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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 952

  • BHL, le fauteur de troubles

    Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2022

     
     

    Là où il y a la guerre, il y a Bernard Henri-Levy. C’est un théorème, une règle politique obligatoire, qui ne sera caduque qu’à la mort du personnage. Et la guerre qui aujourd’hui accapare toute l’attention sur elle, c’est bien évidemment celle du covid, non, pas cette fois, bien qu’elle fasse tout pour revenir sur le devant de la scène, cette chienne. Plus sérieusement, on parle bien évidemment de l’Ukraine. Tout le monde n’en peut, personne n’y comprend rien, et pourtant, à chaque événement dans cette guerre, tout le monde devient expert de l’Ukraine. Récemment, les Russes ont réussi à prendre la ville industrielle de « lyssytchansk », un lieu dont personne n’en avait rien à faire jusqu’à hier. Personne ne savait que ça existait, mais aujourd’hui c’est différent, elle est sur le devant de la scène, alors tout le monde en parle ! Enfin, Dieu merci, moi je l’écris parce que je ne sais même pas comment on prononce le nom du bled. Bref, vous vous doutez bien que si toute la presse en parle, Twitter ne s’est pas privé de nous faire part de ses meilleures analyses géopolitiques, et c’est là où le maître absolu du tweet géopolitique puant fait son entrée, j’ai nommé BHL.

     

    Et il a fait fort encore une fois, en nous comparant la résistance du Lyssytchansk à la bataille des Thermopyles. Une comparaison stupide, comme si l’Ukraine soutenu par tout l’occident était dans la même situation que 300 Spartiates seuls face à plusieurs dizaines voire centaines de milliers de Perses surexcités. Bon, ensuite évidemment, on peut dire que le bataillon de néo nazis « Azov » est effectivement représentatif d’un certain esprit spartiate, mais j’avoue que je ne m’attendais pas à voir BHL soutenir le nazisme…

     

    De toute manière, si vous souhaitez perdre des neurones, je vous conseille d’aller regarder son compte Twitter. Il n’y a que des pépites, c’est fascinant. Comme, lorsqu’il nous explique que l’armée russe est lâche parce qu’elle bombarde ses adversaires. Bienvenue au XXIe siècle monsieur Levy, cela fait un siècle que la guerre à changer dû à certains progrès technologiques comme par exemple l’aviation. C’est quand même bizarre que BHL ne soit pas au courant de ces progrès, alors qu’il avait fort peu de scrupules et de critique à faire sur l’aviation, à l’époque de la Libye, lorsqu’elle permettait de bombarder cette dernière. Cependant, en 2018, au micro de France Inter, il nous expliquait que la guerre en Libye, « c’était tant mieux si j’y suis pour quelque chose » donc peut-être que les bombardements ce n’est pas si grave, s’ils sont là pour sauvegarder la belle démocratie si chère à ses yeux.

     

    Néanmoins, cette nostalgie des Thermopyles, ce dégoût des bombardements (sauf ceux qui l’arrangent bien entendu), sont finalement un raisonnement simple et clair : BHL n’aime pas la guerre moderne. Et on ne peut que le comprendre ! Les parties de caches-caches urbaines durant des mois, les armes de destructions massives, mais quelle emmerde… On a perdu le peu d’humanité qu’on pouvait trouver dans la guerre, maintenant, on extermine son adversaire à distance en pilotant un drone à des milliers de kilomètres. Alors qu’on pourrait régler ça une bonne fois pour toutes à grand coup de masse d’armes sur un champ de bataille comme à la belle époque, c’est vrai qu’on ait sur une forme d’humanité un peu sous-développée, je veux bien le reconnaître, mais au moins c’est direct, franc…

     

    En-tout-cas, on n’aura rarement vu une propagande aussi peu fine, et aussi matraquée que celle que BHL nous fait sur son compte Twitter, on pourrait presque croire que le compte est parodique.

     

    Par Tanguy Letty L’incorrect

    Justice : BHL débouté contre Blast


    Les journalistes traditionnels ne cessent de solliciter la parole de ce personnage manichéen qui a trempé dans toutes les guerres et crimes de l’Occident contre le reste du monde


    Source: Blast-info.fr

     

    Le jugement est tombé un peu après 16 heures au greffe du TGI de Paris : la 17ème chambre déboute BHL de sa plainte par laquelle il entendait faire censurer les premières révélations de notre enquête sur l’argent noir du Qatar – dont ce volet le concerne directement. Les juges reconnaissent de fait la légitimité de notre travail. Ils condamnent par ailleurs Bernard Henry-Lévy, qui avait refusé de nous répondre, à 3 000 euros au titre de l’article 700 (code de procédure civile).

