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  • Greta Thunberg : quand la lutte environnementale tourne au cirque

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2019

    Rédigé par notre équipe le 23 février 2019. 

    Ce Gouvernement prouve depuis dix-huit mois son désintérêt profond pour tout ce qui touche à la préservation du climat. Les « Make our planet great again » et autres simagrées n’étaient que des coups de comm’ sortis du chapeau d’ « Isma » Emelien. La politique environnementale de Macron est catastrophique avec toute une série d’objectifs clamés avec force qui ne sont pas ou ne seront pas respectés. La politique macronienne ne vise qu’au symbole alors pourquoi ne pas tomber toujours plus bas dans la bouffonnerie et inviter une suédoise de 16 ans pour sauver la planète entre deux selfies ?

    « Cher Monsieur Macron, vous devez agir maintenant et pas simplement dire que vous allez agir. Si vous continuez à faire comme si de rien n’était, vous allez échouer. Et si vous échouez, vous allez être perçu comme l’un des pires méchants de l’histoire de l’humanité ». Eh hop ! Une vidéo postée qui débouche quelques jours plus tard sur une rencontre avec Macron en personne et son piteux ministre de la Transition écologique François de Rugy. Les gilets jaunes n’ont pas la recette pour avoir le droit de parler au président. Une adolescente suédoise de 16 ans, oui !

    Quand la planète et les Français sont moqués par Macron 

    C’est ainsi que l’exécutif nous a gratifié d’un nouveau sketch international mettant en scène les deux gusses cités et une petite poignée de lycéens venus de Belgique, d’Allemagne et de Suède donc. La rencontre a eu lieu ce vendredi à 18 heures au Palais de l’Elysée. Et pour bien montrer que Macron est un type génial, le servile de Rugy a bien tenu à préciser que le président français était le premier dirigeant européen rencontrée par l’ado militante… Super, mais au fond qu’est-ce que ça change ? Rien évidemment ! Macron fait encore et toujours dans la comm’ et quoi de mieux que cette lycéenne venue du froid pour attirer les caméras de télévision ?

    Greta Thunberg n’est qu’une création médiatique chargée de donner le change sur une question qui au fond n’intéresse pas les politiques. Les taxes carbones et autres escroqueries de ce genre ont montré qu’elles n’étaient là que pour remplir les poches d’un Etat désireux de redistribuer aux plus riches… Comment croire qu’en séchant les cours tous les vendredis pour aller gémir devant le Parlement suédois, on devient une égérie mondiale de la cause climatique ? Pure construction médiatico-politique, Thunberg sillonne désormais les COP et les forums (de Davos) pour affirmer que ce ne sont pas les politiques aux manettes qui vont changer la donne mais des adolescents…

    Il faut faire semblant d’y croire alors buvons les paroles de notre cher ministre. « Je comprends cette impatience, je souhaite qu’on puisse vraiment déclarer cette mobilisation générale. Le président de la République d’ailleurs a dit aux jeunes : « Finalement, c’est la première fois dans notre histoire que nous devons avoir cette mobilisation alors que nous sommes en temps de paix. Habituellement quand on parle de mobilisation générale, c’est pour faire la guerre » ». C’est beau, mais c’est faux ou alors le général Macron carton-pâte ne sait pas bien mobiliser ses armées.

    Et pour cause, la France est en retard sur tous ses objectifs en matière de lutte contre le réchauffement climatique, contre la pollution et pour la transition énergétique… La France de Macron se classe avant dernier au sein de l’Union européenne. Rien de glorieux, mais les faits et les chiffres sont vite balayées par la communication présidentielle. Alors la petite Greta et ses amis sont contents, ils ont pris le goûter avec le gentil président Macron et peuvent s’en retourner de là où ils viennent. Jolie prestation de cirque ! Et merci à tous !

     

    Source : 24heuresactu

  • Acte XV : Macron chausse ses bottes d’agriculteur

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2019

    Rédigé par notre équipe le 24 février 2019

    L’acte XV des gilets jaunes a été un succès à double titre. La mobilisation a quelque peu augmenté (selon les chiffres du ministère de l’Intérieur) et les violences ont été très sporadiques montrant que quand la police fait correctement son travail, les choses se passent bien. Mais pour trouver la perfection, il fallait se rendre porte de Versailles à Paris pour y voir Emmanuel Macron déambuler dans un Salon de l’agriculture étrangement calme. Un véritable village Potemkine créé pour donner l’image d’un président qui a remonté la pente et qui est apprécié des humbles travailleurs de la terre.

    Ce samedi 23 février avait une actualité doublement chargée. Pour le 15e samedi de suite, les gilets jaunes sont descendus dans la rue afin de rappeler au Gouvernement qu’on ne nourrit pas le peuple en lui balançant les miettes d’un festin qu’on a payé en le ratiboisant. Un rappel salutaire, mais qui a été superbement ignoré par Emmanuel Macron qui a pour une fois délaissé La Lanterne pour faire le beau au Salon de l’Agriculture. Une opération communication réussie pour un président qui aurait dû fuir sous les huées, mais dont les équipes avaient fait un sacré bon ménage avant sa venue.

