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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 2237

  • Testament de Marie-Antoinette, reine de France assassinée par les républicains un 16 octobre

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2019

    Le 16 octobre 1793, à 4h30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth.
    Ce sera son émouvant testament.

    «C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.

    Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants : vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse! J’ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre ; je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra : recevez pour eus deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins.

    Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer : que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur. Que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a elle doit toujours aider son frère par des conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer; que mon fils, à son tour, rende a sa sœur tous les soins, les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union. Qu’ils prennent exemple de nous : combien, dans nos malheurs notre amitié nous a donné de consolation; et dans le bonheur on jouit doublement, quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais, les derniers mots de son père, que je lui répète expressément :  » qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. »

    J’ai à vous parler d’une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine; pardonnez-lui, ma chère sœur ; pensez à l’âge qu’il a, et combien il est facile de l’aire dire à un enfant ce qu’on veut, et même ce qu’il ne comprend pas : un jour viendra, j’espère, où il ne, sentira que mieux tout le prix de vos bontés et de votre tendresse pour tous deux. Il me reste à vous confier encore, mes dernières pensées; J’aurais voulu les, écrire dès le commencement du procès ; mais outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche en a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le ténus.

    Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée ; n’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop, s’ils y entraient une fois, je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans sa bouté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis long-tems pour qu’il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais, et à vous, ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant ; qu’ils sachent, du moins, que, jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours à moi; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfans : mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours. Adieu, adieu, je ne vais plus m’occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre ; mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger. [1]»

     

    Source : contre-info

    References

    1. La reine désigne ici les prêtres « assermentés », c’est-à-dire qui ont prêté le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, condamnée par Rome,  et qui sont considérés comme ne faisant plus partie de l’Eglise catholique.
  • Tizi Ouzou : le pouvoir fermera la plus grande église d’Algérie mercredi

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2019

    Fermeture d'une église en Kabylie par la gendarmerie algérienne
    Fermeture d'une église en Kabylie par la gendarmerie algérienne

    KABYLIE (TAMURT) – La plus grande église en Kabylie et même en Algérie, à savoir celle de la ville de Tizi Ouzou, sera fermée de force par le pouvoir algérien mercredi prochain, 16 octobre. C’est une décision que vient de prendre le pouvoir algérien après toutes ayant précédé celle-ci et qui ont porté sur la fermeture de nombreux autres lieux de cultes chrétiens à Bgayet et Tizi Ouzou.

    La guerre contre les chrétiens d’Algérie est désormais déclarée et se poursuit de manière implacable. Le pouvoir algérien semble ne reculer devant rien pour mettre l’Algérie dans une prison idéologique où aucune place n’est laissée à une religion autre que l’Islam. L’église dont il s’agit, cette fois-ci, est celle située à la Nouvelle-Ville de Tizi Ouzou et qui reçoit, chaque samedi, des centaines de fidèles pour le culte hebdomadaire. Nous avons appris hier que les responsables de cette église, située en face du lycée technique de la Nouvelle-Ville et non loin de la salle des sports « Said Tazrout », ont appris, hier, l’existence d’un ordre de fermeture de cette église. L’arrêté en question a été signé par le wali de Tizi Ouzou. Ce sont, comme d’habitude les éléments de la gendarmerie nationale qui exécuteront cet ordre sur le terrain et ce, dans la journée de mercredi 16 octobre, a-t-on appris également.

    Cette décision est bien sûr absurde et injuste surtout quand on sait que dans la Constitution algérienne, la liberté de culte est garantie. Mais ce ne sont que des paroles en l’air car dans la réalité, tous les Algériens qui ne sont pas musulmans savent qu’il n’en est rien. Les non-musulmans algériens, qu’ils soient chrétiens, athées, agnostiques ou tout simplement déistes sont persécutés et sont obligés de ce fait de ne pas faire étalage de leurs convictions profondes pour ne pas s’exposer aux foudres de leurs concitoyens musulmans qui n’acceptent pas que quelqu’un ne soit pas musulman. Il s’agit d’un constat qui est plus visible pendant le mois de ramadhan où les Algériens qui n’observent pas le jeune sont persécutés, menacés voire agressés presque mortellement par des personnes qui s’érigent en avocats de Dieu sur terre en l’absence ou plutôt avec la complicité de l’état arabo-islamique.

