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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2102

  • Mont-de-Marsan : un migrant « mineur isolé » blesse 3 policiers lors d’un contrôle d’identité

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2020

    Par  le 20/02/2020

    Les policiers du commissariat de Mont-de-Marsan dans les Landes ne s’attendaient sûrement pas à cet accueil au moment de se rendre ce lundi à l’hôtel du département. Appelés pour des troubles causés par un mineur non accompagné d’origine guinéenne, ils décident d’opérer dans un premier temps un contrôle d’identité…

    C’est à ce moment-là que les choses dégénèrent. Le jeune homme se rebelle, les trois policiers tentent alors de le menotter mais il se débat et finit par les blesser, rapporte Sud Ouest. L’un d’eux a utilisé son taser pour le maîtriser.

    […]

    20 Minutes via fdesouche

  • Tuerie d'Hanau: un coupable, des responsables.

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2020

     

    Ne tentons de nous réfugier ni dans l'habileté sémantique ni dans la manœuvre sémiologique. Ce serait dérisoire et vide de sens.

    La double tuerie de Hanau est bien un acte terroriste comme en entraînent toujours les guerres de civilisation. Aux yeux des chrétiens et vieux européens que nous sommes, l'action aveugle est toujours une voie sans issue.

    Mais la responsabilité première de ce massacre incombe aux organisations mondialistes, aux apprentis sorciers de la finance internationale et aux dirigeants occidentaux — singulièrement aux gouvernements européens de droite comme de gauche — qui ont voulu l'immigration, encouragé le communautarisme venu d'ailleurs, imposé le "vivre ensemble" et permis l'islamisation de notre continent sans en prévoir les conséquences destructrices.

    "Plus jamais cela", nous répètera-t-on à l'infini et à juste raison dans les prochains jours.

    Non, plus jamais cela !

    Le seul moyen d'empêcher que de tels actes se reproduisent est que les Etats prennent les mesures nécessaires pour en finir avec l'immigration de peuplement.

    Autrement dit que les forces nationales accèdent enfin aux responsabilités du pouvoir.

    Jean-François Touzé.
    Délégué général du Parti de la France.

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  • Une justice rapide pour Griveaux, très lente pour les autres

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2020

    Il ne fait décidément pas bon être agriculteur en France actuellement. Certes, le métier a toujours été difficile et certes, l’exode rural n’a rien arrangé. Mais ces dernières années, tout semble concourir à en faire un véritable sacerdoce.

    Au delà de l’actuel « agribashing » largement favorisé par l’hystérie d’un écologisme mal digéré, il y a, bien sûr, l’administration qui n’en finit pas d’ajouter des insultes aux injures par le truchement de ses petits cerfas mal conçus, de ses pléthores de normes de plus en plus complexes, de ses pointilleux contrôles sanitaires et de sa tendance à toujours considérer l’administré comme un filou qu’il convient de mater. Et si, bien sûr, toutes les professions doivent subir le joug de l’Occupant Intérieur lorsqu’il vient vérifier que les i sont bien pointés et les t sont bien barrés, qu’il vient distribuer des amendes et collecter les taxes, cotisations et impôts divers, les agriculteurs doivent de surcroît composer avec le décalage de plus en plus frappant entre les attentes de l’Occupant, ce qu’il réclame comme taxes et impôts, et le service rendu en échange.

    Rien n’illustre mieux ce décalage qu’une récente affaire s’étant déroulée dans la Marne, à Ambrières. C’est dans cette commune qu’exerce Jean-Louis Leroux en tant qu’éleveur bovin, et c’est aussi là qu’il a été arrêté et mis en détention provisoire après avoir blessé grièvement à coup de fusil un jeune de 19 ans qui était en train de lui voler du carburant, en pleine nuit.

    Si l’on peut assez facilement expliquer que notre éleveur se retrouve en cellule après avoir ainsi fait usage d’une arme à feu sur un simple voleur, on devra nettement mâtiner cette explication d’une mise en contexte qui laisse pantois.

    En effet, l’agriculteur ne subissait pas là son premier vol, ce qui aurait immédiatement classé sa réaction comme particulièrement inappropriée. En réalité, il s’agissait plutôt du quarantième (voire cinquantième) d’une série s’étalant jusqu’en 2015, soit une moyenne d’un vol tous les mois et demi depuis cinq ans. Plus à propos que cette statistique déjà fort inquiétante, on apprend que notre agriculteur avait auparavant porté plainte à une trentaine de reprises.