    L’attente a duré, plus que prévu. Au greffe, ce mercredi, où Me Julien Kahn, l’avocat de Blast retenu par le procès des attentats du 13 novembre avait délégué une collaboratrice, il a fallu patienter. Une trentaine de minutes longues comme l’éternité dues à une panne informatique, avant que la nouvelle ne tombe.

    La fureur de BHL

    La 17ème chambre du tribunal de Paris, compétente pour les affaires de presse, déboute Bernard Henry-Lévy. En cause un article mis en ligne sur notre site le 29 avril 2021, intitulé « Qatar Connection : les documents qui visent Carla Bruni Sarkozy, BHL et Laurent Platini ». Après sa parution, le 3 mai, le philosophe avait assigné Blast et son directeur de publication, Denis Robert. Il demandait à la justice de les condamner solidairement à 100 000 euros de dommages et intérêts. Par ailleurs, il réclamait le retrait de l’article, sous astreinte.

    Crédit photo: Wikipedia

    Bernard Henry-Lévy considérait notamment comme « gravement » attentatoire à son honneur et sa considération nos révélations sur un courrier du ministre qatari des Finances. Un document signé le 25 octobre 2011. Dans celui-ci, le ministre informait le directeur du Trésor de l’émirat « qu’un chèque certifié de 40 millions de riyals qataris (environ 9,1 millions d’euros, à la parité actuelle) [devait] être remis à Bernard Henry-Lévy. Sur ordre de l’émir ».

    La 17ème chambre, réceptive aux arguments de Blast et de son avocat, n’a pas suivi les demandes du plaignant.

    Lors de l’audience tenue le 16 juin, la discussion s’était concentrée sur cette dimension prétendument diffamatoire de notre travail, que nous contestions. « Il sera observé, écrivent les magistrats dans leur jugement, qu’à ce stade aucun fait n’est imputé à Bernard Henry-Lévy autre que l’insinuation qu’il ait pu recevoir de l’argent de la part d’un Etat étranger, dont les relations avec la France et les investissements dans le pays sont notoires ». Dans notre article, nous en étions restés là, puisque rien ne permettait d’affirmer – aucun élément en notre possession à ce stade – que ce versement avait été acté. Par ailleurs, et jusqu’à preuve du contraire, il n’y a rien d’illégal dans le fait de recevoir un chèque d’un Etat étranger, ce que nous avions d’ailleurs soulevé à la barre pour souligner l’irrecevabilité de la plainte.

    Une fois les éléments du litige ainsi qualifié, le tribunal se prononce. « Ce fait, s’il est précis, peut-ton lire par ailleurs dans les minutes du jugement, n’est pas contraire à l’honneur et à la considération, notions dont il doit être rappelé qu’elles ne doivent pas s’apprécier selon les conceptions personnelles et subjectives du demandeur, mais en fonction de critères objectifs et de la réprobation générale provoquée par l’allégation litigieuse ». Cinglant.

    Porte-parole autoproclamé de la rébellion libyenne

    Pour fonder leur opinion, les juges se sont également penchés sur le décryptage mettant en perspective la révélation (et la publication) de ce document. S’interrogeant sur les raisons d’une telle prodigalité, Thierry Gadault et Bernard Nicolas, les auteurs, rappelaient que BHL, « porte-parole autoproclamé de la rébellion libyenne », avait à l’époque pesé « de tout son poids pour convaincre le président Sarkozy d’engager la France militairement [en Lybie], sous couvert d’une opération autorisée par l’ONU ». Nous précisions encore, pour tenter de percer le mystère, qu’une « autre version [circulait] dans les milieux du renseignement ». Selon laquelle, « la chute du colonel Kadhafi aurait été imaginée, préparée et organisée par Doha, la capitale du Qatar ». Pour y parvenir, le régime qatari aurait « utilisé les grands pays occidentaux, à commencer par la France, pour mettre son plan à exécution et faire la sale besogne ».

    Sarkozy en 2010. Crédit photo Wikipedia

    Sur cette analyse qui met en perspective l’existence de cet ordre de paiement officiel et l’action menée par BHL en Lybie, jusqu’à la chute du colonel Kadhafi, le jugement (les minutes…) complète le tableau : « Il est dès lors insinué dans l’article que les prises de position du demandeur [BHL], « en faveur des Droits de l’Homme dans les conflits qui ont marqué la fin du XXème siècle et le début du XXIème siècle », selon les conclusions en demande, « dans la politique de la France d’avantager les rebelles du CNT face aux forces loyalistes et aux autres factions d’opposition » selon les conclusions en défense, auraient eu pour inspiration « ce plan » du Qatar. »

    Pas un caractère diffamatoire

    Des précisions qui avaient achevé de rendre le plaignant furieux. Mais là encore, la justice refuse de lui donner raison. « Toutefois, s’interroger sur les raisons qui ont poussé Bernard-Henri LEVY à prendre position, en 2011, sur les évènements alors en cours en Libye, qu’il s’agisse de sa judéité, de son désir de protection de la population locale ou de son appui à la politique qatarie, ne constitue pas l’articulation d’un fait précis qui serait susceptible de faire sans difficulté l’objet d’un débat contradictoire sur la preuve de sa vérité ».

