GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 955

  • 1925 : Naissance de Jean Raspail

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

      
    Si tous ses romans son attachants, bouleversants parfois (Le jeu du Roi...), les jugements et points de vue sur l'oeuvre et le style de Raspail dépendront, forcément, de chacun de ses lecteurs.
     
    Il est un de ses romans, cependant, qui sort, en quelque sorte de la littérature, par la vision prophétique des choses qu'il proposa, et ce dès le printemps 1973 : Le Camp des Saints.

    5 juillet,charles x,alger,conquete de l'algerie,bourmont,abd el kader,duc d'aumale,bugeaud,sidi ferruch,bernanos,maurras,action française,gide,silhouette

    Quatrième de couverture (réédition de 2010) :

    Nous sommes tous les acteurs du Camp des Saints...
    Dans la nuit, sur les côtes du midi de la France, cent navires à bout de souffle se sont échoués, chargés d'un million d'immigrants. Ils sont l'avant-garde du tiers-monde qui se réfugie en Occident pour y trouver l'espérance. À tous les niveaux, conscience universelle, gouvernements, équilibre des civilisations, et surtout chacun en soi-même, on se pose la question trop tard : que faire ?
    C'est ce choc inéluctable que raconte Le Camp des Saints.
    Paru pour la première fois en 1973, Le Camp des Saints est le livre qui a fait connaître Jean Raspail au grand public. Il révélait la fascination de l'auteur pour les causes perdues et les peuples disparus, une fascination qu'on continuera d'observer à travers la suite de son oeuvre.
    "Y a-t-il un avenir pour l'Occident ?" demandait-il à l'époque. Certains ont été choqués par la façon dont la question était posée, d'autres, en France comme à l'étranger, ont parlé d'oeuvre prophétique.
    "On n'épousera ou on n'épousera pas le point de vue de Jean Raspail, pouvait-on lire sur la quatrième de couverture de la première édition. Au moins le discutera-t-on, et passionnément". En 2010, ce débat n'a rien perdu de son actualité.
     
     
     
    Royaliste de coeur et de  raison, il accorda, en 1978, un très intéressant entretien au mensuel Je suis Français, (entretien réalisé par François Davin et Pierre Builly).
     
    Il participa également deux fois au Rassemblement royaliste des Baux de Provence, où il prononça deux discours : vous pouvez écouter l'un d'eux dans notre note du 5 février 2015.
     
    Le 17 juin 2004, Jean Raspail publia une tribune dans Le Figaro, intitulée "La patrie trahie par la République", dans laquelle il critiquait la politique d'immigration menée par la France. Il fut attaqué en justice par la LICRA pour "provocation à la haine raciale", mais fut relaxé par une décision de la 17ème chambre du tribunal de grande instance de Paris en date du 28 octobre.
  • La Covid repart: échec absolu d’une folie à 600 milliards

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

    lesmoutonsrebelles

    Les coûts de la politique sanitaire

    Le confinement des premiers mois a été évalué par Laurent Cappelletti, professeur au CNAM. Dès avril 2020, il l’estimait à un coût mensuel de 150 milliards d’euros. Il avait raison. L’accroissement de l’endettement de la France de 700 milliards résulte bien de cette première folie, même s’il tient marginalement à quelques autres facteurs. L’ardoise sanitaire, c’est environ 600 milliards. En plus du confinement, les vaccinations représentent quelques milliards aussi. 146 millions de doses ont été administrées pour un prix compris en 15 et 20 euros la dose selon les périodes. La seule vaccination a coûté entre 2,3 et 2,8 milliards d’euros. Concernant les tests, bien mal nommés anti-Covid, le simple mois de décembre et ses 28 millions de tests ont couté un milliard d’euros à l’assurance maladie. Le ministre des Comptes publics reconnaissait un mois plus tard que les tests anti-Covid coûtaient 1,5 milliard pour le mois de janvier. Deux mois de tests ont coûté 2,5 milliards. Pourquoi faire ? La politique sanitaire représente donc une hystérie de plus de 600 milliards d’euros.

