondi de 2.200 milliards de dollars depuis le début de la crise.

    Beaucoup d’économistes pensent que le retour de bâton de l’inflation va finir par apparaître, en dépit des rêveries de la théorie monétaire moderne, suite au déluge des liquidités créées et déversées par la Fed, la BCE et les banques centrales, avec l’apparition encore plus probable de nouvelles bulles sur le marché des actions et de l’immobilier. Deux économistes de Saint-Louis ont évoqué, malgré l’opposition de principe de la Fed, l’apparition prochaine des taux négatifs aux Etats-Unis. En Europe, Larry Fink, le président de Blackrock propose que la BCE achète des actions pour stimuler l’économie européenne ! Il faut savoir aussi que la Banque du Japon détient 50 % des entreprises du Nikkei : le Japon, par sa politique de fuite en avant monétaire et financière est une gigantesque bombe à retardement.

    Les créances douteuses des banques dans la zone euro dépassent déjà les 500 milliards d’euros et pourraient, suite à la crise, atteindre très rapidement les 1.000 milliards d’euros. La BCE songe à une « banque poubelle » (« bad bank »), c’est-à-dire une structure de défaisance qui recueillerait les créances à risque des banques et émettrait des obligations, avec, par exemple, la garantie du mécanisme européen de stabilité (MES). Ces obligations pourraient être achetées par la BCE. L’Allemagne renâcle à juste titre car, malgré les montages technocratiques, il faudra toujours décider qui paiera finalement les 1.000 milliards d’euros. Les Allemands seraient plutôt favorables à des « banques poubelles » nationales.

    En ce qui concerne les 750 milliards d’euros prévus par la Commission début 2021, c’est toujours la foire d’empoigne pour savoir qui recevra quoi  (L’Italie 63,38 milliards d’euros, l’Espagne 61,62 et la France 32,17 selon La Tribune) et qui remboursera l’emprunt de la Commission. Cette dernière propose 30 à 35 milliards d’euros de nouvelles taxes européennes par an sur le numérique, le CO2, les GAFA, ou les produits polluants importés. Sinon ce seront les pays qui emprunteront pour rembourser l’emprunt de la Commission !
    Quant à la zone euro, il est clair que la BCE a déclaré la guerre à la Cour de Karlsruhe en se moquant de son jugement, tout en violant les traités, ses statuts et ses règles de fonctionnement. La zone euro peut éclater entre les pays du nord et ceux du sud dont la France.

    Selon un sondage récent de Fox News, 80 % des Américains pensent que la Bourse a perdu les pédales. Le krach historique de l’humanité à venir, provoqué par l’hyper-endettement accéléré et la création monétaire sans retenue des banques centrales depuis 2008, sera bien pire que celui de 1929, car il sera accompagné d’un effondrement économique et monétaire (hyper-inflation) qui engendrera à son tour un effondrement institutionnel, une paralysie gouvernementale, avec des risques de troubles sociaux et de révolution.

     

    Source : synthesenationale

  • Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 13/06/20

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2020

    14 Juin 2020, 13:02pm | Publié par Thomas Joly

    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 13/06/20

    Le Bureau politique du Parti de la France s'est réuni autour de son Président, Thomas Joly, ce samedi 13 juin à Beauvais, les salles parisiennes subissant encore les restrictions sanitaires décidées par le gouvernement.

    Thomas Joly a dressé à cette occasion un bilan particulièrement critique de la gestion de la crise du coronavirus par le pouvoir et appelé le mouvement à la mobilisation politique face à l'offensive racialiste et gauchiste autour des affaires Floyd et Traoré, mais aussi dans la perspective de la crise économique et sociale majeure qui vient. Il a également souhaité que le Parti de la France se tienne prêt à toute éventualité au cas où Emmanuel Macron prendrait des initiatives institutionnelles visant à avancer les échéances électorales.

    Une grande part des travaux fut consacré à la réorganisation administrative du PdF rendue nécessaire par les changements intervenus lors de son dernier congrès.

    Le Bureau politique du Parti s'est enfin penché sur la préparation du meeting qui marquera sa rentrée politique le samedi 12 septembre à Paris.

  • Intervention télévisée de Macron: la parole présidentielle sur le mode youkaïdi-youkaïda.

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2020

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    Les Français n'attendaient rien de l'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ce dimanche soir.

    Ils n'ont donc pas été déçus.

    Malgré une parti pris affiché de paraître direct, concis, concret et clair, Macron aura été tel que nous le connaissons : satisfait de lui même et prêt a toutes les promesses au demeurant contradictoires et nébuleuses, promesses qu'il croit pouvoir résumer par son nouveau mantra : "nouvel acte, nouveau chemin, réinvention".

    Nullité abyssale d'un Président de la République qui, d'allocutions présentées comme solennelles en conférences inutiles et en points d'étapes subalternes, a alterné au fil des mois, propos guerriers et mièvrerie bisounours, se bornant à commenter l'actualité et constatant aujourd'hui que le coronavirus est méchant mais s’éloigne tout en pouvant revenir bientôt, que l'eau de pluie est humide, que la nuit est plus obscure que le jour, que le monde est vaste, l'économie en difficulté, la société en fragilité, sans oublier de rappeler que le racisme c'est mal mais que taper sur des policiers n'est pas très bien non plus, et que, au final, c'est "celui qui dit qui est" même si "jeux de mains, jeux de vilains"...

    Aucune vision de la France à venir. La République de demain sera celle d'avant, plus le mot "indépendance" dont Macron a usé et abusé dans son intervention. Comme l'écrivait Montherlant, "C'est quand la chose manque qu'il faut y mettre le mot".

    Aucun plan global de rétablissement de l'Etat, aucune piste de reconstruction morale, politique, industrielle, sanitaire, identitaire et sociale du Pays. Aucune perspective non plus sur le court terme au delà des annonces ponctuelles et réversibles sur le retour au vert de l'Ile de France, la liberté de circulation en Europe ou l'assouplissement des règles et protocoles dans les établissements scolaires. Rien, si ce n'est, en filigrane, la préparation des manœuvres de basse politique politicienne sensées dans son esprit conduire à sa réélection en 2022... Ou avant.

    Il n'y a pas de Président de la République à l'Élysée. Seulement un boy scout, la tête dans les étoiles et l'esprit tourné vers le pays des fées. Mais un boy scout laïcisé, qui jamais n'aurait fait sa Promesse. Rue Saint-Honoré, le youkaïdi-youkaïda de l'infantilisme progressiste et globalisant a remplacé la Marseillaise.

    La France, elle, est un navire mal en point sans capitaine et commandé par un mousse; bateau ivre sans gouvernail, ni sextant, ni boussole, abandonné aux cinq vents mauvais de la dislocation sociale, de la destruction économique, de la submersion migratoire, de la néantisation de ses valeurs et de l'offensive racialo-gauchiste.

    Mais cela, il est vrai, ne date pas de 2017.

    Rien de nouveau, en effet, sous l'éclipse du soleil national.

    Jean-François Touzé, Délégué général du Parti de la France.