Publié par Guy de Laferrière le 04 février 2024

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Publié par Guy de Laferrière le 04 février 2024

Publié par Guy de Laferrière le 03 février 2024

Une attaque au couteau a eu lieu à la gare de Lyon ce samedi 3 février, aux alentours de 8 heures. Les forces de l’ordre sont rapidement intervenues, et une personne a été interpellée.
Au moins trois personnes ont été blessées, dont l’une grièvement.
Selon les premiers éléments, l’homme est un homme originaire du Mali, né en 1992, qui a présenté aux policiers un permis de conduire italien.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2024
Nom populaire de la fête chrétienne commémorant la « présentation de Jésus au Temple » (et, dans le calendrier traditionnel, « la purification de la sainte Vierge »), il nous vient du latin festa candelarum (« fête des chandelles »), en raison de la bénédiction des cierges qui avait lieu ce jour-là.
Quarante jours après Noël, l’Église célèbre l’épisode rapporté dans l’Évangile selon Saint Luc (Luc, 2, 22-35) de la
présentation de l’Enfant au temple de Jérusalem : obligation sacrée, à cette époque, pour chaque nouveau-né (un peu comme le baptême par la suite).
Le vieillard Siméon avait alors reconnu en le Christ la « lumière pour éclairer les nations ».
Célébrée à Jérusalem dès le IVe siècle, la procession des cierges (les chandelles) vit le jour vers 450. La célébration s’exporta en Syrie, à Constantinople puis à Rome (sous le pontificat de Sergius Ier, d’origine syrienne). Une procession avait alors lieu à l’aurore entre le Forum et Sainte-Marie-Majeure.
L’utilisation des cierges serait à rapprocher de l’ancien usage des Romains de déposer des lampes funéraires sur les tombes des ancêtres du 13 au 21 février.
Ils cherchaient à éloigner les esprits des ténèbres (février vient du februare, « purifier ») ; la fin de l’hiver annonçant chez eux le réveil des forces chtoniennes. Dans le calendrier celtique, le premier février correspondait à la fête d’Imbolc, culte domestique destiné à protéger et purifier la maison.
La pâtisserie rituelle associée à la chandeleur est la crêpe, également caractéristique du carnaval. Faite de farine, lait et œufs, elle servait à prouver que l’on avait encore des réserves à la fin de l’hiver et jouait un rôle protecteur : la première devait être lancée sur le dessus d’une armoire, pour veiller à l’économie familiale, et une pièce en or dans la main selon certaines superstitions, pour s’assurer la fortune toute l’année.
Une scène du film Archimède le clochard (campé par un Gabin truculent, réalisé par Gilles Grangier en 1959) illustre d’ailleurs cet usage.
Cette dernière fête familiale marque la fin du temps de Noël (en Provence, la crèche est enlevée à ce moment).
Y succéderont les jours gras, tournés vers l’extérieur.
Le 2 février est aussi la « fête de la purification de Marie » de la fin du VIIIe siècle à 1969 (nouveau calendrier romain mis en place par Paul VI).
Là encore, la Sainte Vierge, bien que n’ayant nul besoin d’être « purifiée », se soumet à cette obligation rituelle :

Source : contre-info.com
Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2024

Publié par Guy de Laferrière le 01 février 2024

Gérard Miller a longtemps pollué les plateaux de télévision et les studios de radios. Ce psychanalyste sévissait aussi en tant qu’écrivain, réalisateur, acteur de théâtre et de cinéma, ainsi que chroniqueur et éditorialiste à la radio et à la télévision française.
Né de parents juifs originaires de Pologne, Gérard Miller est le fils cadet de Jean Miller, médecin radiologue et de Eve Milecka, pharmacienne, et le frère du psychanalyste Jacques-Alain Miller. Il adhère à l’âge de seize ans aux Jeunesses communistes, puis à dix-sept ans à l’Union des étudiants communistes, mais, se retrouvant proche des positions du Parti communiste chinois, il est d’emblée en désaccord avec le Parti communiste français, lié, lui, au Parti communiste soviétique. Il rejoint donc le Mouvement communiste français marxiste-léniniste, puis l’Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes (UJCML) et, enfin, la Gauche prolétarienne. Quelques décennies plus tard, en 2012, il soutient publiquement Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle. Un soutien réitéré systématiquement ensuite.
Il devient maître de conférences en science politique à l’université Paris-VIII puis professeur au département de psychanalyse de cette même université. Il a également travaillé une quinzaine d’années à l’hôpital psychiatrique Esquirol (St-Maurice) et exerce dans son cabinet depuis la fin des années 1970.
Surnommé ironiquement par Libération le « divan marquis » et par L’Express le « psy rouge à paillettes », Gérard Miller a été chroniqueur de Laurent Ruquier à la radio dans Rien à cirer sur France-Inter, puis dans On va s’gêner sur Europe 1 et à la télévision dans On a tout essayé puis On n’a pas tout dit sur France 2. Il a été également chroniqueur dans l’émission Vivement dimanche prochain avec Michel Drucker, dans l’émission Jusqu’ici tout va bien aux côtés de Sophia Aram et l’émission On refait le monde de Marc-Olivier Fogiel. Il a par ailleurs écrit pour Libération, Globe Hebdo, L’Événement du jeudi et L’Humanité.
En 2017, il est l’un des trois cofondateurs de la web-télé mélenchoniste Le Média. La même année, il réalise un film de propagande qualifié de documentaire Jean-Luc Mélenchon, l’homme qui avançait à contre-courant, diffusé sur France 3.
Mais c’est maintenant dans un autre registre que Gérard Miller revient à la une des médias : il est accusé d’agressions sexuelles et d’un viol sous couvert de séances d’hypnoses.
Dans le magazine Elle de ce mercredi 31 janvier, plusieurs jeunes femmes racontent avoir été les victimes du psychanalyste Gérard Miller. Il aurait à chaque fois tenté de les hypnotiser avant de passer ses mains sous leurs vêtements, ce que l’accusé dément.
La journaliste Muriel Cousin affirme qu’en 1990, alors qu’elle a 23 ans, elle se prête à une séance d’hypnose pour un article mais lorsqu’elle se réveille brutalement, elle voit le psychanalyste « passer sa main sur [s]on sexe, par-dessus [s]on pantalon ».
Une autre femme raconte comment, en 2004, alors qu’elle avait 19 ans, il lui propose de faire « un jeu qu’il fait avec ses patients » qui se termine en attouchements.
D’autres jeunes femmes, prévues comme comédiennes dans ses films, racontent qu’il leur a proposé des séances d’hypnose individuelles, durant lesquelles il les touchait à des parties intimes.
Toutes les accusations font état d’un même mode opératoire : l’hypnose.
Gérard Miller, qui n’a pas manqué durant des dizaines d’années de clouer au pilori ceux qui ne lui plaisaient pas sans le moindre sens de la nuance, se retrouve aujourd’hui dans la position de l’accusé, répétant partout démentir les faits incriminés
Léo Kersauzie
Source : medias-presse.info