    L’affaire exposée, on ne pourra s’empêcher de noter le délicieux décalage entre la mise en détention provisoire de notre agriculteur à la suite de son coup de fusil (dans les heures qui suivirent, donc) et l’absence compacte de toute mesure suite aux 30 plaintes et 40 à 50 vols précédents.

    Au moins, la justice française montre ici son efficacité à s’occuper des gens honnêtes, ceux qui ne fuient pas leurs responsabilités et qui s’attendent à recevoir un service en échange de leur comportement civique normal. En revanche, lorsqu’il s’agit d’aller attraper les voleurs de carburant multirécidivistes, ceux qui ne se laisseront pas amener sans s’agiter, on s’étonnera de l’impact particulièrement faible de la justice française, notamment dans les campagnes où tout semble plus difficile, plus complexe, plus inatteignable.

    N’écartons pas non plus l’importance de ceux qui portent plainte : un éleveur lambda peut bien déposer trente plaintes, cela ne signifie pas qu’on s’occupera de son cas. En revanche, s’il s’agit d’un ancien président de la République, une plainte est amplement suffisante non seulement pour diligenter une enquête, mais aussi pour retrouver le coupable et, lorsqu’il s’avère être en situation irrégulière sur le territoire, pour l’en expulser bien vite : un cambriolage chez François Hollande mobilise manifestement plus de moyens de notre administration que cinquante chez Jean-Louis Leroux.

    Devra-t-on évoquer la rapidité avec laquelle ont été diligentés les enquêtes et prises les dispositions pour coffrer un « réfugié politique russe » et « sa compagne » suite à ce qui est, depuis quelques jours, devenu le GriveauGate ? Et dans la foulée, devra-t-on revenir sur les propos du député Bruno Questel qui, à la suite de cette affaire, réclame maintenant à cors et à cris que soit à son tour expulsé ce vilain russe séditieux ?

    Peut-être devra-t-on, oui.

    Notamment pour rappeler à ce même député que des douzaines de « réfugiés » ont fait largement pire sur notre territoire sans jamais avoir été expulsés.

    Notamment pour rappeler qu’avant de s’occuper avec autant de moyens des pathétiques affaires de quéquette d’un Benjamin Griveaux qui n’avait, jusque là, jamais brillé par son intelligence ou sa valeur ajoutée au pays, il serait amplement nécessaire de s’occuper plutôt de toutes les autres affaires où vols, viols, voies de faits, atteintes aux biens et aux personnes graves ont été perpétrées et qui provoquent bien plus de dégâts que les consternantes révélations sur ce candidat LREM dont l’avenir vers le néant sans intérêt semblait déjà tracé de toutes façons.

    Notamment pour rappeler que la justice de ce pays devrait être, dans son traitement, aussi égalitaire que possible et qu’on en est loin, très loin. Que cette justice est pourtant du domaine du régalien, c’est-à-dire le cœur même des fonctions de base d’un État fonctionnel. Qu’avec cette justice, un État fonctionnel doit aussi assurer la protection et la sécurité des citoyens… Et qu’en cette matière, eh bien c’est un échec lamentable, surtout ces derniers mois.

    Mais le comble de cette affaire réside dans la cause principale de ces vols dont sont victimes ces agriculteurs : non seulement ces vols de carburant sont permis par le laxisme de plus en plus évident (et dramatique) que s’autorise l’État en terme de sécurité dans les campagnes – dernier des soucis des élites en responsabilité actuellement, mais aussi parce que l’accroissement des taxes de tous ordres rend ce carburant artificiellement cher, donc désirable… Taxes dont une des raisons d’être est de permettre la perpétuation du train de vie de l’Occupant intérieur, cette élite et son administration déconnectée des réalités de terrain, alors que cette insécurité dont il n’a que faire (car il n’est pas directement concerné) coûte, chaque année, 5% de PIB de façon indirecte pour la défiance qu’elle entraîne, et 115 milliards d’euros par an pour les coûts directs de la criminalité et de la délinquance (5,6% du PIB supplémentaire).

    Eh oui : avec plus de 10% du PIB rognés, on comprend que l’Occupant Intérieur doive sévèrement augmenter les ponctions pour tenir son standing !

