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«On tue notre père, et nous avec» : le sort de Jean-Claude, 70 ans, oppose famille et soignants
Sur décision du corps médical, Jean-Claude Seknagi ne serait pas réanimé si son état de santé venait à se dégrader. Une perspective qui scandalise la famille de cet habitant de Bondy, hospitalisé depuis trois mois à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). La justice vient de nommer un médecin expert pour trancher ce cas épineux.
En janvier 2022, cet habitant de Bondy âgé de 70 ans a été admis en réanimation à l’hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Alors que l’équipe médicale s’était accordée pour arrêter les soins en cas de rechute, son état de santé s’est considérablement amélioré. Son fils se confie.
« Quand tes cheveux s’étalent/Comme un soleil d’été… » La bouche pâteuse, Jean-Claude Seknagi récite par cœur les premières paroles du tube « Que je t’aime » de Johnny Hallyday. Sa tête repose sur un oreiller d’hôpital qui ne ressemble en rien à un champ de blé. Donné pour mort par la communauté médicale, ce patient mélomane de l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) sort alors d’un coma… de quatre mois.
L’homme de 70 ans était donné pour mort, et le médecin expert judiciaire déclarait à la famille que jamais dans le monde une personne dans son cas n’est sortie vivante de réanimation. Une autre évaluation conduite par « dix professeurs et docteurs spécialistes des troubles de la conscience » conclut dans le même sens. Aujourd’hui il est extubé, a pleinement repris connaissance, et devrait bientôt quitter le service de réanimation.
La Nouvelle-Zélande deviendra à l’horizon 2025 le premier pays au monde à taxer les éleveurs pour les émissions de méthane (CH4), comprendre les rots, que leurs animaux produisent.
Selon Sciences et Avenir, les vaches françaises émettraient autant de gaz en un an que 15 millions de voitures.
Evidemment, on peut tout à fait penser qu’il y a là un scandale d’Etat supplémentaire, avec une volonté de couvrir les graves mensonges dont se sont rendus coupables les cadres du régime : ces derniers ont mis en cause les malheureux Anglais, pour couvrir les hordes immigrées qui ont se sont livré à de nombreuses agressions (les vidéos comportaient des « images extrêmement violentes »).
« La justice n’aurait-elle pas réclamé les images de vidéosurveillance à temps ? C’est bien ce qu’a laissé entendre le directeur des relations institutionnelles de la Fédération Française de Football (FFF), Erwan Le Prévost. Il était auditionné au Sénat ce jeudi 9 juin concernant les débordements survenus au Stade de France le samedi 28 mai dernier, en marge de la finale de la Ligue des Champions. Alors qu’une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ces agissements, Erwan Le Prévost a indiqué au Sénat que les images de vidéosurveillance ont été « détruites », relate franceinfo. « Les images sont disponibles pendant sept jours. Elles sont ensuite automatiquement détruites », a-t-il détaillé.
Erwan Le Prévost a jugé qu’« on aurait dû avoir une réquisition pour les fournir ». Mais la justice ne s’en est pas préoccupée à temps. Les enregistrements des incidents ont donc été perdus pour de bon. « Pour avoir été au PC sécurité toute la journée, les images sont extrêmement violentes », a tenu à préciser Erwan Le Prévost. […] » (source VA)
À partir de 2014, l’État ukrainien a débuté plusieurs programmes militaires secrets. Le premier et le plus connu est sa collaboration avec le Pentagone dans 30 laboratoires différents. Selon les États-Unis, ce programme visait à détruire les armes biologiques que l’Union soviétique avait fabriquées et entreposées en Ukraine. C’est évidemment peu probable car on ne voit pas, 31 ans après l’indépendance et 8 ans après le début de ce programme, pourquoi il en resterait encore. Au contraire, selon la Russie, le Pentagone faisait sous-traiter par l’Ukraine des recherches sur des armes interdites par la Convention sur l’interdiction des armes biologiques de 1972. Sur la base de documents saisis lors de son opération spéciale, elle affirme notamment que des expériences ont été menées à leur insu sur des malades mentaux à l’hôpital psychiatrique n° 1 (Streletchyé, région de Kharkov) et qu’un agent tuberculeux a été manipulé pour infecter la population du district de Slavianoserbsk (République populaire de Lougansk). Ou encore que ces laboratoires menaient « des expériences extrêmement dangereuses visant à renforcer les propriétés pathogènes de la peste, de l’anthrax, de la tularémie, du choléra et d’autres maladies mortelles en recourant à la biologie de synthèse ». Un autre projet concerne les chauves-souris en tant que vecteurs de transmission d’agents de guerre biologiques potentiels, tels que la peste, la leptospirose, la brucellose, les filovirus ou les coronavirus.
