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  • Vaux : 800 habitants et 50 immigrés

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2019

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    Vaux : 800 habitants et 50 immigrés

    Le conseiller municipal Joël Fenninger vient d’adresser sa démission à la préfecture. Il explique :

    « Je veux protester contre l’indifférence manifestée par la préfecture dans le dossier des cinquante migrants qui doivent arriver. J’ai été choqué de voir que les services de l’État décident de façon péremptoire, de faire de notre petit village un laboratoire expérimental pour l’accueil de demandeurs d’asile. La physionomie de notre petite commune ne le permet pas, dans des conditions optimales. Les initiateurs de ce projet demeurent figés dans une indifférence totale envers les habitants. Je n’imagine même pas qu’à de tels niveaux de responsabilités, on puisse agir avec autant de légèreté. »

    « Je ne veux pas cautionner ce projet tel qu’il nous est imposé et toutes les conséquences qui en découleront. Il leur importe peu de savoir ce que ressent une majorité d’habitants d’un petit village. Je déplore que cette décision ait été prise dans un bureau à l’ambiance sous doute feutrée, loin des préoccupations, des incertitudes et des doutes des Valois, amenés à subir plutôt que d’avoir été entendus. C’est pour le moins déroutant à l’heure d’une grande concertation nationale, provoquée comme chacun le sait, par un profond mécontentement du peuple pour de nombreuses raisons. »

    Une pétition avait recueilli plus de 460 signatures contre ce projet et le conseil municipal avait voté contre ce projet préfectoral.

     

    Source : lesalonbeige

  • Culpabilisation énergétique : La France se tire une balle dans le pied.

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2019

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

    Culpabilisation énergétique : La France se tire une balle dans le pied.

    Le 27 novembre dernier, Emmanuel Macron, présentant la Programmation pluriannuelle de l'énergie pour les dix ans à venir annonçait le triplement du nombre d’éoliennes, la multiplication par cinq de l’électricité photovoltaïque, et la volonté d’investir « 7 à 8 milliards d'euros » par an dans les énergies renouvelables. Le tout au nom de la désormais sacro-sainte transition énergétique élevée au rang de principe de sauvegarde universelle. 

    Cette électricité ainsi produite étant largement plus coûteuse que le prix de marché, la différence sera bien évidemment payée par le consommateur. Deux taxes ont été instituées à cet effet qui viennent alourdir considérablement les factures : la CSPE (Contribution au service public de l’électricité) et le TURPE (Tarif d’utilisation des réseaux publics électricité). 

    Il s’agit d'une véritable escroquerie d'État. 

    Alors que 86 députés de la majorité, toute honte bue et toute prudence évanouie, réclament, dans une tribune publiée le 14 février, la relance de la taxe carbone abandonnée en décembre grâce à la mobilisation anti fiscale des Français, rappelons la réalité des choses : 

    • En l'espace d’un siècle, le taux de CO2 dans l’air que nous respirons est passé de 0,03 % à 0,04 %, soit de 3 à 4 particules sur 10 000. C'est tout. Et ce serait cette infime augmentation qui, selon le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), devrait nous conduire à l’apocalypse, à une hausse des températures de 4 à 5 degrés d’ici 2100, générant toute une série de catastrophes (désertification, montée des eaux, cyclones, etc.). Pour les idéologues fanatiques et totalitaires de cet organisme international détenteur autoproclamé de la vérité planétaire, cette perspective impose de limiter l’augmentation de la température à 2 degrés en réduisant les émissions de CO2 « de 40 à 70 % entre 2010 et 2050 ».
    • Qu’en est-il pour la France de cette « urgence » à réaliser la transition énergétique ? La part qu'elle doit y prendre est-elle si importante qu’elle conduise à te tels efforts à consentir pour État, pour les ménages et pour les entreprises ? Tout cela repose sur un mensonge. La part de la France dans les émissions planétaires de CO2 est infime et celle des Français en tant que personnes physiques, dérisoire. On sait que l’Accord de Paris sur le climat signé lors de la COP21 en 2015 permet à la Chine, à l’Inde et aux pays émergents de continuer à augmenter leurs émissions de CO2 jusqu’en 2030, avec l’engagement non contraignant de commencer à les diminuer ensuite. Les efforts que fera alors la France, qui ne pèse que 1 % des émissions de CO2 dans le monde, seront insignifiants et complètement engloutis par cet accroissement.

