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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 948

  • Huit ans après, l’ouverture d’une nouvelle mosquée en Dordogne malgré l’opposition de certains riverains

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2022

    Une nouvelle mosquée vient d’être inaugurée en Dordogne, à Montpon-Ménestérol. Le premier projet date d’il y a huit ans, en 2014.

    Les Musulmans du Montponnais ont désormais une mosquée pour prier. Le bâtiment de 380m2 a été inauguré ce jeudi 29 juin à Montpon-Ménestérol au 224 rue de Buzet. Il en a fallu du temps pour que les fidèles aient enfin un lieu de prière pour les accueillir. Cela fait plus de huit que le projet était dans les cartons. Les Musulmans du secteur souhaitent un lieu de culte car ils n’avaient jusqu’à présent qu’une salle mise à disposition pendant quatre heure le weekend.

    Huit ans de rebondissements

    L’association des Musulmans de Montpon-Ménesterol porte ce projet depuis 2014. A l’époque, ils ont recensé une centaine de familles musulmanes sur le secteur. L’association compte une soixantaine de membres. Ils déposent un premier permis de construire en novembre 2013 pour construire une mosquée dans un quartier pavillonnaire au croisement entre la rue Eugène Leroy et la rue du 19 mars 1962, derrière le collège. Il s’agit d’un bâtiment sans minaret de 240 mètres carrés avec deux salles de prière, une bibliothèque et trois bureaux.

    Le projet à l’époque suscite l’opposition de certains riverains qui lancent une pétition. Une association baptisée le Cochon Gaulois est même créée. En février 2014, des graffitis sont retrouvés sur l’église, la mairie et sur les panneaux d’entrée de la ville. Le maire de l’époque, Jean-Paul Lotterie joue les intermédiaires et réunit tout le monde pour apaiser les incompréhensions. La mosquée ne sera pas financée par de l’argent public.

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Saint-Orens-de-Gameville (31) : une jeune femme de 20 ans tuée et un homme grièvement blessé lors d’une attaque au couteau (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2022

    Un jeune couple a été agressé à l’arme blanche à Saint-Orens de Gameville (au sud-est de Toulouse) ce vendredi. La jeune femme, âgée de 20 ans, est morte. Son compagnon, âgé de 22 ans, a été grièvement blessé. L’auteur présumé des faits a été interpellé. 

    Il est approximativement 22h40 lorsque, à Saint-Orens-de-Gameville, au beau milieu d’un quartier pavillonnaire, plusieurs riverains aperçoivent un jeune homme, ensanglanté, au milieu de la rue. Celui-ci est en état de choc : “Il criait ‘Au secours !’ Il a fait quelques mètres et s’est effondré”, témoigne une habitante. Il explique aux personnes présentes sur place que lui est sa compagne viennent d’être agressés à l’arme blanche au sein même de leur domicile, qui se trouve à une centaine de mètres de là. “Il a pu dire qu’on avait essayé de les tuer lui et sa femme”, décrit le parquet de Toulouse.

    Les forces de l’ordre se déplacent jusqu’au domicile du jeune couple. Ces derniers aperçoivent alors le corps d’une jeune femme inanimé, criblé de plusieurs coups de couteau, juste devant la porte d’entrée de la bâtisse.

    (…) Selon le parquet, l’agresseur présumé et ses victimes se connaissaient. 

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Assises du Haut-Rhin : ils s’étaient aimés dès le premier regard, elle finit avec une balle dans l’oeil

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2022

    Assises du Haut-Rhin Douze ans de réclusion pour avoir tenté de tuer sa compagne

    Le Mulhousien qui a finalement reconnu avoir tiré un coup de feu dans l’œil de sa compagne, tout en soutenant qu’il s’agissait d’un accident, a été condamné à douze ans de réclusion criminelle pour tentative de meurtre, ce vendredi 1er juillet par la cour d’assises du Haut-Rhin.

    Il aura fallu attendre plus de trente-deux mois et l’ultime occasion de s’expliquer sur les faits pour entendre Ouahbi Boubaker reconnaître avoir tiré un coup de carabine dans la tête de sa compagne de l’époque, le 8 octobre 2019 rue Mathias Grunewald à Mulhouse, entraînant un traumatisme considérable dont la perte définitive de la vision d’un œil.

    « Pour ma part la mémoire va mieux, je n’ai plus de trous noirs », a assuré l’accusé. « On s’aimait vraiment, dès les premiers regards. Contrairement à ce que cette femme prétend, elle m’avait confié sa carte bancaire pour faire les courses. Et par ailleurs, on désirait un enfant. Mais notre consommation de cocaïne et les problèmes d’argent qui s’ensuivaient entraînaient de violentes disputes, comme…

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur DNA

  • « Avoir une arme sur soi, c’est avoir la possibilité de se défendre »… Ces Français qui s’arment « au cas où »

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2022

    Au moment où Joe Biden signe une loi pour réguler les armes à feu aux Etats-Unis, certains Français rêvent d’une législation à l’américaine. Des armes à feu sont parfois saisies par les douanes lors de contrôles sur les routes ou dans les trains. En France, si la détention d’arme est autorisée – sous conditions, le port d’arme, lui est totalement interdit. Selon le ministère de l’Intérieur, plus de cinq millions de Français possèdent une arme légalement.

