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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1974

  • Le drapeau patagon est en berne : Jean Raspail est mort

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Le drapeau patagon est en berne : Jean Raspail est mort

    L’écrivain, journaliste, explorateur, monarchiste est mort ce samedi 13 juin à midi, à l’âge de 94 ans.

    Le consul général de Patagonie n’est plus. Né le 5 juillet 1925, trop jeune pour s’engager dans la Résistance, il devra attendre 1949 pour prendre le large. Il a posé son sac en Terre de Feu, aux Antilles, en Alaska, au bord du lac Titicaca ou encore à Macao et bien sûr en Terre Sainte.

    Suite à Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie, (1981), histoire d’un jeune homme partit, vers 1860, conquérir la lointaine Patagonie, Raspail s’autoproclame consul général de Patagonie. Des lecteurs lui écrivent pour lui demander d’être naturalisés patagons.

    En 1973, l’écrivain publie un ouvrage prophétique Le Camp des Saints, décrivant la France d’aujourd’hui confrontée à l’arrivée massive d’immigrés, avec la complaisance d’une population et d’un clergé lobotomisés.

    En 1991, il publie Sire qui narre le sacre de Philippe Pharamond de Bourbon en 1999. Le 21 janvier 1993, il organisa une commémoration des 200 ans de la mort de Louis XVI, place de la Concorde.

    Dans Le Roi est mort, vive le Roi !, Jean Raspail s’adresse à un jeune prince trentenaire au plus, car « passé cet âge, l’on se met à penser chacun de ses actes, on lime son cœur, on tue son âme, on se trahit à chaque instant, car nul ne peut mener sa vie autrement en ces temps qui sont nôtres ». Et c’est l’Appel d’un homme libre au Roi qui retentit ici à l’oreille d’un Prétendant qui oserait enfin se déclarer le premier et esquisser un geste pour tirer du néant le principe royal par cette grâce divine qui fit les rois de France, et qui échappera toujours au pouvoir des hommes. Il suffirait pour cela d’un peu de mémoire historique, d’un peu de courage, d’un peu de fierté, d’amour-propre, le tout chapeauté par un certain goût pour la belle attitude. Et il le prévient, par avance, de l’attitude de l’Eglise qui est en France :

    L’Eglise catholique qui est en France s’accommode admirablement de la République. La République l’a déchargée d’une partie de son magistère et elle s’en trouve infiniment soulagée. Elle a choisi définitivement son camp. Elle s’est même laïcisée. […] Ce n’est pas, ce ne sera plus une Eglise rebelle. Elle a pris acte – et que faire d’autre ? – que la France n’est plus chrétienne et que  la “fille aînée de l’Eglise” a coiffé le bonnet phrygien, catholiques compris, à commencer par les plus zélés, ceux qui étaient naguère votre soutien naturel.

     
    Source : lesalonbeige
  • France : Des citoyens pro-Frexit verbalisés

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Une équipe de la Brav-M, constituée d'une vingtaine de binômes à moto, a procédé à la verbalisation d'une dizaine de personnes, dont certaines défendent le Frexit. Elles étaient réunies devant une annexe parisienne de la Commission européenne. Comme a pu le constater une équipe de RT France sur place, une dizaine de personnes ont été verbalisées le 13 juin alors qu'elles s'étaient retrouvées devant des locaux parisiens de la Commission européenne afin de dénoncer la politique «mortifère» de l'institution.

    En plus des neuf contraventions de 135 euros adressées aux participants, deux reporters de terrain du Média pour tous ont également été verbalisés, faute d'avoir pu présenter une carte de presse. L'opération policière a mobilisé un nombre d'agents largement supérieur à celui des citoyens réunis pacifiquement : près de 20 binômes à moto faisaient partie de l'équipe d'intervention.

    Un des participants a confié à RT France le mot d'ordre qui avait circulé en amont de ce rendez-vous dans le VIIe arrondissement de la capitale, expliquant qu'il n'avait pas fait l'objet d’une déclaration préalable à la mairie ou la préfecture. Quand je manifeste pour la France, pour la patrie, je suis verbalisée ! «L'idée était de dénoncer le fait que l'UE et notre gouvernement ont pris des décisions qui ont fait des ravages», détaille-t-il, avant d'évoquer «la destruction de pans entiers de l'économie et de l'industrie françaises». «Nous n'avons pas fini d'en subir les conséquences», a-t-il estimé encore. Même discours tenu sur place par Fati, autre participante, dont un court extrait vidéo a été partagé après l'intervention policière.

