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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1993

  • 30 mai… 1431 : mort de Sainte Jeanne d’Arc ; son cœur resté intact miraculeusement, après le bûcher

    Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2020

    Ce jour est la fête religieuse de Sainte Jeanne d’Arc.
    En effet, elle mourut brûlée vive un 30 mai, sur la place du Vieux Marché à Rouen. Elle avait préalablement demandé une croix, de l’eau bénite, et invoqué Saint Michel, puis sainte Catherine, qui jadis lui étaient apparu. Elle cria à plusieurs reprises : « Jésus ! Jésus ! ».
    Elle n’avait que 19 ans. Béatifiée en 1909, elle fut canonisée par Benoît XV le 9 mai 1920.

    D’après les témoignages le cœur de la sainte fut l’objet d’un miracle : dans l’impossibilité de le consumer, le bourreau l’a jeté dans la Seine.

    Concernant sa mort et ce fait, voici la déposition de frère Isambard de la Pierre, dominicain ayant assisté aux événements :

    « A son dernier jour, Jeanne se confessa et communia. La sentence ecclésiastique fut ensuite prononcée. Ayant assisté à tout le dénouement du procès, j’ai bien et clairement vu qu’il n’y ut pas de sentence portée par le juge séculier. Celui-ci était à son siège, mais il ne formula pas de conclusion. L’attente avait été longue. A la fin du sermon, les gens du roi d’Angleterre emmenèrent Jeanne et la livrèrent au bourreau pour être brûlée. Le juge se borna à dire au bourreau, sans autre sentence : « Fais ton office ! »

     

    Frère Martin Ladvenu et moi suivîmes Jeanne et restâmes avec elle jusqu’aux derniers moments. Sa fin fut admirable tant elle montra grande contrition et belle repentance. Elle disait des paroles si piteuses, dévotes et chrétiennes que la multitude des assistants pleurait à chaudes larmes. Le cardinal d’Angleterre et plusieurs autres Anglais ne purent se tenir de pleurer ; l’évêque de Beauvais, même lui, versa quelques pleurs.

    Comme j’étais près d’elle, la pauvre pucelle me supplia humblement d’aller à l’église prochaine et de lui apporter la croix pour la tenir élevée tout droit devant ses yeux jusqu’au pas de la mort, afin que la croix où Dieu pendit, fût, elle vivante, continuellement devant sa vue.

    C’était bien une vraie et bonne chrétienne. Au milieu des flammes, elle ne s’interrompit pas de confesser à haute voix le saint nom de Jésus, implorant et invoquant l’aide des saints du paradis. En même temps elle disait qu’elle n’était ni hérétique, ni schismatique comme le portait l’écriteau. Elle m’avait prié de descendre avec la croix, une fois le feu allumé, et de la lui faire voir toujours. Ainsi je fis.
    A sa fin, inclinant la tête et rendant l’esprit, Jeanne prononça encore avec force le nom de Jésus. Ainsi signifiait-elle qu’elle était fervente en la foi de Dieu, comme nous lisons que le firent saint Ignace d’Antioche et plusieurs autres martyrs. Les assistants pleuraient.

    Un soldat anglais qui la haïssait mortellement avait juré qu’il mettrait de sa propre main un fagot au bûcher de Jeanne. Il le fit. Mais à ce moment, qui était celui où Jeanne expirait, il l’entendit crier le nom de Jésus. Il demeura terrifié et comme foudroyé. Ses camarades l’emmenèrent dans une taverne près du Vieux-Marché pour le ragaillardir en le faisant boire. L’après-midi, le même Anglais confessa en ma présence à un frère prêcheur de son pays, qui me répéta ses paroles, qu’il avait gravement erré, qu’il se repentait bien de ce qu’il avait fait contre Jeanne, qu’il la réputait maintenant bonne et brave pucelle ; car au moment où elle rendait l’esprit dans les flammes il avait pensé voir sortir une colombe blanche volant du côté de la France.

