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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 901

  • Profitant du chaos du Stade de France et de l’échec de l’organisation auquel ils estiment avoir contribué, les syndicats RATP lancent un nouvel appel à la grève pour le match France -Danemark sur le RER B ce vendredi

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    Une première grève organisée le jour de la finale de la Ligue des champions samedi avait créé d’importants problèmes d’organisation.

    Une rencontre sous pression. Six jours après les incidents en marge de la Ligue des champions, le Stade de France accueillera l’équipe de France ce vendredi soir pour un match de Ligue des nations contre le Danemark. Problème : comme samedi, un avis de grève a été déposé pour la ligne B du RER.

    (…) « La réussite de la grève lors de la finale de la Champions League donne un rapport de force concret aux organisations syndicales. Le fiasco du 28 mai a engendré une médiatisation mondiale et la direction porte l’entière responsabilité des problèmes d’acheminements des supporteurs au Stade de France », affirment CGT Métro-RER, l’Unsa et La Base dans leur appel.

    (…) « Le 3 juin, mobilisons-nous pour France-Danemark » en Ligue des nations de football, écrivent-ils encore.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Économie : Rien ne va plus en France et dans l’UE !

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    lfar rousset.jpgDans une excellente chronique du Figaro, Christian Saint-Étienne remarque que distribuer du pouvoir d’achat, sans contrepartie productive, c’est préparer un scénario à la grecque ! Macron, Marine le Pen et Mélenchon se sont pourtant lancés dans une course démagogique folle afin de s’attirer les électeurs, une des plaies mortelles des démocraties occidentales !

    Le problème c’est que la France ne fabrique plus assez de produits industriels et a un déficit commercial annuel d’environ 100 milliards d’euros ! Le déficit public flirte désormais avec les 6,5 % du PIB ! La croissance dégringole, a été nulle début 2022 pour atteindre au mieux 1,3 % en 2023 et 1,1 % en 2024 ! On parle même de plus en plus de récession et de « stagflation », suite aux stupides sanctions suicidaires antirusses qui vont d’abord frapper « ceux qui fument des clopes et roulent au diesel » ! L’industrie française croule sous les charges sociales et les impôts de production pour payer des dépenses publiques folles avec 2 millions de fonctionnaires en trop, un coût annuel de l’immigration de 84 milliards d’euros par an et un régime des retraites déficitaire ! L’emploi créé par la « high tech » du manipulateur Macron, c’est mieux que rien, mais seulement 1 % de l’emploi en France : cela ne peut remplacer les investissements gigantesques de Tesla et d’Intel en Allemagne et de véritables usines pour fabriquer des biens essentiels importés de Chine et des pays émergents !

    Christian Saint-Étienne nous rappelle le syndrome de Tsipras en Grèce qui consisterait en France à faire élire les députés d’un parti exigeant la distribution de pouvoir d’achat tout en l’empruntant, un SMIC à 5 000 euros, une retraite à 50 ans, pour nous apporter dans les trois mois qui suivent leur élection, avec la remontée des taux, une crise de confiance dans le Système, l’effondrement de l’économie, une retraite à 68 ans et une diminution de 20 % des retraites ! Les promesses démagogiques impossibles à tenir n’engagent que les naïfs et les crétins qui les écoutent. Demain on rase gratis !

    C’est aussi la débandade dans l’UE puisqu’elle renonce jusqu’en 2023 au pacte de stabilité avec une dette maximale de 60 % du PIB et un déficit inférieur à 3 % du PIB, en raison de la guerre en Ukraine. L’UE renonce à la reprise en main des finances publiques. 17 pays ne respectent pas le critère de déficit et cinq, dont la France, le critère des dettes. Le pacte devrait eêtre réactivé seulement en 2024 ! L’UE pacifiste, droit-de-l’hommiste, mercantile et immigrationniste, éprise d’une soudaine folie guerrière contre la Russie, traverse une période d’incertitude économique la plus totale.