    Tout va bien dans le village Potemkine

    Le Salon de l’Agriculture offre quelques scènes assez réjouissantes depuis plusieurs années. Les hommes politiques et surtout les présidents y viennent dispenser quelques phrases et promesses rassurantes avant de rentrer chez eux avec pour seule préoccupation de se débarrasser de l’odeur de bouse qu’ils croient avoir attrapée au contact des vaches. Les agriculteurs et les éleveurs sont pris pour des moutons et n’hésitent plus à afficher les politicards qui se moquent d’eux. 2019, l’année de l’implosion de Jupiter, a pourtant réservé une grosse surprise.

    Venu dire à quel point il respecte le travail des agriculteurs et des éleveurs, Macron n’a pas trouvé un seul mécontent dans les allées du Salon. A croire que tout va bien après des années de crise. Une grâce de Macron qui a permis aux enseignes de l’agroalimentaire de faire grimper les prix en flèche avec comme excuse de mieux rémunérer les producteurs. Il s’agit d’une fumisterie dans laquelle producteurs et consommateurs sont les dindons de la farce. Les huées auraient dû couvrir le passage de Macron à chaque stand, mais rien. Juste un retraité qui s’est effondré en larmes face à celui qui lui fait les poches.

    Comment expliquer un tel phénomène ? Cela n’a rien de naturel. Les fédérations et syndicats avaient reçu pour mot d’ordre de se taire pour ne pas indisposer sa majesté et espérer des gestes un peu concrets en retour. Ils n’auront eu droit qu’à un show de plus de dix heures pendant lequel l’Union européenne a été encensée. Sans l’UE, c’est la fin de la paysannerie française… Il faut espérer que Griveaux ait assisté à tout cela depuis son bureau (protégé aujourd’hui). Il aura ainsi eu l’occasion de voir ce qu’est un festival de « contre-vérités ».

    Les exposants neutralisés, il ne restait plus qu’à s’assurer que le public ne soit pas hostile. C’est ainsi que tous ceux qui ont osé approcher du Salon de l’Agriculture avec un peu de jaune sur eux ont été priés de ranger leurs couleurs ou de subir une interpellation dans les règles de l’art d’un Etat autoritaire. Plusieurs gilets jaunes connus des services ont été également maintenus à longue distance pour ne pas gêner la campagne européenne du président.

    Pour voir des gilets jaunes, il fallait quitter ce village Potemkine et aller dans les rues de France. Ils étaient 46 600 selon Castaner et son boulier magique. Un ministre qui est fatigué, car au lieu d’enlever des manifestants par rapport à la semaine dernière, il en a ajouté. Ce n’est pas dans les habitudes de la maison. Tout comme l’absence de violences dès le début de la journée. D’habitude, la police ne voit pas les casseurs s’infiltrer et tout brûler, mais aujourd’hui fut bien plus tranquille au grand dam des télévisions qui aurait voulu faire le parallèle entre la sérénité présentielle et le chaos dans les rues. C’est raté pour cette fois, mais comme les gilets jaunes, ce pouvoir a de la résistance. La lutte se poursuit donc et le vainqueur ne sera pas celui qui use et abuse des artifices.

     

    Source : 24heuresactu

  • Marine Le Pen et Louis Aliot se prosternent devant Israël et tentent de berner les Français

    Publié par Guy Jovelin le 23 février 2019

    Ecrit par Pierre-Alain Depauw

    Article paru le 16 mai 2018 medias-presse.info

    Lorsque Marine Le Pen commente la barbarie israélienne à Gaza, c’est l’occasion de constater une fois de plus à quel point le néo-FN (bientôt le “Rassemblement National” si Marine Le Pen obtient l’assentiment de ses adhérents) s’est aligné sur un positionnement ultra-sioniste.

    Bien sûr, lorsqu’elle s’exprime devant un public français, elle cherche à enrober ce sionisme dégoulinant d’un emballage tricolore français. Pour faire accepter à ses sympathisants leur message inconditionnel de soutien à Israël, Marine Le Pen et Louis Aliot font un parallèle avec la défense des frontières françaises. Un discours qui peut séduire tous ceux qui ne connaissent rien à la géopolitique et veulent simplement stopper l’immigration chez nous.

    D’une part, Marine Le Pen et Louis Aliot feignent d’oublier un peu vite que les Palestiniens qui manifestaient à Gaza ont été dépossédés de leurs terres par des colons israéliens. Pour faire un parallèle, c’est un peu comme si demain, les Français étaient totalement dépossédés de la Seine Saint-Denis et se faisaient tirer dessus par ceux qui se sont arrogés le droit de s’en emparer sous le regard bienveillant du Nouvel Ordre Mondial.