    Un ministre des Finances amnésique

    Et nous entendons un ministre des Finances parler de « cote d’alerte » avec près de 3 000 milliards d’euros de dettes, soit 114,5% du PIB. Peut-il rendre des comptes sur sa responsabilité et ses résultats, puisqu’il a contribué à son accroissement abyssal ? Nous étions en 2017 à 2 200 milliards de dettes, soit 98 % du PIB. Peut-il expliquer le ratio d’efficacité de cette dépense inédite dans l’histoire économique de la France ?

    La valeur concrète de cette folle dépense

    Prenons la mesure de cette dépense sanitaire faramineuse. Rappelons que le fonctionnement annuel d’un hôpital départemental s’estime dans une fourchette de 250 à 350 millions d’euros. Ce sont donc 2 000 hôpitaux fonctionnant pendant un an où 100 hôpitaux départementaux fonctionnant pendant 20 ans. 600 milliards, c’est 15 ans du budget de la défense (un peu moins de 40 milliards en 2021) ou 10 ans du budget de l’éducation nationale (55 milliards en 2021). Un tel sacrifice jamais engagé dans les dépenses publiques de la France exige un résultat rapide et parfait, à la hauteur de la dépense et des promesses exposées comme des certitudes de foi par tous les spécialistes, non ? Nous avons tous en mémoire l’agressivité, le scientisme des certitudes, l’arrogance et le mépris du ministre Véran en particulier. 600 milliards, pourquoi faire ?

    La nullité du résultat

    Or, cette dépense inouïe a-t-elle obtenu un résultat à la hauteur, soit l’éradication rapide du virus ? Non, puisque nous parlons d’une 7ème vague, que des personnes meurent encore de cette maladie, même si, fort heureusement, ce ne sont pas des milliers par jours. Mais ce confinement initial nous a-t-il libéré de la maladie ? Non. Le 2e confinement ? Non. La vaccination a-t-elle fonctionné ? Non, puisqu’aujourd’hui les chiffres démontrent que les malades sont des vaccinés ainsi que les hospitalisés. Charlatanisme, escroquerie ? Et les tests ont-ils été utiles ? Non plus, puisque la maladie demeure. Alors à quoi ont servi ces 600 milliards de dépenses publiques ? Et nous n’avons pas aujourd’hui la capacité de mesurer le coût des effets indésirables. Il risque d’être élevé.

    La liberté démocratique d’inventaire des responsabilités

    Est-il possible dans une société libre et démocratique de demander à nos nouveaux élus d’ouvrir une commission d’enquête transparente, voire populaire, pour exiger des réponses sur les responsabilités de ces engagements de dépenses faramineuses ? Il y a là plusieurs enjeux. Celui de ne jamais reproduire une telle folie. Celui de sanctionner les ministres, voire le président à la hauteur de cette absolue folie. Celui, enfin, de solder cette dépense par des mesures et sanctions financières à l’encontre de ceux qui ont profité, voire corrompus : Union européenne, laboratoires, actionnaires des laboratoires, États complices, etc.

    L’enjeu majeur est de se libérer de cette emprise irrationnelle de quelques-uns sur le destin du plus grand nombre. Ils ont démontré qu’ils ne savaient rien. Nous avons maintenant la preuve que la dépense était irrationnelle, non pertinente et aujourd’hui sans résultat. Il est urgent de changer radicalement de paradigme. C’est cela le progrès, non ? Du moins, c’est une obligation avant de demander au Français de se sacrifier encore alors qu’il faut solder cette dette en la recouvrant auprès des auteurs de cette hystérie.