    Devant ce constat et comme l’analyse Alain Bauer, professeur de Criminologie, on ne devra pas s’étonner de la montée de ces faits divers et de la tentation, de plus en plus grande, pour les citoyens de faire justice eux-mêmes.

    Pas dit que l’Occupant Intérieur y échappe.

     

    Source : ndf

  • Fermeture de la centrale de Fessenheim

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2020

    La fermeture de la centrale de Fessenheim est un gage donné par le pouvoir au totalitarisme vert. Le Premier ministre, Édouard Philippe, l'avoue : "cette fermeture est une première étape vers le rééquilibrage en faveur des énergies renouvelables".

    Rappelons le prix énergétique de cette "transition écologique" imposée par l'idéologie dominante: une hausse constante du prix de l'électricité depuis 2013, + 1,23 % en juin 2019, + 2,4 % en février 2020, en attendant la prochaine augmentation déjà programmée. Sans parler du coût social de l'abandon de nos centrales.

    L'énergie nucléaire est non seulement propre, non productrice de carbone, génératrice d'emplois, mais elle est aussi bon marché. Elle est enfin un atout majeur de notre indépendance nationale.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du Parti de la France.

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  • A Mulhouse, Macron prononce son discours de la méthode rustine pour sauver le « vivre ensemble »

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2020

    18 Février 2020, 19:12p

    Publié par Thomas Joly

    Par un paradoxe d'apparence, c'est Mulhouse, ville emblématique de l'islamisation de la France puisqu'elle abrite la mosquée-cathédrale An-Nour gérée par des proches des Frères musulmans, que Macron, a choisi pour inaugurer sa séquence « laïciste ».

    En se contentant de déplorer les maux du « communautarisme » (terme équivoque car tous les communautarismes ne se valent évidemment pas) et du « séparatisme » (ce qui suppose une appartenance préalable), au lieu de désigner clairement les menaces que fait peser sur la France l'offensive multimodale et polymorphe menée par l'islamisme, Emmanuel Macron a tenté, dans une intervention aussi incantatoire que décalée, de dissimuler son impuissance à faire face. Il a surtout peiné à légitimer, par avance, les seules mesurettes que ce régime décomposé soit encore vaguement capable de prendre, un énième « plan de lutte contre la radicalisation » dont l'annonce sera faite dans une dizaine de jours mais que chacun connaît déjà : renforcement de la laïcité, contrôle des fonds cultuels venus de l'étranger et organisation du culte musulman. Ce n'est pas un plan de combat contre l'islamisme, tout au plus un garde-fou contre ses effets les plus criants. C'est surtout une méthode de rafistolage du « vivre ensemble ».

    Ces dispositions légales ou réglementaires, en admettant même qu'elles soient un jour réellement appliquées, relèveraient de la politique de la rustine et aboutiraient, au final, à l'institutionnalisation définitive du salafisme et des Frères musulmans. Ce n'est ni l'abstraction communautariste, ni le trompe-l'œil séparatiste — concepts totalement étrangers aux organisations concernées qui visent bien plus haut et bien plus loin— qu'il s'agit de combattre, mais la réalité opérationnelle de la main mise sur des pans entiers de notre territoire par l'islam politique mais aussi par les caïds des cités dans un partage consenti et organisé des quartiers, dans l'intérêt bien compris de chacune des parties.

    Une phrase devra être retenue de ce déplacement. Elle sonne comme un aveu : « Face au communautarisme, la République doit tenir ses promesses car, quand elle ne le fait pas, d'autres cherchent à la remplacer (...) Il faut lutter contre les discriminations ». Autrement dit, pour Macron, la menace ne vient pas de ceux qui veulent imposer la charia, mais de la réaction populaire qui pourrait en découler.

    Pour le Parti de la France, seule une politique menée d'une main de fer, d'arrêt immédiat et total de l'immigration dans ses composantes légales (immigration de travail et regroupement familial) comme dans ses filières clandestines ou liées au droit d'asile, suivie d'un vaste chantier de retour systématique au pays d'origine, couplée avec la mise en œuvre d'un nouveau code de la nationalité englobant la réforme des procédures de déchéance, et d'une législation d'exception permettant la rétention avant expulsion, pourra permettre à la France de sortir de la spirale mortelle dans laquelle elle s'enfonce, année après année.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France