    Pour le dire clairement, la presse est parfaitement dans son rôle et son droit, n’en déplaise au patron de la biennommée revue La règle du jeu, quand elle commente les affaires du monde, y compris quand celui-ci s’y invite.

    Ce travail de décryptage, note le tribunal, relève « d’une déduction », « voire d’un procès d’intention », « dont la vérité est impossible à prouver ». « Sa pertinence peut être librement débattue » », estiment les juges, mais « il n’appartient pas au tribunal de se prononcer sur la pertinence des opinions, même si elles peuvent légitimement heurter ».

    De fait, concluent la décision du jour, « le passage ne présentant pas un caractère diffamatoire, le tribunal déboutera Bernard-Henri LEVY de l’ensemble de ses demandes ».

    Pour Bernard Henry-Lévy et son avocat Me Alain Jacubowicz, la gifle est cuisante. Au titre de l’article 700 du code de procédure civile, le premier est par ailleurs condamné à payer 3 000 euros à Blast et à Denis Robert, pour les « frais irrépétibles qu’ils ont dû exposer pour la défense de leur intérêt ». Un retour à l’envoyeur puisque BHL avait également demandé que lui soit versé encore 15 000 euros, au titre du même article.

    * Bernard Henry-Lévy a décidé de faire appel (source : le Monde)

     

    Poursuivre :

    Lire et relire les différents volets de notre enquête sur le Qatar :

  • En Uruguay, la justice donne 48 heures à Pfizer pour dévoiler le contenu chimique de son vaccin anti-covid

    Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2022

    Les ennuis commencent pour Pfizer en Amérique latine. Alors qu’une nouvelle vague covid est annoncée dans presque tous les pays d’Europe, le géant américain risque gros en Amérique du Sud où la justice d’un pays exige qu’il dévoile le contenu de son vaccin. C’est du moins l’information que notre média a obtenue ce lundi de plusieurs sources fiables.

    En effet, d’après le média Telesur, la justice uruguayenne a exigé lundi 04 juillet que le gouvernement de ce pays dévoile les contrats signés avec le géant pharmaceutique américain. Selon les informations obtenues par ce média, la décision du juge Alejandro Recarey s’explique par une plainte déposée par des parents qui demandent toute transparence avant que leurs enfants ne soient vaccinés.

    « Le magistrat demande à connaître les termes de la négociation et s’il existe des clauses d’indemnité ou d’impunité. Au même moment, le décret exige que soient divulguées les informations sur la composition biochimique des vaccins contre le Coronavirus », rapporte Telesur.

    L’information a été confirmée par le média uruguayen, M24.com.uy. D’après cette source, ce mercredi 06 juillet à 9H00, les autorités sanitaires du pays sont convoqués pour s’expliquer sur les termes des contrats signés avec Pfizer, mais également sur le contenu du vaccin qui sera bientôt administré aux enfants de ce pays.

    Il faut dire que si la justice venait à dévoiler les termes des accords signés avec Pfizer, ce serait un coup dur pour le laboratoire américain qui refuse catégoriquement de fournir quelconque information sur ses vaccins. D’ailleurs, c’est l’une des conditions qu’il impose aux États.

    En tout cas, à peine révélée, l’affaire commence déjà à faire grand bruit sur les réseaux sociaux.

    https://twitter.com/chantalattia/status/1543715050506133504

     

    source : Nouveau Monde

  • Quand la propagande de guerre occidentale finit par admettre le réel

    Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2022

    À coups d’informations tronquées, de souhaits stériles, de rafistolages tordus, d’annonces grandiloquentes, depuis 131 jours, ces médias tentent de faire gagner l’Ukraine, leur favori. Ce faisant, leur pensée unique – ou leur unique pensée – s’écarte du réel, à tel point que l’atterrissage devient dangereux.

    Le 5 juillet 2022, le JT de France 2 a fini par atterrir et admettre que les Russes avaient en grande partie conquis le Donbass. Qu’on soit pro ou anti-russe, les faits sont têtus et se fichent des fictions de la bien-pensance.