    En Italie Mario Draghi ne connaît plus l’état de grâce. La croissance ne devrait pas dépasser 2,4 % cette année et 1,9 % en 2023. Les réformes de la fiscalité et de la concurrence semblent bloquées. Les dettes vont continuer d’augmenter et que fera Draghi sinon annoncer la faillite de l’Italie en cas de hausse des taux ?
    Quant à la zone euro, elle est écartelée : l’écart d’endettement entre l’Allemagne et l’Italie a plus que doublé en dix ans et atteint 90 % du PIB, contre 45 % entre la France et l’Allemagne. Or les taux montent ! Christine Lagarde de la BCE veut mettre fin au programme de rachats d’actifs en juillet. De plus l’actuel taux négatif de – 0,50 % devrait passer à 0 % en septembre, suite à deux augmentations successives de 0,25 % en juillet et en septembre. Christine Lagarde, en fin d’année dernière, jugeait cependant peu probable une hausse de taux en 2022 car le taux de dépôt est en territoire négatif depuis 2014 !

    Le problème, c’est que l’indice des prix à la consommation dans la zone euro a atteint le niveau record de 7,4 % sur un an en avril ; même en excluant l’alimentation et l’énergie, l’inflation dépasse largement l’objectif de 2 % fixé par la BCE. En fait Christine Lagarde est complètement déboussolée, s’exprime dans un charabia grandiloquent incompréhensible en parlant de gradualisme, d’optionnalité, de flexibilité et d’ajustement de la politique monétaire en fonction d’évènements imprévisibles à venir. Christine Lagarde reconnaît en fait que la situation est de plus en plus incontrôlable et qu’elle ne sait pas où elle va ! Il semble que ce soit vers la catastrophe et l’explosion de la zone euro !

    La stupide politique des sanctions économiques et financières contre la Russie est la cerise sur le gâteau qui vient aggraver la situation ! En cas d’embargo du pétrole, la Russie pourra remplacer très facilement la demande européenne par celle de l’Inde et de la Chine. Par contre l’embargo entraînera une hausse inacceptable des prix à la pompe pour les Gilets jaunes ! Les fournisseurs potentiels de pétrole tels que l’Arabie saoudite, le Brésil, les États-Unis sont reluctants car s’ils augmentent leur production, la Russie cassera les prix, comme elle l’a déjà fait avec l’Inde à 25 dollars le baril, et ils seront perdants ! De plus les coûts de transport seront beaucoup plus élevés que pour le pétrole russe. Enfin le pétrole russe est d’une qualité supérieure pour produire dans les raffineries européennes des distillats moyens (gazole).

    En ce qui concerne le gaz, un gros pays producteur tel que le Qatar ne veut pas vendre tout son gaz à l’Allemagne car si Berlin décidait d’arrêter ses commandes, il serait pris au piège. Le Chancelier Olaf Scholz très naïvement a fait la tournée des popotes en Afrique (Sénégal et Afrique du Sud) pour se sevrer du gaz russe et trouver de nouveaux fournisseurs, mais il a fait chou blanc avec des projets futuristes aléatoires, trop coûteux.

    En dehors de l’Europe, la situation n’est pas brillante aux États-Unis (inflation élevée, croissance faible, hausse des taux et petits krachs boursiers successifs), mais elle est aussi préoccupante, ce qui est nouveau, du côté de la Chine ! L’Empire du milieu a dévoilé courant mai ses pires performances économiques depuis deux ans, avec une consommation au plus bas et un chômage proche du record absolu. Selon la banque UBS, la croissance chinoise pourrait se limiter à 3 % cette année, alors que Pékin s’accroche à son objectif de 5,5 %. La stratégie du « Zéro Covid » s’avère catastrophique pour de nombreux secteurs, dont celui du luxe, avec un écroulement des ventes de 47 % par rapport à 2021. On assiste à un plongeon des mises en chantier et des ventes de logement. La production de crédit s’est révélée deux fois inférieure aux attentes ; les ventes au détail ont décroché de 11 % et l’indice des prix à la consommation est supérieur aux anticipations. Si le confinement semble s’assouplir à Shangaï, la ville de Pékin renforce ses mesures anti-covid, avec de nombreux commerces et sites touristiques fermés ou au ralenti. Depuis Davos, la directrice du FMI parle de « vents contraires » en Chine.