    C'est donc sur cet ensemble de contre-vérités éhontées qui poussent bobos et jeunes écervelés à défiler dans les rues d'un monde occidental toujours plus docile face à sa propre stigmatisation et toujours plus masochiste dans sa reconnaissance de culpabilité, que le gouvernement se base pour mener une transition énergétique coûteuse et inutile qui pèsera sur les ménages comme sur la compétitivité des entreprises là où la France, par sa politique nucléaire avait su à la fois conquérir son indépendance énergétique, assurer une forme de compétitivité en ce domaine, affirmer son exemplarité environnementale et offrir aux consommateurs une électricité peu coûteuse. 
    C'est ce qui s'appelle se tirer plusieurs balles dans chacun des deux pieds. 

  • Algérie : Vers une implosion aux conséquences incalculables.

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2019

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
    Algérie : Vers une implosion aux conséquences incalculables.
    Algérie :     
    vers une implosion aux conséquences incalculables. 
      
    « L’Algérie dit non ! ». 
    La une du quotidien francophone algérien El Watan est inédite dans un pays où l’on contrôle de la presse et la censure valent règles d'État. 
    Depuis une semaine et l'annonce d'une cinquième candidature d'Abdélaziz Bouteflika, grabataire et perdu dans un néant cérébral, à la présidence, des dizaines de milliers d’Algériens manifestent chaque jour à Alger et dans les rues des grandes villes du pays (mais aussi quelques centaines à Paris). 
    Le FLN, l'armée, les services de renseignement qui, depuis plus de cinquante ans tiennent d'une main de fer l’Algérie, savent désormais que le temps leur est compté. 
    D'un pays riche, doté d’infrastructures performantes, bénéficiant de la manne pétrolière et gazière, arraché à la France par le terrorisme et la forfaiture de ceux qui la permirent, l'indépendance à fait une dictature obscure minée par la pauvreté et la corruption. 
    Le maintien en survie artificielle du régime algérien arrive à son terme. 
    Pour la France, compte tenu de la proximité géographique, de la présence sur notre sol de plusieurs millions de ses ressortissants, de nos engagements et de nos intérêts en Afrique, et surtout du poids de l'Histoire, les conséquences et l'impact de l'implosion de cet État en matière de submersion migratoire, de déstabilisation géopolitique et de menaces terroristes, risquent d'être terribles. 
    Des conséquences et un impact qu'à l'évidence, les pouvoirs publics Français n'ont pas anticipés. 
    Le Parti de la France propose cinq mesures préventives d'urgence : 
    1.     Suspension des visas dont la délivrance vient encore d’être assouplie. 
    2.     Mise en place d'un plan de contrôle des populations d'origine. 
    3.     Rétablissement des frontières. 
    4.     Fin de la bi nationalité. 
    5.     Décret d’interdiction de toute manifestation à caractère étranger. 
    Aucune de ces propositions ne semblant en voie d’être retenue, le pire est bel et bien à venir.
  • Localisme : la nouvelle lubie mariniste.

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2019

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
    Localisme : la nouvelle lubie mariniste.
    Localisme :       
    la nouvelle lubie mariniste. 
      
    Plus verte que verte, plus environnementaliste que Yannick Jadot, plus pro-décroissance que Cécile Duflot, plus participative que Ségolène Royal, plus socialo-utopiste que ne le fut Montebourg, plus autarcique que ne l’était le dictateur albanais Enver Hoxha ou que ne le demeure le nord coréen Kim Jong-Un, plus phalanstérienne que Fourier, Marine Le Pen à trouvé, pour le temps que vivent les roses (« l'espace d'un matin ») sa nouvelle voie : le localisme. 
    Inspirée par l’économiste et essayiste Hervé Juvin, désormais élevé au rang de tête pensante et à la dignité de « couteau suisse » du Rassemblement national, cette politique affichée de « retour au plus près » de la production et de la distribution, si elle peut sembler séduisante dans son affirmation d'une préférence de proximité, son choix des circuits courts et son refus de l'expansionnisme mercantile, n'en constitue pas moins un déni de réalité : la mondialisation (qui, faut-il le répéter, n'est pas le mondialisme) est une réalité dont aucun État ne peut s'abstraire ni aucune entreprise se soustraire sauf à retourner à la dimension tribale. 
    Au demeurant, Marine Le Pen qui ne comprend pas toujours tout du premier coup semble oublier que les circuits courts impliquent nécessairement l'abandon de la préfère nationale à la production puisque, pour ne prendre que deux exemples, il est plus rapide, plus simple et plus écologique de faire venir un produit de Karlsruhe à Strasbourg ou de Barcelone à Perpignan que de lui faire traverser la France. Nous voici bien loin de la « vision de l'État stratège » et de celle des barrières économiques qui furent l'alpha et l’oméga du projet marino-philipottiste pendant dix ans. Confusion, confusion quand tu nous habites… 
    Une France réellement nationale, indépendante et, souveraine mais ancrée dans une volonté de puissance européenne, retrouverait, certes, en elle-même la force de ses spécificités provinciales, de ses traditions artisanales et rurales, de sa production, de son patriotisme économique national et de sa préférence continentale, mais sans pour autant s'affaiblir par un retrait unilatéral de la compétition mondiale qui exige compétitivité, initiative, ambition, volontarisme et imagination. Ce n'est pas dans l’immobilisme, encore moins dans le retour aux situations anciennes que la France relèvera les défis que lui lance une Amérique qui n'a rien abandonné de ses intentions, ou l'Asie immense mobilisée comme jamais autour de son esprit ancestral de conquête. 
    Ce que propose désormais Marine Le Pen, c'est, à l'inverse, la France des échoppes repliée en îlot survivaliste. C’est-à-dire la France en état de mort clinique. 
    Hervé Juvin a, pour le moment l’oreille et l'accès direct aux lobes cérébraux de la Présidente du RN. Il aurait pourtant tout intérêt à se méfier : le poste de gourou au sein du parti mariniste relève du plus précaire des contrats courts.
  • Salon de l'agriculture : le PDF défend les paysans français.