    Pour l’instant, on ignore si des actions de protestation seront envisagées pour dénoncer l’acte de fermeture de l’église la plus fréquentée par les chrétiens d’Algérie. On y reviendra, bien entendu, s’il y a lieu.

    Tarik Haddouche

     

    Source : tamurt.info

  • Autriche : un réfugié afghan blesse grièvement son conseiller et tue dans sa fuite un agriculteur

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2019

    Par  le 15/10/2019

    Selon la police, une tentative de meurtre et un meurtre se sont produits lundi après-midi [14 octobre] en Basse-Autriche dans un secteur voisin de la frontière tchèque. Dans un foyer pour demandeurs d’asile de Wullowitz (arrondissement de Freistadt), un Afghan aurait très grièvement blessé au couteau un conseiller et, dans sa fuite, il aurait poignardé un automobiliste. Lundi soir, la police a pu arrêter cet homme dans la région de Linz.

    […] La victime, âgée de 32 ans, a reçu lors de l’agression des coups de couteau potentiellement mortels et elle a été transportée en hélicoptère dans un hôpital de Linz. Dans un premier temps, le suspect s’est enfui à bicyclette.

    Il a remarqué, près d’une maison située non loin du foyer, une voiture dans laquelle était assis un homme […]. L’Afghan (33 ans) s’est précipité sur cet homme de 63 ans et l’a frappé avec un objet pointu. Les secours n’ont rien pu faire pour sauver ce vieil agriculteur. C’est avec sa voiture […] que le meurtrier présumé a poursuivi sa fuite.

    […]

    (Traduction Fdesouche)

    Source

  • Les députés auto-augmentent de 33,3 % leur indemnité d’hébergement

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2019

    Par  le 15/10/2019

    La dotation d’hébergement des députés, qui permet de rembourser leurs dépenses de location à Paris, va être augmentée de 900 à 1.200 euros mensuels au 1er novembre. Le bureau de l’Assemblée, plus haute instance collégiale, a acté mercredi dernier cette hausse, « pour tenir compte du niveau élevé des loyers parisiens » peut-on lire dans le rapport des questeurs.

    (…) Le Dauphiné Via fdesouche

  • LES OUBLIÉS DE LA REDISTRIBUTION SOCIALISTE

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2019

    POSTÉ LE OCTOBRE 15, 2019, 9:59

     

    caf,les oubliés,redistribution socialiste

    Les gouvernements socialistes qui, depuis des décennies, se succèdent à la tête de la France distribuent chaque année des sommes gigantesques aux nécessiteux. La France devrait donc être une sorte de paradis, avec des riches, des pauvres n’étant plus pauvres grâce à l’État, tous vivant, sinon dans l’opulence, du moins dans une aisance confortable et sans souci. Eh bien, ce n’est pas du tout le cas!

    a France de 67 millions d’habitants compte 9 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, soit 14% de la population. Parmi ces habitants figurent des Français, des vrais, qui vivent avec quelques centaines d’euros par mois. En réalité, ils survivent grâce à leur jardin et à leur poulailler, comme autrefois. Encore faut-il avoir la force suffisante pour cultiver son jardin et entretenir son poulailler. Ce n’est pas le cas de tous, âgés et de mobilité réduite. Ceux-là n’ont que le voisinage pour les assister, comme au Moyen Âge. Comment expliquer un tel phénomène en 2019?

    Une partie des sommes énormes prélevées sur tous sert à payer d’abord les redistributeurs. Ce sont des fonctionnaires et ils sont plus de 5 millions en France ! C’est incohérent. Le monstre redistributeur aux multiples têtes coûte donc très cher. Il est multiforme et peut être parfois pas très éloigné de la corruption. Je relève notamment, à ce propos, les 1,3 million d’associations qui reçoivent, bon an, mal an, plus de 100 milliards de subventions. Les bras vous en tombent! Je connais personnellement le cas d’un groupe d’amis qui a créé une association de souvenirs coloniaux et qui bénéficiait d’une subvention du ministère des Colonies, que l’on appelle maintenant le ministère des DOM-TOM. Cette association n’a pas le moindre intérêt historique. Des cas comme celui-là, vous pouvez les multiplier presque à l’infini.