    Le même jour, l’après-midi, peu de temps après l’exécution, le bourreau vint au couvent des frères prêcheurs trouver frère Martin Ladvenu et moi. Il était tout frappé et ému d’une merveilleuse repentance et angoissante contrition. Dans son désespoir il redoutait de ne jamais obtenir de Dieu indulgence et pardon pour ce qu’il avait fait à cette sainte femme : « Je crains fort d’être, damné, nous disait-il, car j’ai brûlé une sainte ».

    Ce même bourreau disait et affirmait que nonobstant l’huile, le soufre et le charbon qu’il avait appliqués contre les entrailles et le coeur de Jeanne, il n’avait pu venir à bout de consumer et réduire en cendres ni les entrailles ni le coeur. Il en était très perplexe, comme d’un miracle évident. »

    Et cet extrait de la déposition de Jean Massieu, huissier :

    « Accompagnée de frère Martin, Jeanne fut conduite et liée, et jusqu’au dernier moment elle continua les louanges et lamentations dévotes envers Dieu, saint Michel, sainte Catherine et tous les saints.
    En mourant, elle cria à haute voix : Jésus !

    Je tiens de Jean Fleury, clerc et greffier du bailli, qu’au rapport du bourreau, le corps étant réduit en cendres, le coeur de Jeanne était resté intact et plein de sang.
    On donna ordre au bourreau de recueillir tout ce qui restait de Jeanne et de le jeter à la Seine, il le fit. »

    Source via contre-info

    La dernière communion de Sainte Jeanne d'Arc

  • Le Parti de la France renouvelle son soutien à Valérie Laupies

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2020

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    Thomas Joly
     
    @ThomasJoly60
     
    #Municipales28juin : Le Parti de la France renouvelle son soutien à Valérie Laupies, candidate de la droite nationale à #Tarascon. Sans la candidature-parasite d'un candidat #RN, Valérie Laupies l'aurait emporté dès le 1er tour
     
     
  • Valence (26). Nuit de violences urbaines

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2020

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    4H20 : La nuit du jeudi 28 au vendredi 29 mai a été particulièrement agitée dans le quartier Fontbarlettes à Valence.

    À partir de minuit, des conteneurs poubelles ont été incendiés et déposés au milieu de la chaussée. Sur place, pour sécuriser les interventions des sapeurs-pompiers, les policiers ont été visés par des projectiles. Le centre Brel, qui abrite les bureaux de Valence Romans agglo et de la Ville de Valence, a été la cible d’un cambriolage. Un bureau aurait également été incendié.

    (…) Le Dauphiné – Merci à Arthurin

  • IL FAUT SORTIR DE LA CEDH !

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2020

    POSTÉ LE MAI 26, 2020, 11:20

    La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) coexiste avec la Cour de Justice européenne à Strasbourg.

    Si l’existence de la seconde se justifie dans une instance internationale structurée avec des règles communes précises, il n’en est pas de même de la première.

    La CEDH n’est pas une émanation de l’UE en tant que telle.

    Elle se réfère à la Déclaration universelle des droits de l’homme, proclamée par l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948.

    Le pouvoir de ses juges est immense car son action prend la forme vague de défense des droits de l’homme, des libertés, de la lutte contre le réchauffement climatique, des lois de bioéthique, etc.

    Dans les faits, elle défend la mondialisation, l’abolition des frontières, l’immigration, l’euthanasie, l’avortement, les LGBT, la légalisation de la drogue, la notion de blasphème, etc.

    Elle se compose de 47 États membres.

    On y retrouve tous les pays de l’UE, mais aussi 20 autres pays dont certains à la légitimité douteuse, soit en raison de leur implantation géographique extra-européenne (Azerbaïdjan, Turquie, Géorgie, Ukraine), soit en raison de leur taille lilliputienne (San Marin, Liechtenstein, Andorre), soit en raison de leur appréciation approximative de la démocratie (Monténégro, Moldavie, Turquie, Azerbaïdjan), soit un cocktail de tout cela.