    Un pistolet semi-automatique 22 Long Rifle, un pistolet semi-automatique 9 millimètres et un fusil R223, c’est l’impressionnant arsenal dont s’est doté Mitch ces dernières années pour se défendre face à un sentiment d’insécurité qu’il juge grandissant. En France, 5,5 millions de personnes possèdent légalement une arme à feu, selon les chiffres communiqués par le ministère de l’Intérieur à 20 Minutes. Parmi eux, quatre millions de chasseurs forment une grande partie des détenteurs d’armes. Le reste, 1,5 million, est constitué de professionnels des armes – fabricants, importateurs, armuriers, courtiers –, des collectionneurs et les licenciés de clubs de tirs sportifs.

    Depuis une dizaine d’années, ces clubs ont vu leur nombre d’adhérents exploser, passant de 145.000 en 2011 à plus 242.000 en 2022, soit une augmentation de 70 %. Si certains se sont passionnés pour ce sport, d’autres s’entraînent et achètent des armes dans un but moins avouable, et encore très tabou, celui de l’autodéfense.

    C’est le cas de Mitch, donc, membre de l’ARPAC, une association qui milite pour le rétablissement du port d’arme citoyen dans l’espace public. Autrement dit, le droit de porter une arme dans la rue « au cas où ». Pour ce commercial de 40 ans, « avoir une arme sur soi, c’est avoir la possibilité de se défendre. Ma conjointe fait 50 kg toute mouillée, elle n’est physiquement pas apte à résister, n’importe qui peut lui faire du mal. Une arme, au moins, ça met tout le monde à égalité », explique-t-il, affirmant que l’association, qui regroupe plusieurs milliers de personnes, reçoit chaque semaine de nouvelles demandes d’adhésion.

    Pourtant, en France, à de très rares exceptions près, le port d’arme est totalement interdit. « Hormis les forces de l’ordre, le port d’arme peut être autorisé dans certains cas, pour les gardes du corps, certains politiques, journalistes, avocats ou magistrats concernés par des risques liés au terrorisme », explique Yves Gollety, le président de la Chambre Syndicale Nationale des Armuriers Français (CSNA), rappelant que le permis est délivré par le ministère de l’Intérieur et renouvelé tous les ans.  […]

    Mais c’est en dehors du stand de tir que Mitch, lui, voudrait pouvoir porter son arme. Car depuis les attentats de 2015 notamment, le commercial affirme ne pas se sentir en sécurité : « La police ne peut pas être présente partout, le temps d’intervention varie en fonction des territoires, notamment dans les milieux ruraux. Je fais confiance à la police pour rechercher les auteurs d’agressions après, mais au moment même, on ne peut pas compter sur elle, on doit pouvoir se défendre nous-même ».

    Pour Patrice Bouveret, directeur de l’Observatoire des armements, ce sentiment d’insécurité s’est développé après les attentats de 2015, mais aussi avec la baisse de la confiance dans les forces de l’ordre.  […]

    20 minutes via fdesouche

  • Toulouse : un prêtre attaqué à coups de casserole et de couteau maîtrise son agresseur dans le sang

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2022

    fdesouche

    Au nord de Toulouse, un prêtre agressé chez lui à coups de casserole et de couteau maîtrise son agresseur dans le sang

    Le prêtre avait vu juste…L’agresseur se saisit d’une casserole qui se trouvait sur la gazinière et frappe le Père Gibson trois fois à la tête. Mais qu’à cela ne tienne, le crâne ouvert ,et sans lâcher prise, le curé lui dit que s’il se calmait, il le lâcherait. L’individu fait un autre choix et s’empare d’un couteau et le blesse au tendon du pouce. Il en faut cependant plus au courageux curé pour abandonner… Le prêtre maintient la contention tout en oppressant davantage l’intrus violent “afin de le fatiguer”. Ce dernier tente alors une nouvelle fois de s’échapper. Mais le Père Gibson, pourtant en simples sandales et glissant sur le sang qu’il a perdu, l’en empêche. C’est à ce moment que son invitée, partie faire une course, revient. Comprenant vite ce qu’il se passe, elle ressort chercher des secours auprès des bouchers qui appellent la gendarmerie. En attendant son arrivée, l’un d’eux passe par la fenêtre et aide le Père Gibson à maîtriser l’individu alors sous contrôle d’une équipe bien décidée à ne pas le laisser partir.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur La Dépêche