Ces accusations gravissimes ne sont toujours pas clairement réfutées ou établies. La séance que la Russie avait convoquée à ce sujet au Conseil de sécurité des Nations unies, le 11 mars 2022 [6], n’a rien donné. Après avoir nié, la sous-secrétaire d’État, la Straussienne Victoria Nuland (et épouse de Robert Kagan), a déclaré lors d’une audition au Sénat US, le 8 mars 2022 : « L’Ukraine a… des installations de recherche biologique. Nous craignons que les troupes russes ne tentent d’en prendre le contrôle. Nous essayons donc, avec les Ukrainiens, de nous assurer que ces matériaux de recherche ne tombent pas entre les mains des forces russes si elles se rapprochent ». Malgré ces incohérences, les Occidentaux ont fait bloc derrière Washington, accusant Moscou de mentir. À leurs yeux, il est tout à fait normal que des États disposent de collections de ces maladies afin de les étudier, leur présence ne doit pas être interprétée comme destinée à fabriquer des armes. Les laboratoires ukrainiens sont régulièrement surveillés par l’OSCE (organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) [7]. Il n’en reste pas moins que cette interprétation ne permet pas de comprendre les propos de Madame Nuland et ne rend pas compte de catastrophes comme, par exemple, l’épidémie de grippe porcine qui a tué 20 soldats ukrainiens en janvier 2016 et à contraint 200 autres à être hospitalisés
L’ambassadeur russe, Vassili Nebenzia, a notamment dénoncé des recherches sur la transmission de maladies dangereuses par des ectoparasites comme les poux et les puces. Il a rappelé que des expériences similaires avaient « été menées dans les années 40 par la tristement célèbre Unité 731 de l’armée japonaise, dont les membres se sont réfugiés aux États-Unis pour échapper à la justice ». L’unité 731, c’est l’équivalent japonais du service du Dr Josef Mengele à Auschwitz.
Comme si cela ne suffisait pas, Monsieur Nebenzia s’est interrogé sur le transfert de plusieurs milliers d’échantillons de sérum sanguin de patients d’origine slave, d’Ukraine à l’Institut de recherche Walter Reed de l’armée US. Des recherches, selon lui, visant sélectivement des groupes ethniques spécifiques comme celles que le Dr. Wouter Basson mena pour l’Afrique du Sud de l’apartheid et Israël durant sa période coloniale contre les noirs et les arabes (« Coast Project »).
L’administration de l’Onu a botté en touche, assurant tout ignorer de ce programme et renvoyant aux mesures de confiance prévues par le Traité. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir qu’elle avait eu connaissance de l’existence de ce programme, mais en ignorait les détails. Elle a confirmé par écrit à l’agence Reuters qu’elle avait « fortement recommandé au ministère ukrainien de la Santé et aux autres organismes responsables de détruire les agents pathogènes à haut risque afin de prévenir toute fuite potentielle » [8]. La presse chinoise, quant à elle, évoque des expériences visant à transformer des insectes en cyborgs afin de féconder ou de stériliser des cultures (Opération « Insects Allies »).
Réunion d’experts des ministères de la Défense et de la Santé des Etats-Unis, de Pologne et d’Ukraine, organisée par la société d’Hunter Biden et de Christopher Heinz en 1996.