    De façon générale, comme chacun le sait, une part importante de cette assistance va aux immigrés. Combien sont-ils en France? On n’en sait rien et on ne doit pas le savoir. L’établissement de statistiques ethniques et leur publication sont interdits par la loi. On ne peut donc se baser que sur des estimations.

    Les clandestins, appelés aussi «sans papiers», sont chiffrés à 500 000. Les immigrés «officiels» à plusieurs millions (y compris leurs descendants), en augmentation constante, venant principalement du Maghreb et d’Afrique noire. On parle peu des Sud-Américains, mais ils viennent eux aussi fort nombreux, le plus souvent via l’Espagne.

    Nombreux sont ces «voyageurs» venus de tous les horizons qui bénéficient du droit d’asile. C’est un droit et il est indiscutable. Ce «droit» est accordé à 130 000 immigrés par an, chaque année davantage, 22% en plus en 2018 par rapport à 2017. Beaucoup d’entre eux finissent par recevoir la nationalité française. Ça, c’est mieux encore qu’allocations et logement. Avec la nationalité française, on reçoit notamment la carte Vitale, une carte miraculeuse qui, avec la «compréhension» de médecins souvent eux-mêmes immigrés, soulage toute l’Afrique et l’Indochine, où les antibiotiques sont très appréciés …

    Des milliers de fonctionnaires français travaillent dur pour créer plus de 100 000 nouveaux Français chaque année. Et qui paie tout cela?

    Cette immense générosité socialiste puise-t-elle dans un trésor féerique? Pas du tout. La France socialiste est archi-endettée. Elle est pratiquement en faillite. «À ce jour, écrit fort bien Claude Goudron dans le n° 1211 des “4 Vérités” du 20 septembre, si on cumule les dettes de l’État, la dette sociale et les engagements pris, la dette publique française dépasse les 6 000 milliards d’euros.» Le comble de l’incurie! Au total, dans le monde entier, la dette publique et privée culmine à 250 000 milliards de dollars, soit 320% du PIB mondial, un beau château de cartes qui, en s’effondrant provoquera des crises désastreuses, surtout dans les pays surendettés comme la France.

    Pays envahi, pays en état d’anarchie, pays géré en dépit du bon sens, pays en faillite, eh bien, pour autant, ça ne trouble pas le sommeil de ceux qui en sont responsables! Ils n’en ont pas pour autant perdu le langage, surtout celui des promesses séduisantes, sans oublier les menaces permanentes pour délit d’opinion contre les «mal-pensants».

    De cet ensemble surgit la CAF. C’est la Tour Eiffel des immigrés. «Patron, la CAF, c’est où? Moi, je connais pas. À Bamako, il n’y a pas la CAF … – Tu vois la longue file, là-bas? Tu prends la file et ton tour viendra et tu recevras l’argent que tu attends. – Merci patron.»

    Et voilà maintenant qu’on nous parle, ou plutôt qu’on nous reparle, de quotas. Quotas veut dire acceptation d’immigrés. Combien? C’est à voir. Il y a de petits quotas et de gros quotas. C’est bien sûr une façon de légaliser l’immigration. Si on veut être sérieux, il ne faut pas de quotas. Ni quotas ni droit du sol. La France est sur le point de disparaître, je dois le répéter, car la machine de l’invasion tourne à plein régime. La machine du verbiage politicien tourne aussi à plein régime, avec les résultats que l’on sait.

    Il est vraiment désolant d’être le témoin impuissant d’une telle gestion qui peut, entre autres, vous enlever la presque totalité de vos avoirs – en tout cas, vous tourmenter sans arrêt. Que faut-il donc faire? Où faut-il se réfugier?

     

    Source : les4verites