    Quant aux « cryptos » , Christine Lagarde estime que « ça ne vaut rien et que ça ne repose sur rien ». La Banque de France évoque la célèbre bulle spéculative des tulipes en Hollande au XVIIe siècle et compare le phénomène bitcoin à la              « tulipomanie ». La Banque centrale américaine veut aussi siffler la fin de la récréation. Le marché des cryptomonnaies a déjà perdu plus de la moitié de sa valeur, passant de 3000 milliards de dollars à 1400 milliards de dollars en seulement six mois. Pour Le Bitcoin avec un prix record de 66 000 dollars, et un cours actuel de 29 000 dollars, la chute est aujourd’hui de 57 % ! Certains investisseurs estiment qu’il pourrait même dégringoler jusqu’à 8 000 $, tout comme l’explosion de la bulle internet en 2000. À quand le tour des actions en Bourse et celui des obligations si les taux d’intérêt s’envolent ?

    Jane Fraser, PDG de la grande banque américaine Citi, est convaincue à Davos que l’Europe va entrer en récession ! Viktor Orban a décrété le couvre-feu en Hongrie et estime que nous allons devoir affronter une grave crise économique. Il y a même un risque de récession mondiale avec une augmentation du chômage, des prix des denrées alimentaires, de l’endettement public et privé déjà trop élevé dans le monde.

    Il n’y a que la France inconsciente, privée de campagne présidentielle sérieuse, qui rêve de pouvoir d’achat en augmentation financé par la dette publique, sans travailler davantage ni produire davantage, avec le traître fédéraliste immigrationniste Macron, la patriote incapable Marine le Pen et l’islamo-gauchiste démagogue Mélenchon !

     

    Source : lafautearousseau

  • Pascal Praud accuse Benzema pour les débordements lors de la finale

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    Pascal Praud, chroniqueur de CNEWS, fait aujourd’hui la polémique en s’exprimant sur les événements. Pour lui, Karim Benzema est le fautif : ces centaines de personnes qui ont forcé l’entrée ne l’auraient pas fait si Benzema n’était pas sur le terrain, ce que n’ont pas anticipé les forces de l’ordre. « Sa personnalité » serait responsable de l’ensauvagement des personnes qui voulaient entrer au stade sans billet à cette finale.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1531254472743260160

     

  • UE et EU : deux « niet » à Zelensky

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    Missiles et sanctions, l’UE et les USA disent non au président ukrainien.

    Deux petites mais très lourdes portes claquèrent au nez de Zelensky. Il n’y a pas que la situation sur le terrain dans le Donbass qui inquiète le président ukrainien (« difficile de regagner du terrain », dit-il). Mais les relations avec l’UE et les États-Unis, principaux sponsors de la résistance ukrainienne face à l’envahisseur russe, entretiennent également les tensions à Kiev. D’une part, Joe Biden a nié les armes à moyenne portée demandées par l’Ukraine. Et d’autre part, l’Union européenne semble loin du feu vert à un sixième paquet de sanctions aussi incisif qu’espéré.

    Il est clair que la guerre se déroule désormais sur plusieurs fronts. Il y a d’abord les bombes, qui continuent d’exploser inexorablement dans l’est du pays et de tuer : aujourd’hui un journaliste français est également tombé. Ensuite, il y a les négociations, à la fois sur le cessez-le-feu et sur l’exportation de céréales. Ces derniers jours, Draghi, Macron et Sholz ont téléphoné à Poutine pour autoriser un couloir depuis le port d’Odessa. Aujourd’hui, c’était au tour de Recep Tayyip Erdogan. Les deux hommes ont discuté de la manière de sécuriser la navigation dans les mers Noire et Azov, désormais entièrement entre les mains de la Russie. Mais aussi de la possibilité d’accueillir une rencontre Russie-Moscou-ONU à Istanbul. Pour l’instant, Poutine a décliné l’offre d’un entretien téléphonique à trois.

