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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2216

  • Émeutes urbaines: la répétition générale.

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France
     
    Après Issy-Saint-Léger, Champigny-sur-Marne, Étampes, Émerainville, Grigny, Les Mureaux, Mantes-la-Jolie, Trappes, en région parisienne, mais aussi Toulouse ou Béziers, les scènes de guérilla urbaine qui viennent de se dérouler à Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines, ne sont que les premiers feux d'un embrasement général qui viendra tôt ou tard. 
     
    Qualifier, comme vient de le faire le Premier ministre Édouard Philippe, cette flambée de guet-apens contre la police et les pompiers de "violences commises par de petites bandes d'imbéciles et d'irresponsables" relève au mieux du déni, au pire du foutage de gueule.
     
    Dans les deux cas, l'impuissance de l'Etat à maintenir l'ordre en usant, avant qu'il ne soit trop tard, de tous les moyens de répression nécessaires, est criminelle car elle ouvre grand la porte aux prémices d'une guerre qui, pour se dérouler sur notre sol, ne sera pas, pour autant, une guerre civile.
     
    Les bandes ethniques organisées et offensives qui passent désormais délibérément à l'action le font par haine globale et viscérale de la France. Une France qu'ils rêvent de voir à feux et à sang.
     
    Nous n'en sommes encore qu'au stade de la répétition générale. Quand la pièce se jouera il sera trop tard pour regretter de n'avoir pas agi a temps.
  • Incendie à Castres : les voitures étaient-elles piégées pour blesser les pompiers?

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2019
    Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de véhicules cette nuit-là
    Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de véhicules cette nuit-làPhoto DDM, P.B.
    Les pompiers ont déposé plusieurs plaintes suite à leur intervention de la nuit du 27 au 28 octobre. Les véhicules auraient été piégés. "Des dispositifs" auraient été placés dans les voitures afin d’exploser lors des interventions des forces de sécurité, indiquent des représentants syndicaux des sapeurs-pompiers.

    Depuis plusieurs semaines, les pompiers ont dû intervenir à plusieurs reprises à Castres, pour des feux de poubelles et de voitures. Ces incidents ont pour point commun des représailles à des actions de la police et de la justice contre des trafics commis dans ces quartiers. Le maire de Castres Pascal Bugis était sorti de son silence, pour fustiger le «laxisme des services de l’Etat».

    Dans la nuit du dimanche 27 au lundi 28 octobre à Castres (Tarn), dans le quartier de Lameilhé, rue Goya,  quatre voitures et trois poubelles ont été incendiées entre 19h et 0h30, nécessitant de nouveau l’intervention des sapeurs-pompiers. Deux ont été blessés au cours de cette nuit. L’un relativement légèrement, l’autre plus sérieusement, aux tympans, avec 15 jours d’ITTà la clé (interruption totale de travail).

    Plaintes déposées

    Plusieurs plaintes ont été déposées, par les pompiers blessés et le SDIS81 (service départemental d’incendie et de secours). "Les voitures auraient été piégées, avec l’intention de blesser les pompiers", selon Damien Garel du syndicat autonome des pompiers du Tarn (SPP-PATS) et porte-parole de l’intersyndicale CGT. «Il y avait clairement une intention de blesser les intervenants. Ça ne fait aucun doute. Il y avait dans plusieurs véhicules des dispositifs qui n’ont rien à faire dans une voiture, sinon pour blesser des gens», s’insurge le représentant syndical. «Pour les sapeurs-pompiers qui sont intervenus ce soir-là, il n’y a pas de doute : ils ont bien été victimes d’un acte de malveillance.  Les collègues sont particulièrement inquiets».

    L’enquête se poursuit pour retrouver les auteurs

    Si des plaintes ont bien été déposées, c’est l’enquête qui déterminera si ces dispositifs étaient là volontairement pour blesser les sapeurs-pompiers. Entendus par les enquêteurs, les propriétaires des voitures incendiées ont précisé que les engins explosifs, à savoir des bombes aérosols, ne leur appartenaient pas et avaient été placés par un tiers.

    «C’est maintenant à la justice de faire son travail, et nous avons toute confiance. À chaque fois que des collègues sont blessés, la réponse pénale est adaptée, les agresseurs sont toujours sévèrement punis. Encore faut-il bien sûr arrêter les coupables», ajoutait hier Damien Garel.