    D’autre part, Marine Le Pen et Louis Aliot applaudissent l’usage de la force par Israël, mais ont un programme sur l’immigration bien plus consensuel, n’évoquant pas la “rémigration”, ni même l’arrêt de l’immigration, mais simplement timidement la diminution de l’immigration.

    En fait, une fois de plus, il s’agit d’une véritable escroquerie qui pourrait berner un grand nombre de patriotes sincères mais naïfs.

    Car l’objectif réel du message de Marine Le Pen et Louis Aliot, c’est de s’adresser à Israël et de continuer à se prosterner en vue d’obtenir le sésame : un visa pour Marine Le Pen, afin qu’elle aille s’incliner à Yad Vashem et soit à la suite de cela considérée comme véritablement  “acceptable” dans la course au pouvoir.

    Louis Aliot et Nicolas Bay ont déjà été les envoyés de Marine Le Pen en Israël. Mais cela n’a pas suffit.

    Une autre initiative de Marine Le Pen passée beaucoup plus inaperçue en France, c’est l’interview diffusée le 3 février 2017 par un média israélien, au cours de laquelle la présidente du Front national avait encouragé les Israéliens à «se comporter comme des propriétaires et pas comme des occupants» de leurs terres.

    C’était une séquence de neuf minutes sur la seconde chaîne de télévision israélienne. Une séquence qui n’avait, comme par hasard, pas été ensuite exploitée par le service de communication du FN à destination de la France.

  • Macron veut « adopter une définition de l’antisémitisme qui intègre l’antisionisme »

    Publié par Guy Jovelin le 23 février 2019

    Auteur : Rédaction
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    C’est une incroyable prise de position : le sionisme, qui est une idéologie politique (ayant abouti à la création de l’Etat israélien récemment) deviendrait incritiquable.

    Alors que l’oligarchie, Macron le premier, vitupère en permanence le nationalisme, il y a un nationalisme qui deviendrait sacré…

    Qui pourrait désormais nier la puissance énorme de ce lobby ?

    France info :

    « Au lendemain des rassemblements contre l’antisémitisme, Emmanuel Macron participe au traditionnel dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), mercredi 20 février au soir, à Paris. Le chef de l’Etat y a annoncé que la France allait adopter la définition de l’antisémitisme de l’Alliance internationale pour la mémoire de l’holocauste (IHRA) qui intègre l’antisionisme. Une annonce forte attendue par les représentants de la communauté juive.

    L’Elysée travaille sur plusieurs pistes, selon les informations de franceinfo : créer d’abord une loi qui engagerait la responsabilité des plateformes sur les contenus antisémites et racistes. Renforcer ensuite l’éducation sur l’utilisation des réseaux sociaux. Jean-Michel Blanquer a écrit aux chefs d’établissements pour qu’ils relancent tous les dispositifs existants. Le ministre de l’Education a notamment lancé une plateforme en décembre pour que les enseignants puissent signaler tout acte de racisme ou d’antisémitisme.

    Il n’y aura pas de loi pour pénaliser l’antisionisme, en revanche. Emmanuel Macron a assuré ne pas être favorable à la pénalisation de l’antisionisme, voulue par Francis Kalifat, le président du Crif, et relayée dans une récente proposition de loi. Mais l’Elysée travaille sur la transposition d’une directive européenne, avec une définition de l’antisémitisme qui inclut la négation d’Israël.  »

    Pour l’instant il n’y aurait pas de loi particulière, sauf que si l’antisionisme est – de façon absurde – considéré comme un antisémitisme (quid des juifs antisionistes?), il sera forcément passible des tribunaux républicains.


    Source : contre-info

  • Islam. En Iran, avoir un chien, c’est 60 coups de fouet

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2019

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    En Iran, avoir un chien, c’est 60 coups de fouet

    Les médias allemands, dont Stern et Die Welt, en parlent maintenant. En 2014, une loi a été édictée en Iran, qui pénalise la possession d’un chien. C’est ainsi que les propriétaires risquent non seulement une amende de 2500 Euros, mais 60 coups de fouet. Et le chien, bien sûr, sera tué. Les « gardiens de la révolution islamique » veillent au grain. Mais cette haine des chiens s’étend aussi au monde occidental, à la suite de l’immigration musulmane.

     

    https://www.wochenblick.at/uebergrosse-ratten-das-harte-schicksal-der-hunde-im-islamischen-iran/ via lesobservateurs

     

    Traduction (Claude Haenggli): Dans d’autres pays musulmans aussi, les chiens subissent un tel triste destin. Dans les pays européeens, à la suite de l’immigration musulmane de masse, des cas semblables se multiplient. C’est ainsi que des recherches approfondies du Wochenblick ont montré qu’à Londres et à Manchester, il a été crié dans la rue : « C’est ici une zone musulmane. Ne promenez pas vos chiens ici ! Les musulmans n’aiment pas les chiens! ». Aux Étas-Unis et au Canada, des conduteurs de bus et des chauffeurs de taxi musulmans refusent de prendre les chiens d’aveugles.

     

    Claude Haenggli, 22.2.2019