GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 902

  • Le Conseil d’État rejette une requête contestant la présence des carrés musulmans dans les cimetières

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    La plus haute juridiction administrative française a jugé irrecevable la requête d’un ancien élu savoyard contestant la possibilité offerte aux maires d’aménager des carrés confessionnels dans les cimetières français. En indiquant qu’un simple citoyen ne peut demander la suppression d’un carré musulman au nom d’un attachement « à la neutralité des cimetières », le Conseil d’État évite la multiplication de telles demandes dans les années à venir. Quant à l’aménagement de carrés musulmans dans les cimetières, la balle reste dans le camp des maires.

    C’est par un refus sec et sans bavure que le Conseil d’État a signifié à Marcel Girardin qu’il ne prendrait pas en compte sa requête contestant la présence de carrés musulmans dans les cimetières de France. « Ni la qualité de citoyen invoquée par le requérant ni celle d’ancien adjoint au maire de sa commune de résidence, ni la circonstance qu’il se dise attaché à la neutralité des cimetières ne suffisent à lui donner intérêt à demander l’annulation des dispositions critiquées de la circulaire (contestée ndlr). Par suite, sa requête qui est irrecevable, doit être rejetée », a indiqué la juridiction administrative dans une décision rendue le 15 juillet à laquelle Saphirnews a eu accès.

    L’aménagement de carrés musulmans dans les cimetières français n’est pas encore très répandu mais les demandes sont en constante croissance. Mohammed Moussaoui, le président de feu le Conseil français du culte musulman (CFCM), estime à quelque 600 le nombre de carrés musulmans aménagés dans les 40 000 cimetières que compte le pays. Un nombre nettement insuffisant comme l’a révélé de façon criante la crise de la Covid-19. L’absence de carrés musulmans entraîne, rappelait au Figaro le président de l’Union des mosquées de France (UMF), « l’expatriation de plus de 80 % des corps des musulmans décédés en France », ce qui « ne favorise pas l’intégration de ces populations ».

    Ancien attaché parlementaire à l’Assemblée nationale et au Parlement européen, Marcel Girardin se présente sur son blog comme un pourfendeur de la corruption chez les élus et les fonctionnaires. Cet ancien conseiller municipal, sans étiquette, de Voglans, en Savoie, a saisi la justice pour contester deux chapitres d’une circulaire datant du 19 février 2008 traitant de la police des funérailles et des cimetières.

    « Pour répondre favorablement aux familles souhaitant que leurs défunts reposent auprès de coreligionnaires, je vous demande d’encourager les maires à favoriser, en fonction des demandes, l’existence d’espaces regroupant les défunts de même confession, en prenant soin de respecter le principe de neutralité des parties communes du cimetière ainsi que le principe de liberté de croyance individuelle », y signifiait alors Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur de l’époque, à l’adresse des préfets. Pour l’ex-élu, ce texte, qui n’est pourtant pas contraignante, relève d’une « vision religieuse ségrégationniste et discriminatoire (et) porte atteinte aux principes essentiels de neutralité laïque et d’égalité devant la loi que prône la République française ». […]

    saphirnews via fdesouche

  • Toulouse : des dizaines de migrants albanais expulsés d’un squat vivent dans la rue, les riverains se plaignent “des nuisances sonores”

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Depuis leur expulsion d’un squat de la rue d’Alès le 8 juillet à Toulouse (Haute-Garonne), plusieurs dizaines de migrants dorment dans la rue, dans l’attente d’un logement. Leur présence exaspère certains riverains qui ont en marre “des nuisances sonores”.

    Devant l’un des bâtiments de la rue d’Alès, dans le quartier Croix de Pierre, à Toulouse, trois colosses veillent. Depuis l’évacuation du squat illégal, le 8juillet dernier, une équipe de sécurité empêche les anciens occupants de revenir.« Certains prétextent avoir oublié une valise ou un autre objet pour tenter de rentrer dans le bâtiment », raconte un des vigiles. Selon la préfecture, des solutions de relogement ont été proposées à toutes les personnes.

    Pourtant, à quelques centaines de mètres de là où ils vivaient illégalement il y a encore quelques jours,des familles albanaises dorment à la rue. Près de la haie qui borde la digue, des matelas, sacs de couchage et des tentes sont empilés.« Tous les jours, j’appelle le 115 (Samu social) pour tenter de trouver une place pour ma famille. Mais la vérité, c’est que personne ne s’occupe de nous », peste Mathéo, 17 ans, lycéen, dans un français quasiment impeccable. […]

    La Dépêche via fdesouche

  • Course-poursuite à Toulouse : il refuse d’obtempérer à un contrôle, roule à contresens à plus de 100 km/h, puis provoque un accident… Il voulait “aller en vacances au bled”

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Un homme a été arrêté par la police après avoir roulé dans Toulouse à plus de 100 km/h lors d’une course-poursuite. Pour lui, si son père l’avait emmené en vacances, rien ne serait arrivé…

    « Papa c’est ta faute ! Je t’avais dit on va en vacances au bled, on reste pas en France ». À peine entré dans le box des comparutions immédiates du tribunal correctionnel, le prévenu de 26 ans n’a pas un regard pour ses juges. Il s’adresse à ses parents dans la salle d’audience. Pas vraiment pour leur lancer des mots d’amour.

    Ce vendredi-là, vers 20 h 30, cet homme a été arrêté au terme d’une course-poursuite avec les policiers de la brigade spécialisée de terrain nord. Ces derniers avaient voulu le contrôler. Il a pris tous les risques pendant dix minutes en roulant notamment à contresens avec des pointes à 100 km/h dans Toulouse. Dans sa fuite, il a percuté la voiture d’un jeune homme route de Launaguet. La victime se retrouve aujourd’hui le bras en écharpe. Son véhicule est une épave.

    (…) Dans l’habitacle de la voiture se trouvaient 20 grammes de résine de cannabis ainsi qu’une balance de précision. En poussant plus encore leurs recherches, ils ont découvert 275 gr de résine dissimulés dans le caleçon du chauffard. Dépisté, il a été testé positif au cannabis. Il conduisait sans permis et une douille de 9 mm percutée voyageait avec lui.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • David Lisnard, Maire de Cannes, dénonce des formations obligatoires notamment sur le genre à Sciences Po Toulouse : « Le fléau du wokisme ne cesse d’infiltrer l’enseignement supérieur »

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Twitter