     

    [...]

    RT via lesobservateurs

  • La carte mondiale des manifestations liées à George Floyd est parlante

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Cette carte (issue de Wikipedia) indique les manifestations recensées avec plus de 100 participants suite à la mort de George Floyd (consécutive à une arrestation sans rapport connu avec le racisme à ce jour).
    Elle dément les propos de l’inénarrable Castaner, qui invoquait une « émotion mondiale ».
    En fait, les 3/4 de la planète s’en moquent.
    Et l’agitation concerne les zones où les gauchistes sont actifs, cornaquant une partie de la population immigrée.

     

    Source : contre-info

  • Esclavage : 12 choses méconnues. Attention au choc !

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    L’excellente revue d’études et de formation politique L’Héritage (abonnez-vous y !)  publie cet excellent rappel :

    On parle beaucoup de l’esclavage, dans les médias, à l’école, dans les cénacles politiciens, dans des manifestations même.

    Mais a-t-on une vision complète et réaliste de ce terrible phénomène ?

    Voici 12 réalités qui sont ignorées par la plupart des gens, même ceux qui parlent le plus d’esclavage.
    Ces vérités dérangeraient-elles une idéologie en particulier ou un agenda politique ?

    1) L’esclavage a été pratiqué très longtemps et presque partout ; mais son abolition est apparue dans le monde européen, sous la pression de l’Eglise catholique particulièrement.

    2) L’esclavage a constitué un progrès chez de nombreux peuples primitifs dans la mesure où, auparavant, en cas de conflit, les hommes vaincus étaient massacrés (les femmes étant « mariées » de force).

    3) Aux Etats-Unis, au moment de la Guerre de Sécession, seuls 2% des Blancs possédaient des esclaves (4,8% dans les Etats esclavagistes).

    4) Le général Lee, commandant des armées sudistes, était hostile à l’esclavage.

    5) De nombreux Blancs furent esclaves aux Etats-Unis et dans les îles. En 1640, dans les plantations de canne à sucre des Iles de La Barbade, 21 700 blancs sont recensés sur 25 000 esclaves. De 1609 à 1800, près des deux tiers des Blancs arrivent en Amérique comme esclaves.
    Au XVIIe siècle, il y eut davantage de Blancs déportés aux Amériques que de Noirs.

    6) Des Afro-américains possédaient eux aussi des esclaves. L’un des premiers propriétaires d’esclaves aux Etats-Unis fut un Noir (Anthony Johnson), qui avait d’ailleurs des serviteurs blancs.

    7) Le mot « esclave » vient du nom « Slave », car les peuples slaves (d’Europe centrale et de l’Est) ont été victimes de la traite à très grande échelle (plusieurs millions) pendant des siècles, notamment par l’Empire ottoman.

    8) Du IXe au XIXe siècles, environ 2 millions d’Européens de l’Ouest – hommes, femmes et enfants – sont capturés par les musulmans et réduits en esclavage.
    Pendant des siècles, de nombreux hommes capturés sont – comme dans le cas des Slaves – castrés, opération qui entraîne la mort d’une grande partie d’entre eux. Quant aux femmes, elles sont souvent destinées à l’esclavage sexuel et livrées à la perversité de leurs « propriétaires », ce qui est parfois aussi le cas des enfants.
    Pour donner une idée de l’ampleur de ces razzias, une lettre du 3 février 1442 adressée par un religieux qui résidait à Constantinople au prieur de Saint-Jean-de-Jérusalem (de l’ordre des hospitaliers) mentionne l’enlèvement par les Turcs de 400 000 chrétiens en seulement 6 ans.

    9) Pendant des siècles, les Barbaresques (occupant le Maghreb) terroriseront la Méditerranée et ses rivages où ils capturent des Européens, mais ils séviront aussi en Atlantique, jusqu’aux côtes anglaises. La France a conquis Alger, en 1830, pour mettre fin à ce fléau.