    Regarder la réalité en face n’a jamais été le fort de notre information mainstream et de ses producteurs. C’est la mort dans l’âme, comme s’il était défait, que Laurent Delahousse, ce Cloclo de l’info, admet que les troupes ukrainiennes se disloquent dans le sud de l’Ukraine. Une sorte de défaite personnelle incongrue sur le service public, théoriquement neutre, théoriquement destiné à toutes les opinions…

    Source

  • « On va vous faire brûler, sortez les cocktails ! » : des policiers attaqués par une dizaine d’individus à Grigny (91), de nombreux tirs de mortiers d’artifice lancés (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2022

    « On va vous faire brûler ! », « Sortez les cocktails ! », « Vive l’année 2016 ». Voici, selon les éléments que nous avons pu recueillir, les cris entendus par des policiers en intervention dans le quartier de la Grande Borne, à Grigny (Essonne), lundi soir. Une référence à l’attaque des policiers brûlés de Viry-Chatillon, où des fonctionnaires avaient été pris à partie à coups de pierre et de cocktails molotov par seize jeunes masqués en octobre 2016 dans le même quartier. Deux policiers avaient été grièvement brûlés. Pour ces faits, cinq mineurs ont été condamnés sur les treize renvoyés aux assises pour tentative de meurtre.[…]

    Si les caillassages et les guets-apens restent fréquents à la Grande Borne, les références claires à l’attaque de 2016 le sont moins depuis le procès des assaillants. Désormais majeurs, une partie d’entre eux se trouve en détention ou a quitté le quartier. Mais d’autres, plus jeunes, prennent le relais. « C’est un quartier où l’on n’intervient pas n’importe comment, remarque un représentant du syndicat Alliance 91. En 2016, les autorités avaient mis le paquet pendant un an. Les trafiquants avaient été obligés de changer leur point de deal ! Mais depuis, rien ne change, il y a toujours une notion de guet-apens permanent pour les policiers ».

    Le Parisien


    Deux équipages de policiers ont été violemment agressés dans le quartier de la Grande-Borne à Grigny (Essonne), par une dizaine d’individus ce lundi soir, alors qu’ils venaient de terminer une intervention, rue de la Plaine.

    “Ils ont essuyé de nombreux tirs de mortiers d’artifice”, explique une source proche de l’enquête. Des agressions aux mortiers devenues courantes en Essonne ainsi que dans les autres départements de la région parisienne. Les policiers répliquent par des moyens lacrymogènes et des tirs de lanceur de balle de défense (LBD).

    Mais le groupe d’agresseurs menace de mort les forces de l’ordre en hurlant : “On va vous faire brûler ! Sortez les cocktails, vive l’année 2016 !” rapporte cette même source. Une référence sans équivoque à l’attaque des policiers à Viry-Châtillon cette année là, dans laquelle deux d’entre eux avaient été très grièvement brûlés.

    (…) “‘On va vous faire brûler – sortez les cocktails – vive l’année 2016′” sont les propos scandés par des individus hier soir à Grigny, tout en arrosant copieusement les forces de l’ordre, en tirs de mortiers”, déplore de son côté le syndicat Alliance Police Nationale de l’Essonne, dans un communiqué sur Facebook. L’organisation félicite également les équipages de police qui sont intervenus et ont procédé à cette arrestation.

    Actu 17

  • Immigration : l’Allemagne veut régulariser des dizaines de milliers d’immigrés déboutés du droit d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2022

    Le gouvernement allemand a adopté mercredi 6 juillet un projet de loi ouvrant la possibilité de régulariser des dizaines de milliers de personnes immigrées bien intégrées en Allemagne, mais sans permis de séjour durable dans ce pays. Ce texte, une promesse de la coalition au pouvoir depuis fin 2021, vise à faciliter l’intégration des étrangers dits «tolérés», qui ne peuvent pas être expulsés mais n’ont pas le droit de travailler.

    Approuvé mercredi en conseil des ministres par le gouvernement d’Olaf Scholz, il concerne environ 130.000 étrangers vivant en Allemagne depuis au moins cinq ans mais ne pouvant y faire de projets à long terme faute de disposer d’un titre de séjour permanent. «Ces personnes, qui ont trouvé leur cadre de vie en Allemagne grâce à une longue durée de séjour, doivent se voir ouvrir une perspective en matière de droit de séjour et se voir offrir une chance de réunir les conditions nécessaires à un séjour légal», peut-on lire dans le texte du ministère de l’Intérieur.

    Elles pourront obtenir un permis de séjour d’un an, le temps pour elles de prouver notamment qu’elles peuvent se prendre en charge financièrement. À l’issue de cette période d’essai, elles pourront recevoir un titre de séjour définitif. Le regroupement familial pour ces personnes doit en outre être facilité, selon le projet gouvernemental.

    (…) Le Figaro via fdesouche