  • Noam Chomsky : « Les non-vaccinés doivent être isolés de la société et se débrouiller pour se nourrir ! »

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022


    « Les gens qui refusent d’accepter les vaccins, la réponse pour eux n’est pas de les forcer, mais plutôt d’insister pour qu’ils soient isolés. Si les gens décident d’être prêts à être un danger pour la communauté en refusant un vaccin, ils doivent avoir la décence de s’isoler. Ils n’ont pas le droit de courir partout en faisant du mal aux gens. » Plus loin Chomsky compare le covid à la variole : « Si cela atteint vraiment le point où ils mettent gravement en danger les gens, alors bien sûr, il faudra faire quelque chose. Si la variole s’avère à nouveau endémique et que certaines personnes insistent pour courir dans tous les lieux publics, alors ils faudra faire quelque chose avec eux. »

     

    Source

  • 5 juillet 1962 : ces morts dont la France s’est moquée…

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2022

    général katz,massacre d'oran 5 juillet 1962,

    Le colonel Fourcade a témoigné sous la foi du serment, déclarant avoir assisté en début de matinée, ce 5 juillet, à l’entretien téléphonique entre le général Katz, qui informait le chef de l’État que dans toute la ville se perpétrait un massacre au « faciès blanc », et de Gaulle lui a donné l’ordre criminel le plus formel : « Surtout, ne bougez pas ! »

    Le général Katz a décidé dans la matinée de survoler la ville en hélicoptère. Voici le témoignage du pilote :

    Nous survolons la ville, partout des gens qui fuyaient et des cortèges de bras en l’air, escortés par des ATO (auxiliaires de l’ nationale populaire) ou des civils en armes. Nous avons survolé le Petit Lac, là aussi une foule compacte bras en l’air, des gens qu’on faisait entrer dans l’eau et qu’on abattait froidement. J’ai hurlé : “Mon général on abat des gens, je vois l’eau qui devient rouge de sang.” Le général m’a répondu : “Retour à la base.”

    Les Européens étaient escortés jusqu’au commissariat central, où ils étaient torturés et tués, mais également vers le Petit Lac et la ville nouvelle. Ce massacre s’est poursuivi jusque vers 17 heures. 3.000 Européens massacrés sous les yeux du général Katz et sur ordre du chef de l’État français de l’époque : de Gaulle.

    Ce chiffre de plus de 3.000 morts et disparus a été enregistré par Mme Sallaberry, militaire de carrière en poste au bureau des exactions.

    Lors d’un entretien dans le magazine Le Point, en février 2002,  affirme :

    À l’époque sous-lieutenant en Algérie, j’ai vécu un drame affreux en mars 1962. Plusieurs de mes moghaznis (supplétifs musulmans) ainsi que le chef du village de Saint-Denis-du-Sig ont été tués dans des conditions atroces par un commando du FLN. J’ai retrouvé Miloud, mon aide de camp, égorgé. J’ai appris que près de 20.000 personnes ont été torturées et égorgées dans le Village Nègre (quartier d’Oran).

    Par la suite, il rectifiera à environ 3.000 morts et 800 disparus.

    Sous-lieutenant, Chevènement avait des soldats sous ses ordres. Est-il intervenu ?

    Ces morts, en France, on s’en est totalement moqué et les Français ne les ont guère pleurés.

    Le général Katz, le bourreau d’Oran, publiera ses mémoires sous le titre Une destinée unique. Unique, il est vrai, mais parce qu’elle se termine dans le déshonneur et l’abject. Ses « restes » contaminent la terre d’Espagne, à Rosas, où ils ont été déposés.

     

    Source : bvoltaire

  • Hommage aux victimes du massacre d'Oran le 5 juillet 1962

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2022

    SOUVENONS NOUS .COMMEMORATION DU MASSACRE D'ORAN LE 5 JUILLET 62 ...

    Demain à Montauban le CNC (Cercle National des Combattants) et le Cercle algérianiste du Tarn et Garonne organisent une cérémonie pour se souvenir du massacre d’Oran perpétré par le FLN et l’ALN le 5 juillet 1962 où furent tués et massacrés des milliers de Pieds-noirs et harkis, sans l’intervention de l’armée de la République gaullienne.
    A cette occasion j’invite toutes les personnes sensibles à cet épisode malheureux de nous rejoindre à 11 heures au cimetière du pont des Chaumes à Montauban.
    Membre du CNC
    Membre du bureau politique du Parti de la France