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2019

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    En dix ans un tiers des exploitations agricoles à disparu en France dans l'indifférence générale y compris celle des syndicats censés les représenter mais fonctionnant de plus en plus comme les mandants de leurs propres intérêts ou de ceux exclusifs des grandes exploitations. Entre un tiers et la moitié des exploitants gagnent moins de 350 euros par mois, l'immense majorité des éleveurs touchant moins de 1 000 euros. 75 % des exploitants à la retraite touchent une pension inférieure à 450 euros mensuels. Tous les deux jours, un agriculteur se suicide. Voilà le quotidien, voilà la réalité de notre monde paysan.
    Au moment où s'ouvrent les portes du Salon de l’agriculture 2019 et où Emmanuel Macron, lors de son inauguration samedi, toujours dans l'incantation, s'est autoqualifié de « patriote de notre agriculture », les Français attachés à notre ruralité sont en droit d'exiger des actes.
     
    Le Parti de la France demande à l'Exécutif de s'engager sur douze points essentiels.
    1. Alléger la pression administrative et normative pesant sur les exploitations et procéder au gel de toute nouvelle évolution réglementaire risquant de générer de nouvelles charges.
    2. Réduire le coût du travail, notamment saisonnier, pour permettre aux employeurs agricoles d'être compétitifs par rapport à leurs concurrents européens.
    3. Permettre par la loi un rééquilibrage équitable entre les intérêts des agriculteurs, des industries de transformation, et surtout ceux de la grande distribution en mettant un coup arrêt aux pratiques et méthodes de cette dernière trop souvent établies sur la base du fait accompli. C'est aux producteurs qu'il appartient de fixer les prix.
    4. Limiter le développement et les effets de l'agriculture cellulaire encouragée par les multinationales de l’industrie agro alimentaire et les fonds de pension anglo-saxons.
    5. Légiférer contre l'accroissement des accaparements de terres fertiles par des groupes étrangers sans rapport avec le domaine de l'agriculture et, à l'inverse, prendre des mesures pour assurer la transmission et les successions dans la pérennité des exploitations et chaque fois que cela est possible, dans le cadre familial.
    6. Promouvoir la qualité française par l’instauration d'un label de référence tout en agissant dans le cadre de la Politique Agricole Commune pour une protection des productions communautaires, le refus des traités commerciaux qui ouvrent les portes à des produits qui ne respectent pas les normes imposées à nos agriculteurs, et une dynamisation de nos exportations.
    7. Stopper le processus en cours de transfert des aides européennes à l’agriculture vers un budget dédié à l'accueil des migrants.
    8. Garantir le versement dans des délais raisonnables des aides promises par la Commission européenne et par les Régions aux exploitants, en particulier aux producteurs laitiers qui font le choix du bio.
    9. Mettre fin à l'agribashing. Nos compatriotes agriculteurs sont de plus en plus en proie à des campagnes incessantes de dénigrement sur les thèmes de la pollution, de la malbouffe, de la maltraitance animale, alors que l'agriculture française est exemplaire dans sa réduction des traitements phytosanitaires et des pesticides, comme dans sa recherche de qualité. Ces campagnes doivent cesser tout comme doivent cesser les actions pro véganisme.
    10. Développer la recherche pour une agriculture française de la précision et de l'excellence
    11. Soutenir les filières à forte potentialité comme les céréales, la viticulture et les produits laitiers.
    12. Mettre fin aux sanctions contre la Russie qui, en suscitant des mesures de rétorsion contre l'Europe et donc contre la France, met en péril de nombreuses exploitations, touchant en particulier les filières du porc, du lait et des fruits et légumes.