GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 49

  • Tommy Robinson est libre : les premières déclarations du dissident britannique

    Publié ar Guy Jovelin le 28 mai 2025

    synthesenationale

    869962.jpg

    Source Breizh info cliquez ici

    Tommy Robinson est libre : les premières déclarations du dissident britannique, à sa sortie de prison, ce 27 mai, après de longs mois passés en cellule en raison de son engagement médiatique et politique, et à sa dénonciation sans relâche de la corruption des autorités britanniques.

    Tommy Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, a été libéré de la prison de Woodhill, à Milton Keynes, après une réduction de peine décidée par un juge de la Haute Cour. Initialement condamné à 18 mois de détention pour outrage à la cour dans le cadre d’une affaire civile, il a finalement purgé sept mois de détention dans des conditions déplorables.

    Une peine réduite mais un avertissement clair

    Le juge Johnson, qui a supervisé l’affaire, a estimé que Robinson avait adopté une « nouvelle attitude » vis-à-vis de l’injonction judiciaire qu’il avait enfreinte à dix reprises en lien avec un documentaire polémique, Silenced. Bien que le juge ait noté l’absence de « remords ou de contrition », il a toutefois considéré les engagements de Robinson à respecter désormais la décision judiciaire comme suffisants pour supprimer les quatre mois dits « coercitifs » de sa peine.

    Le dossier portait sur la diffusion de propos jugés diffamatoires (alors que pourtant sourcés) à l’égard d’un réfugié syrien, que Robinson avait précédemment accusé – à tort selon la justice – d’actes violents. Ce dernier avait obtenu gain de cause dans une procédure de diffamation en 2021.

    Une dissidence assumée

    Si les autorités judiciaires ont salué une évolution dans le comportement de Robinson, celui-ci reste fidèle à ses convictions. L’activiste, dont les critiques envers l’immigration massive, l’islam radical ou encore les dysfonctionnements du système judiciaire britannique lui ont valu l’hostilité des grands médias et de la classe politique, ne renie rien. Le documentaire Silenced, au cœur des poursuites, visait précisément à dénoncer – selon ses soutiens – une tentative de musellement orchestrée par l’establishment.

    Robinson, qui avait été emprisonné pour avoir défié les décisions de justice, n’en demeure pas moins un symbole de la contestation populaire d’une justice perçue comme à deux vitesses : sévère avec certains, bienveillante envers d’autres.

    À peine libéré, Tommy Robinson est de nouveau dans le collimateur de la justice. Il comparaîtra la semaine prochaine devant les magistrats de Westminster pour répondre d’accusations de harcèlement ayant causé « une crainte de violence » envers deux individus. Une autre procédure l’attend en octobre 2026, cette fois pour avoir, selon la police, refusé de fournir le code PIN de son téléphone lors d’un contrôle.

    Ce traitement judiciaire quasi-permanent contraste avec la relative indulgence dont bénéficient d’autres acteurs, souvent bien plus violents ou extrémistes, mais politiquement corrects. Il illustre le malaise croissant d’une frange de la population britannique – et au-delà – face à une justice de plus en plus politisée.

    Tommy Robinson demeure aujourd’hui l’un des rares dissidents occidentaux à payer si chèrement son refus de plier face au conformisme idéologique.

  • Drogues, médicaments, cigarettes… Comment l’immigration clandestine algérienne alimente les trafics à Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2025


    Selon La Dépêche du Midi, de jeunes migrants algériens, principalement originaires de Mostaganem, participent activement à divers trafics à Toulouse : cigarettes, médicaments (comme la prégabaline) et drogues. Arrivés mineurs via des filières clandestines, ils vivent dans des squats insalubres et sombrent progressivement dans la délinquance. Un policier indique : « Ces bandes de jeunes investissent désormais l’ensemble des facettes du paysage criminel toulousain ».

    Pris en charge par des réseaux dès leur arrivée en Espagne, ils sont acheminés jusqu’à Toulouse pour 700 à 1 000 euros. Dépourvus de papiers et de ressources, certains basculent dans les vols de rue ou les arrachages de bijoux. Les réseaux sont souvent dirigés par des compatriotes régularisés de longue date. Selon les autorités, le nombre d’arrestations de migrants clandestins liés aux trafics pourrait dépasser 300 en 2025. Une nouvelle tendance préoccupante est également relevée : l’arrivée croissante de délinquants en provenance d’Oran (Algérie) et de Oujda (Maroc).