    10) C’est à l’intérieur de l’Afrique même que l’esclavage a eu le plus d’ampleur ; les Noirs s’y esclavagisaient entre eux.
    • La traite interne à l’Afrique a concerné environ 17 millions de personnes.
    • La traite arabo-musulmane a concerné environ 14 millions de personnes.
    • Enfin, en dernière position, la traite vers l’Amérique et les îles a concerné de 9 à 11 millions de personnes (noires et blanches).

    11) Pour la traite transatlantique, une très grande partie des navires négriers appartenaient à des familles juives, étaient commandés par des Juifs et « ce commerce était principalement une entreprise juive » I d’après les historiens (juifs)Au milieu du XIXe siècle, aux Etats-Unis, 40% des Juifs possédaient des esclaves (contre 2% des Blancs).
    Dès le IXe siècle, en France, les Juifs étaient communément montrés comme les maîtres de ce « malheureux trafic ».

    12) L’esclavage existe encore dans certaines parties du monde arabo-musulman (des images de marchés aux esclaves ont été prises en Libye en 2017) ainsi qu’en Afrique : on estime que près de 40 millions de personnes dans le monde vivent encore en esclavage…
    Mais il existe aussi en Europe : aux Pays-bas, chaque année, plus d’un millier de jeunes filles sont victimes d’exploitation sexuelle par des jeunes proxénètes issus de l’immigration ; en Angleterre, dans la seule ville de Rotherham, entre 1997 et 2013, 1400 mineures ont été victimes de viols par des gangs pakistanais, des centaines de jeunes filles réduites à l’esclavage sexuel et à la prostitution.

    Henri Ménestrel

    Bonus :
    Christiane Taubira, montrant que les élites savent certaines choses mais veulent les cacher par idéologie, explique qu’il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabe-musulmane pour que les « jeunes Arabes » « ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006).

    Sources :
    La désinformation autour de l’esclavage, Arnaud Raffard de Brienne, Atelier Fol’Fer.
    Le Génocide voilé, Tidiane N’Diaye, Gallimard.
    La désinformation autour de la Guerre de Sécession, Alain Sanders, Atelier Fol’Fer.
    Les Négriers en terre d’islam, Jacques Heers, Perrin.
    (I) New world Jewry, Seymour B. Liebman (American jewish historical society), 1982.
    Jews and judaism in the United States, Marc Lee Raphael (American jewish historical society).
    They Were White and They were Slaves, Michael A. Hoffman

  • Des développeurs veulent débarrasser le code informatique de termes jugés racistes

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Par  le 14/06/2020

    Jugées racistes, des expressions comme « master » et « slave » sont dans le collimateur de bon nombre de développeurs, qui souhaitent les voir disparaître du code informatique. Le changement, cosmétique en apparence, divise profondément le secteur.

    Après l’écriture inclusive, le code inclusif. Alors que des manifestations et émeutes s’enchaînent aux États-Unis pour lutter contre les discriminations raciales et que le mouvement Black Lives Matter prend chaque jour un peu plus d’ampleur, un débat est venu susciter de vives prises de position dans la communauté informatique: bannir, ou non, du développement de logiciels et du code des expressions jugées clivantes, à l’image de « whitelist » (liste blanche), « blacklist » (liste noire), mais surtout de « master » (maître) et « slave » (esclave).

    « Il est clair que certaines personnes sont blessées par ces termes et que leur utilisation suscite chez elles un sentiment de malaise, non pas pour des raisons techniques, mais en raison de leur contexte historique et social« , considérait tout récemment Google, en estimant qu’il s’agissait d’arguments suffisants pour les faire disparaître. « Master-slave est une métaphore oppressive qui ne sera et devrait jamais être totalement détachée de notre histoire« , soulignait tout récemment un développeur de Microsoft, qui appelle à leur remplacement. […]

    Sur quatre développeurs sollicités, aucun n’indique néanmoins avoir au cours de sa carrière été confronté à un confrère heurté par ces expressions. « C’est encore, et j’en fais malheureusement partie, une discussion de blancs privilégiés qui essaient d’inclure un peu plus les personnes discriminées dans la terminologie« , note l’un d’entre eux. […]

    bfmtv via fdesouche