Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2020

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Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2020
Publié par Guy Jovelin le 14 main 2020
Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2020
L’information est rapportée par Infos Bordeaux : Daniel Ambry, délégué diocésain pour les relations avec les musulmans, a écrit dans une déclaration parue sur le site du diocèse de Bordeaux :
« Pendant le ramadan, traditionnellement, les mosquées de Pessac, Mérignac, Talence et Grand-Parc invitent des étudiants isolés, des jeunes sans-papiers qui fréquentent la mosquée et des familles particulièrement démunies, à partager le repas du soir à la rupture du jeûne de ramadan (Ftour). Mais comme vous l’imaginez le confinement rend cela impossible cette année. C’est la raison pour laquelle les 4 mosquées ont proposé de distribuer à la place des colis alimentaires pour répondre à l’attente et aux besoins de ces jeunes. Cela va représenter pour elles une charge importante.
L’association Solidarité Nord Sud est déjà intervenue mais a besoin de votre aide pour répondre à cette demande vitale. Nous avons pensé qu’un appel à la solidarité, adressé spécialement aux frères chrétiens et repris par eux, serait un gage supplémentaire de notre commune recherche de fraternité dans un moment délicat pour beaucoup de jeunes étudiants, isolés et sans ressource.
Nous vous proposons de répondre ensemble à cette urgence, en versant votre contribution sur le compte de l’association Solidarité Nord Sud, qui la reversera à la caisse commune des mosquées en charge de ce service d’entraide. L’association, en votre nom, signifiera cette complémentarité fraternelle, facteur de compréhension réciproque et promesse de paix dans notre quotidien ».
Connu pour avoir invité en 2017 le sulfureux imam de Mérignac, Hassan Belmajdoub, à l’Église de la Trinité pour une conférence intitulée « La rencontre de l’autre en toute sincérité », Daniel Ambry ne semble pas s’apercevoir qu’il introduit l’impôt des dhimmis, la jizya, que les non musulmans doivent verser aux musulmans. Le tribut (jizya) est toujours vivant dans l’esprit des musulmans et constitue la marque de la primauté et de la domination de l’islam sur les non-musulmans. Les exégèses publiées après la moitié du XIXe siècle jusqu’à ce jour en parlent toujours, sans jamais évoquer son abolition; qui plus est, elles lui trouvent des justifications nouvelles plus ou moins adaptées à notre temps. D’autre part, plusieurs déclarations prônent sa réintroduction. En outre, elle figure dans des projets de constitution de mouvements islamistes, et elle a fait l’actualité avec sa réintroduction par Daesh.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2020
N’y a-t-il pas un risque trop important pour la sécurité publique ? Londres a été frappé deux fois ces derniers mois par des condamnés pour terrorisme, ce qui a remis sur le devant de la scène la question de la récidive, note une étude parue dans Sentinel, revue du Centre de lutte contre le terrorisme (CTC) de l’Académie militaire de West Point..
LaLibre.be via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2020
Il livrait essentiellement ce qu’on appelle les « beaux » quartiers. (…) Un Toulousain de 19 ans vient d’être jugé par le tribunal correctionnel suite à un trafic de stupéfiants à l’œuvre entre novembre et février, (…) l’un des premiers « Uber coke » arrêté dans la Ville rose.
Le 6 février, à l’occasion de l’une de ses transactions (…) il a refusé d’obtempérer aux sommations des forces de l’ordre. Dans sa fuite, il a percuté le véhicule sérigraphié et un fonctionnaire a été blessé. Le jeune livreur sera finalement interpellé quelques jours plus tard chez sa mère. Lors d’une perquisition menée chez son ex-compagne, 115 g de poudre et 2700 € ont été saisis.
« Il est regrettable qu’on n’ait pas testé la drogue car à ce prix-là, je ne suis pas certain qu’elle était d’une qualité fantastique« , relève Me Pierre Le Bonjour, avocat de la défense. Pour lui, pas de doute, son client n’est pas un trafiquant : « Il n’en a pas les codes. C’est un jeune qui voulait juste briller en société et côtoyer une population à laquelle il n’avait pas forcément accès dans son quartier« .
Mais entre le refus d’obtempérer, les violences sur le policier blessé et les stupéfiants, la procureure a requis 2 ans de prison avec maintien en détention. Il est finalement condamné à la moitié.
La dépêche via fdesouche