    Il y a un juge par État, quelle que soit sa taille ou sa population.

    La CEDH est efficacement noy­autée par des associations liées financièrement ou idéologiquement à l’« Open Society Foundation » (OSF) du milliardaire mondialiste Soros qui manipule directement ou indirectement nombre de ses juges issus de diverses ONG, dont 7 ou 8 majeures lui sont inféodées.

    La cour peut être saisie par presque n’importe qui, n’importe quel organisme ou association, n’importe quel État ou groupe de pression – dont les ONG, qui ne s’en font pas faute, très souvent avec succès.

    Et ce n’est pas qu’une réunion de philosophes et d’idéalistes discourant sur les moyens de parvenir à un monde paradisiaque.

    Elle prend des décisions, en se référant donc à des textes imprécis, sujets à interprétation.

    C’est presque une cour suprême. En près d’un demi-siècle, la juridiction a rendu plus de 10 000 arrêts.

    Ses décisions, qui font souvent jurisprudence, sont obligatoires et les États concernés sont conduits à modifier leur législation ou leur pratique administrative pour s’y conformer.

    La France y obéit. Donc, parfois, nous obéissons à des décisions influencées par la Turquie ou l’Azerbaïdjan.

    La CEDH n’est pas représentative, mais a un pouvoir quasi discrétionnaire sur les pays constituant l’UE.

    C’est un obstacle considérable à la mise sur pied d’une politique identitaire et migratoire efficace.

    L’Europe doit s’en débarrasser ou nous devons la quitter.

    C’est impératif.

    Qu’on ne dise pas que ce retrait est impossible. La France n’a signé son adhésion qu’en 1974 et n’a autorisé ses résidents à y faire appel qu’en 1981.

    Un retour en arrière est donc possible.

     

    Source : les4verites

  • Prison de Seysses : une intervention « gravissime et spectaculaire »

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2020

     
    surpopulation prisonImage d'illustration.

    Lundi 25 mai dans la soirée, les agents pénitenciers de la prison de Seysses en poste ont dû maîtriser un forcené dans sa cellule. L’individu a retourné l’arme contre lui mais a pu être sauvé. 

    C’est un récit glaçant mais qui illustre la dureté de l’univers carcéral pour les agents pénitenciers. Lundi 25 mai, vers 21h15, le syndicat Force ouvrière pénitentiaire rapporte une intervention « gravissime et spectaculaire », dans la prison de Toulouse-Seysses. 

    Selon le communiqué, un détenu retranché dans sa cellule et armé « d’un poinçon maison » souhaitait « en découdre avec du bleu », à savoir des matons. Après avoir vandalisé sa cellule, détruisant les armoires comme les toilettes, l’individu a attendu l’arrivée des agents pour s’en prendre à eux. 

    Une intervention sous haute tension

    « Le gradé de nuit a avisé la direction de permanence ainsi que l’officier », raconte le syndicat qui précise que seul l’officier s’est rendu sur place dans un premier temps. Trois surveillants ont alors décidé de s’équiper pour aller chercher le forcené. 

    Lire aussi : Banderoles : quand la critique du pouvoir vous mène en garde à vue

    Durant l’intervention, « l’agent bouclier essuie des lancés de tout objet » de la part du prisonnier, « essuyant des assauts de sa part pour toucher les collègues », raconte le communiqué. Pendant ce temps, les deux autres agents « déménagent » la cellule, à savoir la range un minimum pour pouvoir intervenir dans les meilleures conditions. 

    Alors que les agents étaient sur le point de maîtriser le forcené pour le conduire au quartier disciplinaire, celui-ci se donna « un coup de poinçon au niveau de la gorge », indique FO. Un changement de comportement inévitable pour les agents pénitenciers, qui de l’intervention musclée doivent désormais agir en soignants. Ils procéderont aux premiers soins avant l’arrivée des secours. L’homme a pu être sauvé et conduit à l’Unité hospitalière sécurisée interrégionale (UHSI). 

     

    Source : infos-toulouse