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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 750

  • Nantes : une femme de 47 ans retrouvée morte en pleine rue, elle a été tuée à coups de couteau ce dimanche matin

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Une femme d’une quarantaine d’années a été poignardée, ce dimanche 16 octobre 2022, boulevard Jean-Moulin, à Nantes. Malgré l’intervention des secours, elle n’a pu être réanimée.

    C’est au petit matin, à 6 h 37, que les pompiers sont intervenus, ce dimanche 16 octobre, au n° 1, boulevard Jean-Moulin, dans le quartier Bellevue, à Nantes. Dans cette zone occupée par des entreprises, une femme d’une quarantaine d’années a été poignardée. D’après nos informations, des témoins ont entendu une femme appeler « Au secours, au secours » dans la rue.

    Les témoins auraient vu cette femme poursuivie par un homme qui aurait tenté de l’attraper par les cheveux. Il l’aurait alors poignardée d’au moins trois coups de couteau à l’épaule et à l’abdomen.

    Ouest-France

    La femme était âgée de 47 ans. Elle a été agressée à l’arme blanche, indiquent les pompiers. Une enquête de police a été ouverte.

    20minutes.fr

  • Paris : la préfecture de police met en garde les touristes contre les arnaques à la fausse pétition

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    La préfecture de police de Paris a mis en garde ce samedi sur son compte Twitter contre les arnaques à la fausse pétition, visant particulièrement les très nombreux touristes français ou étrangers que compte la capitale. Ces arnaqueurs réclament parfois de l’argent.

    Les services préfectoraux ont appelé ces derniers à se méfier face à “des personnes ne pouvant se prévaloir d’une association reconnue et qui vous abordent, pétition à la main, pour vous faire signer un document ou vous réclamer de l’argent“.

    Particulièrement prisés de ces arnaqueurs, certains lieux très touristiques de la capitale, comme le Champ-de-Mars ou les Champs-Elysées, sont souvent la cible de vastes opérations de police visant à rassurer Parisiens et voyageurs face aux ventes à la sauvette, aux vols et à la délinquance en général.

    Il y a 20 millions de touristes qui viennent sur le site du Champ-de-Mars et sept (millions) qui fréquentent la Tour Eiffel. Forcément, c’est un public attractif pour les délinquants“, rappelait au mois d’avril dernier Isabelle Tomatis, cheffe de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) au micro de BFM Paris-Île-de-France.

    Avec la fin de la crise sanitaire, les touristes sont de retour dans la capitale, poussant les forces de l’ordre à renouveler fréquemment ce genre d’opérations.

    BFMTV via fdesouche

  • Blasphème sur l’église de la Madeleine avec une affiche géante

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    La façade de la célèbre église de la Madeleine est en cours de rénovation, jusqu’en 2023.

    Pour masquer les échafaudages et gagner de l’argent, les responsables permettent l’apposition d’affiches géantes.

    Voici celle qu’on peut y voir actuellement, et de loin :

    Comment les responsables de l’église et du diocèse ont-ils pu autoriser cette affiche des parfums Dior qui détourne à des fins mercantiles la notion d’« adoration », évidemment réservée à Dieu ?

     

    Source : contre-info

  • Testament de Marie-Antoinette, reine de France assassinée par les républicains un 16 octobre

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Le 16 octobre 1793, à 4h30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth.
    Ce sera son émouvant testament.

    « C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.

     

     

    Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants : vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse! J’ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre ; je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra : recevez pour eus deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins.

    Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer : que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur. Que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a elle doit toujours aider son frère par des conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer; que mon fils, à son tour, rende a sa sœur tous les soins, les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union. Qu’ils prennent exemple de nous : combien, dans nos malheurs notre amitié nous a donné de consolation; et dans le bonheur on jouit doublement, quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais, les derniers mots de son père, que je lui répète expressément :  » qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. »

    J’ai à vous parler d’une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine; pardonnez-lui, ma chère sœur ; pensez à l’âge qu’il a, et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu’on veut, et même ce qu’il ne comprend pas : un jour viendra, j’espère, où il ne sentira que mieux tout le prix de vos bontés et de votre tendresse pour tous deux. Il me reste à vous confier encore, mes dernières pensées ; J’aurais voulu les écrire dès le commencement du procès ; mais outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche en a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le temps.

    Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée ; n’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop, s’ils y entraient une fois, je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans sa bonté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps pour qu’il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais, et à vous, ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant ; qu’ils sachent, du moins, que, jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours à moi; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfans : mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours. Adieu, adieu, je ne vais plus m’occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre ; mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger. [1]»

    Notes

    1. La reine désigne ici les prêtres « assermentés », c’est-à-dire qui ont prêté le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, condamnée par Rome,  et qui sont considérés comme ne faisant plus partie de l’Eglise catholique.

     

    Source : contre-info

  • Soupçons d’emploi fictif : un an avec sursis requis contre Lagarde qui avait embauché sa belle mère (MàJ. Il se fait élire maire-adjoint de sa femme et touchera 3.879 €/mois + ses allocations de chômage)

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2022

    MàJ 15/10/2022. Il a été élu 11e adjoint à la maire de la ville, son épouse Aude Lagarde. Son indemnité s’élèvera à «3878.99 euros bruts», un des postes les mieux rémunérés au sein des adjoints

    À l’issue d’un conseil municipal, Jean-Christophe Lagarde, 54 ans, a été élu 11e adjoint à la maire de la ville, son épouse Aude Lagarde. Son indemnité s’élèvera à «3878.99 euros bruts», un des postes les mieux rémunérés au sein des adjoints qu’il pourra cumuler avec son allocation-chômage d’ancien député. 

    Le Figaro

    03/10/2022

    Le patron de l’UDI est accusé d’avoir octroyé un emploi fictif d’assistante parlementaire à sa belle-mère, censée l’aider à rédiger un livre jamais paru.

    Jugé pour “détournement de fonds publics“, Jean-Christophe Lagarde avait alors recruté la mère de son épouse Monique Escolier-Lavail et lui avait versé plus de 39 000 euros de salaires en échange de son aide pour écrire un livre sur les PME qui n’est jamais paru. Voulant sanctionner des “faits insupportables pour le corps social“, l’accusation a également appelé à prononcer à son encontre une privation des droits civiques de cinq ans.

    Le Point