  • Il paraît que Mustapha El Atrassi a choqué.

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2025

    500286132_1012012257781044_6990548142245631107_n.jpg

    Il paraît que Mustapha El Atrassi a choqué. Qu’il a « dérapé ». Ah bon ? Quelle surprise. Depuis quand un humoriste issu de l’immigration, bien au chaud sur les plateaux du divertissement français, crache-t-il son mépris du « Français de souche » ? Depuis... toujours. Ce n’est pas un dérapage, c’est un programme. Ce n’est pas une erreur, c’est une constante. Et il serait temps que ceux qui feignent la surprise cessent de se boucher le nez devant la puanteur du réel.
    Le racisme anti-Blancs ? Il n’a pas commencé hier. Il gangrène les quartiers depuis trente ans. Il se chuchotait, puis s’est crié, aujourd’hui il se joue sur scène, en prime time, avec les rires complices d’un public acquis. Ces humoristes ne sont pas des comiques, ce sont les tribuniciens d’une revanche ethnique. Ils rient en nous haïssant.
    Ce n’est pas El Atrassi le problème. Il n’est que l’arbre moqueur qui cache la forêt de l’hostilité. L’hostilité d’une jeunesse afro-musulmane élevée dans le ressentiment, dans la culpabilisation de la France, dans l’idée que tout lui est dû et que le Français autochtone est un colon à chasser. Voilà le fruit de quarante ans de lâcheté migratoire, d’antiracisme à sens unique, de repentance sans fin.
    Et pourtant, des voix s’étonnent, s’offusquent, découvrent soudain le racisme anti-Blancs comme on découvre l’eau tiède. Ce ne sont pas des révélations, ce sont des réveils tardifs. Les Français qui vivent dans le monde réel – pas dans les salles de rédaction ou les amphis de Sciences Po – le savent depuis longtemps : ils vivent l’insécurité, l’humiliation, le mépris quotidien.
    Le problème est clair : il est démographique. Il est identitaire. Il est migratoire. Une société ne peut survivre à l’importation massive de populations qui ne veulent ni s’assimiler, ni respecter, mais dominer. La solution ? Elle a un nom, un seul : la remigration. Tout le reste n’est que bavardage et anesthésie.
    La France mérite évidemment mieux que l’autodérision honteuse de ceux qui rient en la salissant. Il est temps de redevenir fiers. Et pour cela, il faut d’abord cesser de rire avec ceux qui nous haïssent.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Macron vient de commettre une faute lourde lors de sa visite au Viêt-Nam, en rendant hommage au dirigeant communiste Ho Chi Minh

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2025

    500484067_1351391899477502_6462956284383258092_n.jpg

    Monsieur Macron vient de commettre une faute lourde lors de sa visite au Viêt-Nam. En rendant hommage au dirigeant communiste Ho Chi Minh, le président Emmanuel Macron a franchi une ligne que l’Histoire ne saurait lui pardonner. Car ce nom, Ho Chi Minh, n’est pas celui d’un artisan de paix, mais d’un chef de guerre communiste, allié du totalitarisme soviétique et responsable de la mort de milliers de jeunes Français tombés en Indochine pour défendre le drapeau.
    Nos soldats, nos officiers, nos légionnaires, venus des campagnes de France et des rives du Danube, de l’Atlas et du Mékong, ne sont pas morts pour qu’un chef d’État français s’incline devant leur bourreau. Ils sont morts pour une certaine idée de la France. Une France fidèle à sa mission, une France debout, une France qui respecte ses morts.
    Rendre hommage à Ho Chi Minh, c’est renier Dien Bien Phu, c’est oublier les camps communistes, c’est trahir les anciens du Corps expéditionnaire français. C’est, en définitive, piétiner la mémoire de ceux qui, dans la jungle et les rizières, ont combattu pour la France avec courage, loyauté et foi.
    Le sang versé commande le respect. L’Histoire commande la mémoire.
    Les Français ne doivent pas oublier. Ceux qui ont aimé la France au point de donner leur vie pour elle ont droit à la reconnaissance éternelle de la Nation.
     
    Thomas Petit - Membre du Conseil national du Parti de la France