Source : Science and Technology Center in Ukraine
Ces expériences militaires, quelles qu’elles soient, ont été commandées indirectement par le Centre national de Renseignement médical (National Medical Intelligence Center) via l’Agence de la Défense pour la réduction des menaces (Defense Threat Reduction Agency — DTRA) et la société US Rosemont Seneca Technology Partners (RSTP). Cette dernière a été fondée par Hunter Biden et Christopher Heinz, respectivement fils du président Joe Biden et beau-fils de John Kerry [9]. Tous les résultats de ces recherches ont été envoyés au laboratoires biologiques militaires de Fort Detrick qui ont autrefois joué un rôle de premier plan dans le programme d’armes biologiques des États-Unis.
Comme l’a souligné le représentant chinois au Conseil de sécurité : « Toute information ou piste sur des activités biologiques militaires doit susciter une grande attention de la part de la communauté internationale (…) Les États-Unis disent qu’ils sont pour la transparence. S’ils estiment que ces informations sont fausses, ils n’ont qu’à fournir les données pertinentes et apporter des éclaircissements afin que la communauté internationale puisse se prononcer à ce sujet ».
Selon les Nations unies, si les Etats-Unis ont fourni régulièrement des rapports sur leurs activités biologiques dans le cadre de la Convention sur l’interdiction des armes biologiques, l’Ukraine n’en a jamais déposé [10]
La Russie a pris plusieurs mesures. D’abord elle a détruit avec précaution les conteneurs de 26 de ces laboratoires ukrainiens (4 autres ont échappé à l’armée russe). Ensuite, elle a invité ses alliés de l’OTSC (Organisation du Traité de sécurité collective) à surveiller les accords qu’ils avaient pu passer avec les États-Unis. L’Arménie et le Kazakhstan ont mis fin à ces recherches. Enfin, les membres de l’OTSC ont interdit l’accès de tout personnel de Défense étranger dans leurs laboratoires.
Un contrôleur de bus du réseau Tam a été agressé au couteau par un usager, ce mercredi 8 juin vers 15 h à l’arrêt Les Bouisses. L’auteur des faits a pris la fuite avant d’être interpellé. Le contrôleur a été conduit à la clinique Saint-Roch et opéré d’urgence. L’ensemble des bus et tramways du réseau rentrent progressivement au dépôt.
L’auteur des faits a pris la fuite. Imméditament recherché, il a été interpellé par la police municipale en fin d’après-midi. “Plainte est déposée, il devra rendre compte devant la justice. J’exprime soutien et solidarité à l’ensemble du personnel”, a aussitôt réagi le maire Michaël Delafosse. L’agent a quant à lui été transporté par des collègues à la clinique Saint-Roch. “Il vient d’entrer au bloc opératoire”, indiquait, moins d’une heure après l’agression, Laurent Murcia, secrétaire du syndicat F.O. du personnel de Tam. “Il présente une plaie de 10 cm à la cuisse”, précisait-il. La victime est âgée d’environ 45 ans. Lui et l’autre contrôleur qui l’accompagnait sont choqués.
La circulation des lignes de bus 15 (celle où intervenait le contrôleur agressé), puis 11, qui dessert également Les Bouisses, ont été interrompues. Le droit de retrait a ensuite été appliqué, peu avant 16 heures, à l’ensemble des bus et tramways, dirigés vers le dépôt. Le trafic s’arrête progressivement sur le réseau. (…)
Laurent Murcia alerte sur l’aggravation des violences et incivilités, dont sont victimes les agents sur le réseau montpelliérain. Le 20 avril dernier, c’est un chauffeur de bus qui avait reçu un coup de poing d’un passager à l’arrêt Observatoire. “Les conducteurs sont à bout, ils n’en peuvent plus. Ils sont épuisés des incivilités qui se multiplient. De mémoire, c’est la première fois qu’un contrôleur est victime d’un coup de couteau”.