    Un communiqué du syndicat autonome circule depuis plusieurs jours, demandant aux sapeurs-pompiers en intervention de rester vigilent suite à ces incidents.

     
    Ra. B.
     
     
    Source : ladepeche.fr
  • Oberhaslach (67) : la chapelle de l’ermitage Saint-Florent vandalisée, la statue de Sainte Bernadette décapitée

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2019

    Par  le 03/11/2019

    Une statue de sainte Bernadette, qui se trouvait dans la chapelle de l’ermitage Saint-Florent à Oberhaslach (secteur de Molsheim) a été vandalisée ce dimanche, a indiqué le curé de la paroisse.

    « L’an dernier, nous avions déjà eu un départ d’incendie dans les toilettes de l’ermitage », poursuit le curé, qui penche pour un acte de vandalisme, d’origine locale. « Partout où j’ai officié, j’ai toujours mis un point d’honneur à laisser les églises ouvertes, je ne voudrais pas avoir à les fermer », souligne-t-il.

  • Le réalisateur Christophe Ruggia (initiateur de l’ «Appel de Calais»), accusé d’«attouchements» et de «harcèlement sexuel» sur une actrice alors qu’elle était mineure

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2019

    Par  le 03/11/2019

    L’actrice Adèle Haenel accuse le réalisateur Christophe Ruggia d’«attouchements» et de «harcèlement sexuel»

    La comédienne avait entre 12 et 15 ans à l’époque des faits, révèle Mediapart. Le cinéaste conteste «catégoriquement» les faits.

     

    «Je ne bougeais pas, il m’en voulait de ne pas consentir.» Dans un article publié par Mediapart (article abonnés), dimanche 3 novembre, l’actrice Adèle Haenel accuse le réalisateur Christophe Ruggia d’«attouchements» et de «harcèlement sexuel». A l’époque des faits, elle avait entre 12 et 15 ans.

    «Je suis vraiment en colère, a déclaré à Mediapart la comédienne de 30 ans déjà récompensée par deux césars. Je veux raconter un abus malheureusement banal, et dénoncer le système de silence et de complicité qui, derrière, rend cela possible.» Pour cette enquête, qui a duré sept mois, Mediapart affirme avoir contacté une trentaine de personnes, confortant le témoignage d’Adèle Haenel.

    Le cinéaste «réfute catégoriquement» les accusations

    Adèle Haenel a fait ses débuts au cinéma en 2002 dans le film Les Diables de Christophe Ruggia. «Les rapports qu’entretenait Christophe avec Adèle n’étaient pas normaux. On avait l’impression que c’était sa fiancée, a déclaré à Mediapart Laëtitia, la régisseuse générale du film. On n’avait quasiment pas le droit de l’approcher ou de parler avec elle, parce qu’il voulait qu’elle reste dans son rôle en permanence. Lui seul avait le droit d’être vraiment en contact avec elle. On était très mal à l’aise dans l’équipe.»

    Christophe Ruggia, qui se présente comme le «découvreur» du «grand talent» d’Adèle Haenel a refusé de répondre aux questions de Mediapart. Mais il a fait savoir par la voix de ses avocats qu’il «réfut[ait] catégoriquement avoir exercé un harcèlement quelconque ou toute espèce d’attouchement sur cette jeune fille alors mineure».

    France TV Info via fdesouche

  • Marseille : les quartiers nord, zones à très haut risque

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2019

    […] Les policiers marseillais ont toujours deux images en tête lorsqu’ils partent en opération. Celle de leur patron, Pierre-Marie Bourniquel, «rafalé», selon sa propre expression, dans la cité de la Castellane. Le directeur de la police départementale était en patrouille avec une BAC (brigade anticriminalité), le 9 février 2015, quand il tombe sur un gros deal de drogue. Les trafiquants ouvrent immédiatement le feu, criblant la voiture de balles. Personne ne sera blessé, un miracle!

    Le second épisode extrêmement violent tourne toujours en boucle sur les réseaux sociaux. La scène, filmée depuis un appartement d’une autre cité dure des quartiers nord, la Busserine, remonte au mois de mai 2018. On y voit des policiers mis en joue par des hommes armés de kalachnikov alors qu’ils interviennent sur un plan anti-stups. Le bain de sang est évité parce que les deux équipages, là encore des BAC, gardent leur sang-froid et n’ouvrent pas le feu sur les jeunes qui les menacent. […]

    Le Figaro via fdesouche