    Sur le front des sanctions, cependant, les décisions de l’Union Européenne ne sont pas douces aux oreilles de Zelensky. Certes, Josep Borrel insiste sur le fait que l’UE continuera à soutenir Kiev « militairement et avec des sanctions contre la Russie ». Mais en fait les 27 sont divisés sur le sixième paquet de mesures économiques. Aujourd’hui et demain, les dirigeants se réunissent au Conseil européen avec un projet dont tout le monde n’est pas sûr qu’il puisse vraiment être adopté. Il y a un optimisme prudent au sein de la Commission européenne : la Pologne et l’Allemagne ont donné leur feu vert à l’interdiction du pétrole, mais pas la Hongrie d’Orban. L’embargo ne devrait concerner que l’or noir qui arrive par bateau, en protégeant ce qui transite par les oléoducs. Il peut y avoir des clauses d’exclusion pour Budapest. Mais le fait est que, même si l’embargo pourrait éventuellement affecter les 2/3 des exportations russes, pour l’Ukraine le fait que les 27 prennent autant de temps est mauvais signe.

    Mais ce qui frappe l’Ukraine, c’est peut-être le choix rendu public aujourd’hui par Joe Biden. Le président américain a décidé de ne pas envoyer de systèmes de missiles capables de toucher le territoire russe. Poutine l’avait indiqué comme une « ligne rouge » que l’Occident ne devrait pas franchir. Et apparemment Washington n’a pas l’intention de se risquer à devoir comprendre si ce que dit le tsar sur la bombe atomique est un bluff ou une véritable intention. Ces derniers jours, CNN avait évoqué l’hypothèse de la Maison Blanche d’envoyer des missiles à moyenne/longue portée comme le Multiple Launch Rocket System (MLRS) et le High Mobility Artillery Rocket System. Mais ce ne sera probablement pas le cas.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’idéologie du genre détruit des jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    L’idéologie du genre détruit des jeunesL’idéologie du genre détruit des jeunes

    Alors que les demandes de changement de sexe chez les mineurs sont en très forte augmentation en France, l’Académie de médecine alerte sur le

    «nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant “détransitionner”» .

    Elle a appelé fin février à une «grande prudence médicale» chez l’enfant et l’adolescent,

    « compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles» .

    Ypomoni, un collectif de parents qui milite «pour une approche éthique des questions de genre» rapporte

    «des histoires qui se ressemblent toutes: ados harcelés, agressés sexuellement, haut potentiel intellectuel (HPI), autistes, consultations expédiées, certificats de complaisance…»

    Inquiétant phénomène d’embrigadement : les cas d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes qui pensent ne pas être «nés dans le bon genre» et veulent changer de sexe se sont multipliés ces dernières années. En mai, le suicide d’un élève transgenre de 15 ans dans son lycée a suscité l’émotion. C’est une épidémie de suicides. Chez les adultes, le nombre de personnes prises en charge médicalement (admises en affection longue durée) pour transidentité a été multiplié par dix en dix ans, pour atteindre environ 9000 personnes en 2020, selon des chiffres de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam).

    «Isolées de la vie réelle, des jeunes filles se sont convaincues en ligne, en quelques semaines, qu’elles étaient des garçons. Des adolescentes m’ont raconté qu’elles étaient en permanence connectées à des forums de communautés trans qui jouent sur la victimisation. Elles avaient l’impression de rejoindre le camp du bien, des opprimés, et se voyaient acclamées quand elles se déclaraient non-binaires».

    Même constat pour l’association SOS Éducation :

    L’emprise des idéologies militantes trans-affirmatives fait croire à de plus en plus de jeunes en questionnement que le changement de sexe est la seule solution pour échapper à la souffrance identitaire qu’ils traversent.

    Aveuglés par les réseaux sociaux, pris dans les mailles d’un dispositif associatif sectaire, le risque est qu’ils s’engagent, en marge de leur famille, mais adoubés à l’école, dans des transitions irréversibles. Les pays qui ont pratiqué ces expériences sur des enfants font marche arrière face aux vies brisées. Pourquoi l’Éducation nationale n’en tient-elle pas compte?

    Passé la période de l’adolescence, un certain nombre de ces jeunes se rendent compte qu’ils ont fait fausse route ; mais c’est une démarche très difficile de revenir en arrière.

     

    Source : lesalonbeige